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23.11.2009

23 novembre 2006 : Livre de Jacques Pessis

Dans le livre de Jacques Pessis, "La France de Thierry Le Luron", on peut trouver plusieurs témoignages d'artistes.

 

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Serge évoque Thierry vingt après, c'est pour lui un moment d'émotion :

"Thierry était un intime. Nous avons fait un grand nombre d'émissions tous les deux. C'était un garçon délicieux qui avait un humour corrosif mais c'était un tendre de chez tendre. Même avec une fragilité énorme. Un génie, un surdoué. 

Je l'ai connu quand il avait dix-huit ans. Nous étions au Don Camillo et, déjà, il savait tout, comme embrasser les mains des dames, etc...Il n'a jamais rien appris; en quatorze ans de carrière, il a vécu trois ou quatre vies. 

Il a compris tout de suite que la télévision était un élément essentiel en devenant animateur et producteur. Nous nous apportions des conseils réciproques sur le plan professionnel. Il m'imitait très bien vocalement, il a parodié une quantité de mes chansons! Vous savez, quand on n'est pas singé par Thierry, c'est qu'on n'existe pas!

J'adorais ce bonhomme et j'ai eu une peine immense quand il a disparu en 1986 ".

= Mémoire de Thierry Le Luron " - P. Djemaa - J. Collard.

 

23 Novembre 1978: Lyon Bourse du travail

Le 23 Novembre 1978 Serge Lama chantait à Lyon à la Bourse du travail.

 

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Photos le progrès de Lyon

23 novembre 1984 : Paris Match

Pour son spectacle Napoléon, Serge Lama recevait un prix de la part des lecteurs de Paris Match.

Publié dans le numéro du 23 novembre 1984.

 

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23 novembre 1987 : Télé Loisirs

Serge lama était en couverture  du n°91 du magazine Télé Loisirs du 23 au 29 novembre 1987

 

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serge lama

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serge lama

 

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23 Novembre 2011: GALA

Interview croisée entre Serge lama et Tonino Benacquista parue dans le magazine Gala

 

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23 Novembre 2011: Le parisien

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Interview radio de Serge lama suite à l'arrêt de sa tournée

 

Il a dû renoncer. Le battant , boulimique de concerts, a annoncé avant-hier soir l’annulation de la fin de sa tournée. Il y a quelques semaines, le chanteur désormais âgé de 68 ans avait déjà allégé son ultime périple sur les routes à cause d’une hanche douloureuse. Cette fois, il n’en peut plus.

 

« Je suis fatigué et moralement blessé. Je suis d’une nature tellement battante… Je n’ai pas encore récupéré du fait d’avoir été contraint de jeter l’éponge. »
Le mal ne date pas d’hier, mais il empire de jour en jour. « J’ai souffert toute ma vie. C’est l’accident de voiture de 1965 à 22 ans qui m’a laissé des séquelles à vie. J’ai souffert moralement parce qu’il y a eu des morts dans l’accident (NDLR : sa compagne de l’époque, Liliane Benelli, et son régisseur Jean-Claude Ghrenassia, le frère d’Enrico Macias), mais j’ai aussi souffert physiquement. J’ai eu 14 opérations. Je ne suis pas droit, mon pied gauche est paralysé. Ma jambe droite est tellement fatiguée de porter la jambe gauche. Mon bassin est en train de se détériorer. En tournée, avec les trains, les gares, les voitures, toutes les vieilles douleurs se réveillent et maintenant j’ai mal partout. C’est insupportable, vraiment très dur. »

L’intervention prévue le 29 février

A tel point que le chanteur a fini par avoir peur en concert. « Ma jambe commence à foutre le camp sur scène, cela m’est arrivé plusieurs fois ces deux dernières semaines. Si en plus je me casse la gueule… Je suis à un niveau de fatigue inimaginable. » Pourtant, Serge Lama, pas du genre à renoncer, a voulu tenir bon pour ne pas annuler ses 10 dernières dates, grâce à l’« adrénaline de la scène, l’envie de ne pas lâcher l’équipe ». « J’aurais dû me faire opérer depuis cinq ans. Je ne me suis pas soigné, je prenais de l’aspirine. Mais là, j’en avalais trop et cela ne suffisait plus. Je sais que j’ai une hanche foutue depuis très peu de temps. Je souffrais tellement que j’ai fait des radios et le médecin m’a dit : Vous êtes fou, il faut vous faire opérer. » L’intervention est prévue le 29 février. « C’est banal, c’est comme celle de Johnny. Ils changent la hanche et mettent une prothèse. » Le musicien est un peu inquiet mais pense déjà à la suite. « J’ai toujours dit que c’est mon corps qui m’arrêterait. Là, je veux l’arranger pour continuer. J’ai déjà signé pour repasser à l’Olympia en février 2013 à l’occasion de mes 70 ans. J’attends ma revanche. »

 

EXTRAIT

 

23 Novembre 1996:Réunion du fan club

Serge retrouvait ses fans pour un moment d'échanges le 23 Novembre 1996 à Saint Maur.

Publié dans le magazine la Fronde N° 56 Hiver 96/97

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22.11.2009

22 novembre 2001 : Sud-Ouest

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Lama n'oublie pas sa ville

Alors que son dernier album « Feuille à feuille » débute une carrière prometteuse, Serge Lama a rencontré hier à Bordeaux ses fans. Il évoque aussi Bordeaux qui l'a vu naître.

Sept ans après son dernier opus studio, Serge Lama sort un nouvel album aux couleurs de l'automne ("Feuille à feuille") que ses fans s'arrachaient hier à la FNAC. Rien de plus normal, le chanteur qui revient d'une longue éclipse médiatique, avec quatorze chansons nouvelles, y était attendu par ses fans, qui sont toujours aussi nombreux à Bordeaux, ville où il naquit voilà cinquante-huit ans et qui ne s'est jamais montrée réticente à l'égard de l'un des plus célèbres (et prodigues) de ses fils, au même titre qu'un Sollers dans un autre domaine.

Nul n'étant mieux placé que lui pour faire la promotion de son album, le grand Serge, toujours fringuant, au rire toujours aussi tonitruant, est donc revenu sur des lieux qui ne sont pas effacés de sa mémoire, bien qu'il les ait quittées à l'âge des culottes courtes dont on affublait les enfants dans les années 50. Autant dire il y a un siècle ! Lama se souvient de la rue Gustave-Danflou, près du cours du Médoc, où habitaient ses parents, M. et Mme Chauvier. « Une rue bordée de maisons modestes, derrière s'étendaient de petits jardins où les habitants cultivaient leur carré de légumes. » Il évoque cette époque et ces lieux dans « les Jardins ouvriers », l'un des titres les plus émouvants de la cuvée 2001. « Mon enfance s'est déroulée dans un climat de liberté surveillée. Les gens étaient taiseux. C'était l’époque où le mari lisait le journal quand sa femme s'abîmait à la lessive et au repassage ; chacun avait sa place dans un univers qui paraissait immuable. L'après-guerre, quoi. »

C'était aussi le temps des illusions ("toutes tombées en vrac"), et Lama n'en a plus beaucoup. Quoique... « On ne peut pas vivre sans l'espérance... »

MÉDAILLE DE LA VILLE

A l'approche de la soixantaine, ayant surmonté son lot d'épreuves et conquis une place en haut de l'affiche, la maturité est là. Donnant une densité sereine à ses textes (qu'il écrit lui-même, il insiste) empreints de nostalgie et aux couleurs des feuilles qui tombent.

Devant son public au Forum de la FNAC, Superman se lâche, dit sa « tentation de Venise », son goût pour les grandes mystiques... et les femmes. Ah oui, surtout les femmes ! Les petites femmes de Paris, enfin toutes.

Le succès n'a donc pas tué le chanteur poète. Celui dont Bordeaux est fier de revendiquer une parcelle de sa gloire. Et qui lui a rendu la monnaie en lui donnant la médaille de « Bordeaux ville d'art. » Dominique Ducassou, adjoint à la culture, présidait cette cérémonie. Serge la dédia à son père, Georges Chauvier, ex-premier prix du conservatoire de Bordeaux, demeuré un chanteur d'opérette obscur.

CLAUDE GARNIER

 

22 novembre 1970 : L’invité du dimanche - 2ème chaîne

Serge Lama participe à l’émission du 22 novembre 1970 dont l’invité principal est Jean-Claude Brialy. 

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Programme variétés de l'invité du dimanche

- Patrick (jeune acteur argentin) dit un poème de Rimbaud
Serge LAMA chante l'amour, l’amour, l’amour et Et puis on s’aperçoit
- Michel BEROFF joue un morceau au piano
- BARBARA filmée chez elle avec Jean Claude BRIALY, au piano, chante Drouot et Hop là

 

EXTRAIT

 

22 novembre 1968 : Concours Chansons sur mesure

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Le concours international de la chanson d’expression française “Chansons sur mesure” est créé en 1961.

Les sociétés de la radio et de la télévision de France (ORTF), de Suisse (SSR), de Belgique (RTB) et du Canada (SRC) organisent à tour de rôle la compétition.

Les pays procédent à des éliminatoires nationales. Les gagnants se rencontrent lors d’un gala radiodiffusé en Europe et au Canada.

En 1968, le concours se déroule à Bruxelles. Serge Lama a été retenu pour représenter l'ORTF et il gagne le grand prix du concours international de la chanson française avec la chanson "Le quinze juillet à 5 heures".

 

Le résultat est annoncé dans inter-actualités (France Inter) du 23 novembre 1968.

EXTRAIT AUDIO