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07.10.2009

7 Octobre 1987: Nous Deux

 

Article paru dans Nous Deux avant la rentrée de Lama au casino de Paris

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06.10.2009

6 octobre 1986: France Soir Magazine

Vacances en famille en Corse pour le Napoléon de la chanson

 

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6 octobre 2006 : La voix de l'Est

Serge Lama répondait à Michel Tassé dans la VOIX DE L'EST (Québec) du 6 octobre 2006.

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6 Octobre 1996:Tout le monde le sait

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Télé 7 jours du 6 octobre 1996

 

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Reçu par Jacques Matin sur la scène du Théatre de l'Empire lors de l'émission "Tout le monde le sait" Serge Lama avait interprété "Une île " et "Mon ami mon maître".

 

6 Octobre 2011: Notre temps

Article paru dans le magazine notre Temps

 

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Voir la vidéo sur notretemps.com

6 Octobre 1979: Numero 1 Nana Mouskouri

En Octobre 1979, on pouvait voir à la télévision ce numero 1 spécial Nana Mouskouri

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Parmi les invités Serge Lama que l'on retrouve dans 3 titres:

Seul tout seul

L'homme dans la cité de Jacques Brel

Et en duo avec Nana "Parle moi"

8 octobre 1999 : Parc des expositions de Bourges

Concert au Parc des expositions de Bourges le 8 octobre 1999

 

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Article du 6 Octobre 1999

Authentique et héroïque

Serge Lama raconte à sa manière la vraie vie des gens tout simples. Mais il porte haut leur ordinaire grâce à cette voix inouïe qui transforme une bataille de polochons en épopée napoléonienne

Pour ceux qui raffolent des anniversaires, Serge Lama, né Chauvier, attrapera 57 ans le 11 février prochain. Mais il en aurait 87 ou 27 que personne ne s'en étonnerait outre mesure. Serge Lama a toujours été hors d'âge. Débarqué à la hussarde dans le paysage culturel français il y a une grosse trentaine d'années, la tranche d'emblème avec les standards de l'époque. Avec ses allures de Depardieu rustique, ses manières cavalières et son rire chevalin, impossible de le ranger parmi les sémillants romantiques qui affolent les foules adolescentes. Il ignore le rock, les musiques de jeunes lui sont étrangères et la chanson à textes ne l'engage peut-être pas. Lui, se rêve meneur de music-hall et bateleur d'estrades. Gouailleur à la Montand, grand écorché à la Brel, ou, pourquoi pas, empereur d'opérette à la Bonaparte, son presque sosie.

Ses univers sont pourtant radicalement éloignés de tous ceux-là. Serge Lama ne possède ni l'élégance canaille du premier, ni la démesure géniale du second, pas plus que l'instinct conquérant du troisième. Le chanteur malade, complètement malade, est un figuratif qui peint au ras des pâquerettes les huis clos étouffants d'îles "sans rives ni bateaux" ou les ambiances faussement joviales des bordels de Pigalle. Les femmes, femmes, femmes l'obsèdent au plus au haut point. Mais au lieu de transcender leur idéal, il leur dédie quelques bonnes paillardes et remplace ses amours dans un cadre quotidien. Celui des ménages qui ne déménagent plus légèrement, des kilos sur le bide et des bigoudis sur la tête.

Pas obligatoirement brillant, ni très poétique. Authentique, assurément. Serge Lama raconte à sa manière la vraie vie des gens tout simples, la nôtre. Mais il porte haut leur ordinaire grâce à cet organe inouï, cette voix du tonnerre de Dieu qui transforme une bataille de polochons en épopée napoléonienne. Serge Lama, chanteur plus que populaire : héroïque.

MARC DAZY

 

Article du 11 octobre 1999

Un Parc heureux

Entre nouveautés et succès incontournables, Serge Lama a comblé son public sous la voûte du Parc des expositions

Que peut risquer un Serge Lama dans un déplacement en province comme ce vendredi soir sous la voûte d'une halle du Parc des expositions de Bourg. Rien. Il est chez lui. Il joue tranquille, sans pression, à la maison. Devant son public, il n'a rien à prouver. Il prend dans son sillage des cheveux blancs ajoutés au poids des années. "Je prends sans doute un risque en souhaitant une bonne soirée aux demoiselles". 

Un public qui très vite pardonnait à son idole le sacro-saint quart d'heure bressan. "Mais ils terminent tous à l'heure» alors que cette voix profonde embarquait tout son monde au cœur d'un tour de chant aux saveurs d'un vin nouveau mais se cultivant comme une religion sur le terroir fertile des femmes qu'il adore dans l'arrière-cour d'une guinguette, sur le trottoir, dans la rue, sans oublier les souvenirs d'un ébat furtif de jeunesse que chacun garde dans un jardin secret et que l'on sublime le temps d'une chanson. "Ne t'en fais pas c'est toujours comme ça la première fois". 

Serge Lama sait recevoir. De sa cave rangée de multiples succès jalonnant sa riche carrière, il ressort à la dégustation ses premiers crus que trente ans de fermentation n'ont pu altérer la saveur : "Chez moi", "L'Algérie", "Femme, femme", "Je suis malade", "Les petites femmes de Pigalle". C'est du Lama. Pur, simple, sincère. Des tranches de vie peuvent-être vécues, présentées avec cette voix que l'on dit napoléonienne. Certes, le bougre a quelque ressemblance physique, mais qui parmi le millier de spectateurs présent a eu le privilège d'apprécier les trémolos de l'empereur sur un CD ? 

Dans les traversées du Parc, les inconditionnels ont vibré au temps présent. Bien sages toutefois. Comme s'ils ne voulaient pas perdre une gorgée d'un tour de chant chaudement mené, accompagné sobrement mais efficacement avec les percus de Nicolas, l'accordéon de Sergio et Yann à la gratte. A l'image du titre des innombrables succès de l'artiste, il est "Heureux". Tout simplement à l'écoute d'une compilation que Jeanine, Paulette ou René ne veut pas manquer ce vendredi soir. Ils ne pourraient pas être déçus. Le Lama n'est pas un ingrat. Même sur ses terres, face à un public conquis d'avance, à tout pardonner, le Serge donne le meilleur avant que chacun ne retrouve la chaleur d'une cheminée avec peut-être des idées canailles de faire la fête dans une rue de Pigalle.

Mario MOLARD

 

6 Octobre 2005: Carlier 10 ans de télé

On pouvait retrouver dans ce livre de chroniques de Guy Carlier un extrait de l'émission rien à cirer du 20 Octobre 1996

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6 octobre 1998 : Le Figaro

Le journal Le Figaro annonce les concerts de Serge Lama sur la scène de l'Olympia avec l'Orchestre Symphonique d'Ile de France

 

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Serge Lama, capitaine d'un vaisseau symphonique

Serge Lama a fait ses comptes et sait déjà que la série de représentations qu'il donne à l'Olympia à partir du 20 octobre ne lui permettra pas, même s'il affiche complète, de faire fortune. Il interprètera en effet ses plus grands succès, accompagné par un orchestre symphonique de 45 musiciens, ce qui, financièrement, représente un investissement important. 

En première partie, il se convient avec sa formation habituelle, aux dimensions beaucoup plus modestes. « Je récidiverai avec une tournée au mois de mars, ajoute-t-il. Il faut savoir aller jusqu'au bout de ses désirs ! » Il a déjà été testé avec succès cette forme de spectacle au Théâtre du Capitole, à Québec. Il a commencé par donner trois représentations en octobre dernier, puis cinq autres, en janvier, entre Québec et Montréal. Pour cause d'emploi du temps chargé, il s’est contenté à chaque fois d'un aller-retour d'une semaine. « Quand on m'a proposé cette idée, j'ai d'abord hésité, dit-il. En travaillant dans de telles conditions, on perd sa liberté d'interprétation, et on se retrouve dans la peau du capitaine d'un vaisseau qui a prévu chaque détail de la traversée ». 

Un sujet qu'il connaît bien, puisque, avant la sortie du film, il avait songé à écrire une comédie musicale sur le Titanic. « J'avais prévu une histoire d'amour, avec le Destin matérialisé par un personnage. C'était ambitieux, mais pas hollywoodien ! Je travaille maintenant sur d'autres idées, qui, j'espère, demeureront originales jusqu'à leur création ! » 

 

6 Octobre 2011: Le Parisien

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Serge Lama : «Je souffre trop»

TOURNEE. Le chanteur assure tout le week-end ses concerts à l’Olympia avant d’enchaîner en province. Mais sa tournée devra ensuite s’interrompre à cause de terribles douleurs à la hanche qui vont nécessiter une opération.

EMMANUEL MAROLLE

 

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souffre. Mais il a l'habitude. «Depuis l'âge de 22 ans, je marche de travers, je suis sur roulement à billes.» La faute à un terrible accident de la route, en 1965, qui a coûté la vie à sa compagne de l'époque, Liliane Benelli, et son régisseur de tournée, Jean-Claude Ghrenassia, le frère d'Enrico Macias. Lui a survécu mais en est ressorti en miettes, cassé de partout

«J'ai eu 14 opérations à l'époque. J'ai toujours eu mal depuis, mais là ça dépasse tout», explique-t-il avant d'entamer, à partir de ce soir, son week-end de concerts à l'Olympia. Quelques-uns des spectacles qu'il a pu sauver au milieu d'une tournée en partie annulée.

«Jusque là, je me soignais avec des conneries, des Aspegic. Mais je souffre trop, je ne peux pas descendre des escaliers, marcher trop longtemps. Les déplacements pendant les tournées me tuent. Donc, il faut que je me fasse remplacer la hanche gauche.» L'opération aura lieu en février et sera suivie de trois bons mois de convalescence. Un comble pour l'artiste de 68 ans, boulimique de spectacle. «Ce n'est pas vraiment dans ma nature. J'ai fait parfois 250 concerts par an, 300 même en 1976. J'étais un malade mental, sans doute pour combler un manque, celui de mon père, qui n'avait pas pu faire carrière en tant que chanteur d'opéra. A cette époque, je chantais pour deux.»

Désormais, le répertoire de Serge Lama, subtilement habillé d'arrangements sobres - un accordéon, une guitare - vieillit bien, en attendant de nouvelles chansons, malgré la convalescence. «Cela ne m'empêchera pas d'écrire. Et puis, j'ai des centaines de textes en stock. Parfois, j'en fait des chansons des années plus tard. Cela me fait toujours marrer quand elles arrivent sur un disque et qu'on me dit: "Oh, c'est formidable, le texte est tellement actuel". Alors que je l'ai écrit quinze ans auparavant», conclut-il avec son éclat de rire légendaire. Serge Lama ne va pas si mal que ça.

Ce soir, demain et dimanche à l'Olympia. Le 29 à Arras, le 5 novembre à Tours, le 6 à Nantes, le 19 à Lyon...