10.05.2009
10 Mai1983:Concert Forum de Liège
08:04 Publié dans 1983, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0)
10 mai 1986 : Télé Loisirs
06:45 Publié dans 1986, La presse des années 1980 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : serge lama
10 mai 1999 : C’est au programme - France 2
Alice Dona est invitée dans l'émission C'est au programme du 10 mai 1999 à l'occasion de la sortie de son album Couleurs de l'ombre. Serge lama a enregistré un message pour Alice.
01:00 Publié dans 1999, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
Mai 1969:Dossier secret
00:45 Publié dans 1969, La presse des années 1960 | Lien permanent | Commentaires (0)
10 Mai 1985 : Studio 1 - Europe 1
En mai 1985, Serge Lama participe à l'émission Studio 1 sur Europe 1 animée par Michel Drucker.
EXTRAITS
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09.05.2009
9 Mai 2005:Ouest France
Concert donné salle du Casino de Bénodet le 6 mai 2005
Salle comble pour le spectacle de Serge Lama
Vendredi soir, Serge Lama s’est produit à guichets fermés, à la salle du casino. Bien vite, les réservations avaient largement dépassé les attentes des organisateurs.
« C'est un spectacle de duettiste, que certains peuvent appeler spectacle minimaliste ou confidentiel... J'ai décidé ce soir, de vous donner l'intégralité du spectacle, avec ma voix.
Vendredi soir, Serge Lama est venu à la rencontre de son public. S'offrant même une pause, un moment surdimensionné, une sorte d'entracte. Sauf que je reste. » Ce fut l'occasion d'évoquer ses débuts en 1964, avec trois chansons dans un cabaret de la rive gauche. Surtout, l'occasion de jouer avec les mots. De s'amuser avec son public, avec des allusions à La Baule. Sur la scène, il n'avait pour complice que Sergio, un accordéoniste, dont l'instrument était capable de sortir des accords d'orgue, des arpèges de piano, des mélodies de bastringue... Les notes d'accordéon rythmaient les mots du grand Serge. L'émotion à fleur de peau. Entre les titres à succès, il glisse des chansons moins connues.
Après l'intro « Je n'ai pas eu de ballons rouges quand j'étais gosse dans mon quartier », Serge Lama chante « J'ai essayé à 100 reprises de vous parler de mon ami ». Avec un brin de nostalgie, il évoque les jardins ouvriers de son enfance, sur l'air d'une ritournelle, une valse à vingt temps, à vingt ans. Avoir 20 ans, comme ces jeunes partis pour la guerre d'Algérie. Il quitte son costume sombre, pour revenir sur la scène revêtue d'une veste blanche, avant de lancer dans le public, sa paire de lunettes noires. « L'amour rend les belles femmes ». Il chante « Femme, femme, femme ». Le public l'ovationne et sollicite un rappel. Quelle belle rencontre, sans doute trop courte.
16:48 Publié dans 2005, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
9 Mai 2010 : Nice Matin
07:00 Publié dans 2010, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
9 Mai 1970: Podium
Le 9 Mai 1970 on pouvait écouter Serge Lama dans l'émission PODIUM présentée par Georges de Caunes
Télé 7 jours
Serge lama était même l'invité d'honneur avec 5 titres :"Les vagues de la mer", "Charivari", "Ballade pour une colombe", "C'est toujours comme ça la première fois", "Et puis on s'aperçoit"
01:50 Publié dans 1970, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
08.05.2009
8 mai 1988 : La Presse
20:56 Publié dans 1988, La presse des années 1980 | Lien permanent | Commentaires (0)
8 Mai 2010: Evasion Mag
SERGE LAMA : « LA CHANSON EST LA BASE DE MA VIE »…
Qu’est-ce qui fait courir Serge Lama après tant d’années de scène, de disques, de tournées, de planches ? La chanson, tout simplement, même s’il s’en est quelquefois écarté… Oh, pas très souvent car il y revient toujours. Et vous pourrez voir que « L’Ami-Lama » a toujours sa voix, son talent, sa passion, le samedi 8 mai à 20h45 au Théâtre Galli de Sanary.
Rencontre avec un artiste incontournable de notre belle chanson française.
« Alors, Serge Lama, qu’est-ce qui fait que vous n’arrêtez jamais ?
Tout simplement l’envie de chanter, de rencontrer le public. Alors je pars sur les routes jusqu’à ce que j’ai fait les salles « faisables », les lieux les plus divers, petites ou grandes salles, Zéniths ou Palais des Sports, théâtres…
J’ai tourné « Accordéonissi-mots » durant quatre ans, j’ai fait un disque « L’âge d’horizons » et je repars avec un nouveau spectacle que je tourne jusqu’au mois de mai et que je reprendrai en janvier !
Quelle différence avec le précédent ?
Tout d’abord, il y a un musicien de plus, un guitariste, ce qui permettra à mon accordéoniste Sergio Tomassi d’un peu respirer ! Tout le tour a été revu et corrigé dans un style plus manouche et puis, j’ai changé beaucoup de chansons….
Lesquelles ?
Difficile à expliquer… il faut venir voir ! Le spectacle se divise en trois, un peu comme au théâtre. Il y a trois actes. Le fil conducteur c’est… moi ! Mais à chaque acte il y a une couleur. J’ai gardé quelques chansons incontournable comme « Je suis malade », j’ai mis sept chansons de mon dernier album, ce qui est énorme par les temps qui courent et j’ai remis certaines que je n’ai plus chantées depuis des années….
En quoi cela est-il « énorme » de mettre sept chansons du dernier album ?
Parce que, aujourd’hui, les public vient écouter les chansons qu’il aime. Il est moins curieux des nouveautés et s’ennuie vite s’il ne s’accroche pas à des mélodies qu’il connaît. Avant, les artistes « rodaient » leurs chansons devant le public, avant de les enregistrer, afin qu’elles soient fin prêtes au moment de l’enregistrement. Aujourd’hui le public préfère les chansons qui leur rappellent des souvenirs, plutôt que des découvertes. Elles font partie de leur vie, il faut les satisfaire.
C’est ce qu’ils cherchent dans la tournée « Age Tendre »… Pourriez-vous la faire ?
Pourquoi pas, si mon public ne venait pas me voir ? Mais j’ai la chance d’avoir un public fidèle, qui ne vient que pour moi et c’est d’ailleurs pour ça que j’ajoute ces chansons de mon dernier album, il les connaît déjà. Mais je trouve que Michel Algay a eu une magnifique idée que de faire remonter nombre d’artistes qu’on ne voyait plus sur scène. Le public y retrouve toute sa jeunesse et tout le monde y trouve son compte.
Passer de grandes à de petites salles, cela ne pose-t-il pas de problème pour le concert ?
Vous savez, ce qu’on perd d’un côté, on le gagne de l’autre : dans des petites salles, comme l’Olympia que je ferai le 5 avril, c’est plus intimiste, on est près du public, il vous voit et vous le voyez et l’on n’a pas besoin de chanter en force. Dans les grandes salles, comme le Palais des Congrès que j’ai fait en décembre, il y a plus d’espace, plus de solitude, il faut aller cherche le public plus loin donc porter la voix. Mais chanter « Je suis malade » dans une grande salle, c’est quelque chose de formidable ! Finalement, même si ça ne se voit pas, je suis très proche d’un rocker !
Vous avez écrit, voici trois ans, un recueil de poésie intitulé « Sentiment, sexe, solitude ». Avez-vous envie de récidiver ?
Vous savez, j’écris sans arrêt, je n’arrête pas. Mais je ne sais écrire que des poèmes et si j’ai fait ce livre c’est que mon éditrice, Anne Carrière, a eu confiance en moi. Lorsqu’on sait qu’un poète connu vend entre 1.000 et 1.500 livres, moi j’en ai vendu 75.000 parce que je m’appelle Lama !
Donc, pour le moment, ça n’est pas d’actualité. Par contre, j’aimerais peut-être faire un spectacle parlé et chanté autour de ces poèmes et de ce thème… Mais ce n’est qu’une idée.
Et écrire votre bio ?
Alors là, c’est un autre problème ! On me le demande depuis au moins vingt ans !. D’abord, comme je vous l’ai dit, je ne sais écrire que des poèmes et puis j’ai un énorme problème : je n’ai aucune mémoire ! Je passe mon temps à chercher le nom des gens, lorsque ma femme, Michèle, me rappelle quelque chose, moi je ne m’en souviens jamais, alors vous pensez, écrire mes mémoires !!!!
Je ne vis que dans le présent, dans l’instant, le passé, ,je l’oublie. J’aurais peut-être dû tenir un journal au quotidien mais aujourd’hui, c’est trop tard !
Par contre, j’ai de quoi enregistrer vingt disques ! D’ailleurs, lorsque je sors un nouveau disque, il y a certains textes qui datent de deux, dix, quinze ans !
Et le théâtre ?
Ca a été une période de ma vie. Grâce à « Napoléon », qui était une comédie musicale et qui mêlait théâtre et musique, j’ai reçu quelques propositions et j’ai ainsi joué « La facture », pièce que Françoise Dorin avait écrite pour Jacqueline Maillan et dont elle a fait une version « mâle » pour moi et « Tôa » de Sacha Guitry. Mais ça a été une parenthèse et mon vrai métier reste la chanson.
C’est la base de ma vie… »
Propos recueillis par Jacques Brachet
20:27 Publié dans 2010, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)