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10.12.2009

10 Décembre 1994:Télé poche

Article paru dans télé poche avant l'émission "d'homme à homme" de Patrick Sébastien.

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01.12.2009

Mot de Serge dans le journal la Fronde N° 54

Publié dans la fronde numéro 54: Décembre 1994


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1er décembre 94 : A l'heure du Pop - France Inter

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Serge Lama était un des invités de José Arthur dans l’émission Pop Club du 21 décembre 1994. Cette émission se déroulait en direct du Fouquet's.

 

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EXTRAIT

 

27.11.2009

27 Novembre 1994: Ligne de mire

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Magazine sur les médias, présenté de 1994 à 1998 par Jacques Chancel sur France 3.

En Novembre 1994 il recevait Serge Lama qui s’apprêtait à retrouver la scène du palais des congrès.

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26.11.2009

26 novembre 1994 : TF1 20 H

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Interview réalisée à la suite de l'enregistrement de l'album LAMA.

 

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EXTRAIT AUDIO

 

25.11.2009

25 novembre 1994 : Album Lama

 

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25 novembre 1994 : sortie de l'album « Lama » (WEA). Parmi les onze chansons de cet album mixé aux États-Unis, on remarque Tel père, tel fils, dédiée au fils de Serge, Frédéric, ou Neige, chanson sur la drogue. Mais le grand titre de cet album, au son un peu trop « américain », reste sans doute Je te partage, un nouveau classique de Lama.

- Je ne veux pas parler

- L’amour avec elle

- Je te partage

- Neige

- Quand j’irai vers l’or

- L’amitié c’est quand on n’a pas de fille

- La femme qu’on aime

- Oh! comme les saumons

- Château en ruine

- Je suis un homme

- Tel père, tel fils.


20.11.2009

Novembre 1994: Décès de Marcel Gobineau

En Novembre 1994, Serge perdait celui qui fut son second père: Marcel Gobineau

 

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France Dimanche

 

17.11.2009

17 Novembre 1994: La Marne

Serge lama est en tournée pour son grand retour à la chanson  après une  parenthèse  consacrée à Napoléon puis au Théatre.

Interview réalisée par Pascal Pioppi du journal La Marne

 

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Notes de Pascal Pioppi  sur son Blog

 

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Lieu : Théâtre de Gagny

Durée : 25 minutes

Particularité : a honoré son rendez-vous malgré la mort de son meilleur ami quelques heures avant de monter sur scène

Titre : "D'aventures en aventures"

Admiratif et fan du chanteur depuis mon adolescence, ce plaisir de rencontrer une idole a été soigneusement préparé, bichonné même avec un trac de midinette face à celui qui, par la portée de certaines chansons m'a certainement aidé à construire une personnalité.

La rencontre aurait très bien pu ne pas avoir lieu car le chanteur avait eu la tristesse de perdre quelques heures avant de monter sur scène son meilleur ami. Un choc émotif rude suffisant pour décaler ou annuler un entretien. C'est d'ailleurs ce que m'a laissé entendre son agent. Exact au rendez-vous, Serge est venu à ma rencontre et je lui ait de suite dit que je comprennais parfaitement son chagrin et qu'il repousse l'interview :" Non, non, nous avions rendez-vous et par repect pour vous et votre métier, nous allons nous rencontrer"

Un bel exemple de respect. L'entretien a été à la hauteur du personnage, déclenchant même sur la fin, quelques rires de ce monstre sacré qui a ensuite enchanté le public de Gagny. Un moment intense, beau et émouvant.

La phrase : " J'ai la chance d'avoir à l'intérieur de moi une nourriture passionnelle qui me véhicule. Même les angoisses cela vous laisse debout. Cette inquiétude vous oblige à faire des choses, à vous structurer. En même temps, j'ai peur et cela m'excite"

16.11.2009

16 Novembre 1994:La république des pyrénées

Serge Lama était en concert au Zenith de Pau

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15.11.2009

15 novembre 1994 : Sud-Ouest

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Dans le journal Sud-Ouest du 11 novembre, rencontre avec Serge Lama avant le concert au Zenith de Pau le 15 novembre 1994

« L'enthousiasme de mes débuts »

SERGE LAMA AU ZÉNITH

Quelques jours avant la sortie de son album, Serge Lama revient sur le devant de la scène musicale. Il sera mardi soir au Zénith. Il est remonté sur une scène musicale samedi dernier à Aulnay-Sous-Bois, « comme dans un rêve ».

Pour la première fois depuis plus de dix ans - après s'être offert à Napoléon, à la comédie musicale, au théâtre et au petit écran – Serge Lama renoue avec les tours de chant qui avaient marqué le début de sa carrière.

Quelques jours après, il ne dissimule pas son « plaisir de retrouver la scène en tant que chanteur », estime qu'il s'agit d'un « renouveau de soi-même » et dit avoir « retrouver l'enthousiasme de ses débuts ». 

Mardi soir, à 20 h 30, Serge Lama chantera au Zénith, devant un public palois qu'il a déjà eu l'occasion de côtoyer maintes fois.

La logique veut que l'artiste parte en tournée après avoir sorti un album. Là, c'est l'inverse, puisque votre disque ne sera en vente que le 25 novembre...

SL - Cette rentrée était programmée depuis deux ans. Cela a pris du retard, du fait des neuf mois de tournage de la série (NDLR) : « En garde à vue », diffusée sur France 3. Si bien que le disque n'a été réalisé qu'en août. Comme d'habitude, j'ai écrit les textes ; mes complices Yves Gilbert et Alice Dona les musiques. En revanche, la production générale est nouvelle, avec une équipe qui y croit.

Pour ma part, je pense que c'est le troisième grand disque de ma carrière avec  « Je suis malade » et « Napoléon ».

Comment allez-vous l'intituler ?

SL - Tout simplement « Lama ». En fait, "Je suis un homme" est le seul titre générique que l'on a pu trouver... Mais est-ce que ça va devenir un tube (on a hésité entre cinq et six pour le premier disque radio) ? Et puis, ça fait un peu prétentieux !

Combien de dates avant Paris et le Palais des Congrès, en janvier ?

SL - Une vingtaine. Nous commençons par le Sud-Ouest, lundi pays d'origine. Bordeaux, Sarlat, Pau... une ville incontournable. J'y suis toujours passé quand je tournais, environ tous les deux ans, au casino, une fois sous chapiteau.

Et cette fois au Zénith...

SL - On m'a dit que c'était une très belle salle. D'ailleurs je regrette qu'il n'y ait pas de Zénith dans toutes les grandes villes de France. Il faut bien le dire, nous nous produisons parfois dans des endroits assez pénibles...

A Pau, comme ailleurs, quel public attendez-vous ?

SL - Tant que le disque n'est pas sorti, je vais toucher mon public, celui qui me connaît. Ensuite, l'album peut ramener un public différent. Je reste un chanteur classique, mais la rythmique, l'enveloppe, est plus actuelle. A Pau, j'interpréterai deux chansons nouvelles, dont celle qui sort en radio, « Je te partage », qui a d'ailleurs reçu un très bon accueil à Aulnay-sous-Bois. Ce qui n'est pas évident pour une première écoute, alors que d'habitude la radio mâche le travail. L'oreille du public ne supporterait pas d'entendre tout un disque de chansons nouvelles, car cela demande un effort plus grand de concentration.

Combien de titres allez-vous interpréter ?

SL - Un peu plus de trente chansons... Le répertoire choisi est à base de chansons anciennes, celles que les gens ont envie d'entendre, plus d'autres, qui sont moins connues, mais que j'aime bien... et que le public prend parfois pour des nouvelles. C'est bien, aussi, de faire apprécier aujourd'hui des chansons que le public n'a pas débusqué hier. Au total, un spectacle de deux heures environ. En fonction du public, je peux aller plus vite ou plus lentement.

Ce qui signifie que vous laissez une place à l'improvisation ?

SL - Bien sûr. L'important c'est d'être le soir ce que l'on est le jour même. Évidemment, quand une chanson est arrivée à une forme idéale, on ne la touche pas ; mais il faut laisser des zones pour improviser, s'amuser. Une part de liberté qui donne de l'humanité à un concert. Cela dit, la construction du spectacle, les contraintes artistiques sont nécessaires.

Votre expérience de comédien vous sert-elle aujourd'hui sur scène ?

SL - Oui, dans l'interprétation des chansons. Mais je n'utilise pas de grande mise en scène. Parfois, un simple projecteur qui offre à un moment donné un effet scénique idéal peut être plus fort que n'importe quoi. J'ai toujours pensé que dans un tour de chant, les moyens ne remplacent pas les idées.

Valérie Pras

 

Critique du concert donné au Zenith de Pau

Lama et son ami de 30 ans

Un peu plus de 1 500 personnes ont applaudi Serge Lama entouré, entre autres, d'un pianiste basque et de son vieil « ami de 30 ans », Yves Gilbert, auteur de plusieurs de ses musiques. Certes, il a de la présence et une voix qui ne l'oblige pas à dévorer le micro pour se faire entendre. D'ailleurs, il peut même s'en passer, et de surcroît pour éventuellement chanter a capella. Il peut aussi puiser dans le répertoire de Jacques Brel sans prendre le risque du ridicule. Certes, l'homme est chaleureux et il a l'air heureux de faire son métier Mais, l'on ne peut pas dire que Serge Lama soit une véritable bête de scène.

Petite silhouette noire, il reste statique ou se contente d'agiter les bras et d'esquisser quelques mimiques. Pour toute mise en scène, quelques projecteurs balayent les planches ou jettent des éclairs qui torturent les yeux du spectateur Les halos de lumière, blafarde, verte, rouge... accompagne parfois les gestes du chanteur, comme lorsqu'il tend le bras dans l'espoir de « décrocher une étoile pour la faire briller toute une nuit ». Le public, un peu plus de 1550 personnes, semble ravi de retrouver Lama qui n'était pas venu à Pau depuis longtemps, depuis une soirée à la foire-expo : « vous vous souvenez, il pleuvait, j'avais fait monter les spectateurs sur scène et on avait quand même chanté ».

Sans reprendre son souffle, Serge Lama passe au crible tout son répertoire, ses anciens succès et les nouveaux. Il chante ses fantasmes, dit qu'il voudrait être « une fille que l'on épuiserait de plaisir, un noir esclave, une femme pour de vrai... », chante l'amour, l'amitié, la solitude, la nostalgie... Applaudissements des spectateurs qui n'hésitent pas à fredonner, à la demande et même spontanément.

L'artiste présente ses musiciens, des amis, insiste sur la présence du pianiste Gérard Daguerre : « Il est de chez vous, enfin grosso modo... il est basque ». Il partage aussi son micro, le temps d'une nouvelle chanson, avec Yves Gilbert, auteur de plusieurs de ses musiques, un vieux complice, « un ami de trente ans... J'espère que cela se terminera mieux pour nous ». Rires.