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13.03.2012

13 Mars 2014: Le parisien

Article publié avant le concert du 15 Mars 2014 à Margny les Compiègnes

 

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12.03.2012

12 Mars 2014: Mot de Serge

Mot de Serge Lama après l'enregistrement du Grand Show qui sera diffusé le 22 Mars 2014

 

Le 12-03-2014
Je viens de vivre deux jours merveilleux, d'intense télévision, qui fait l'honneur de consacrer, à votre humble ami, un Grand Show Spécial de plus de deux heures. Je ne vous dévoilerai rien bien sûr, sinon qu'à mon sens, c'est la meilleure émission de vraie variété française que j'ai faites depuis belle lurette, et ce grâce à l'énergie, la générosité et l'envie de dizaines d'artistes de toutes les générations. J'espère que l'image de la chanson française en sortira gagnante, car vraiment, j'y étais, et c'était beau, émouvant, et à mes yeux, unique. C'est mon cadeau pour le samedi 22 mars, sur France 2. On se reparle après…

Votre Lama

10.03.2012

10 Mars 2014: La voix du Nord

Interview publiée dans la voix du Nord avant le concert du 14 Mars 2014 aux arènes de petite -Forêt

 

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J’ai un besoin viscéral de la scène

 

 

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Cela fait cinquante ans que vous avez commencé dans la chanson, vous n’éprouvez pas de lassitude ?
« Je n’ai jamais ressenti de lassitude. Je suis à l’âge où je pourrais tirer ma révérence, mais j’ai un besoin viscéral de la scène. Je dis toujours que c’est la scène qui m’abandonnera parce que mon corps ne suivra plus. Je n’ai pas l’air comme ça, mais je suis un chanteur qui, sur scène, utilise au moins autant d’énergie qu’un rockeur. C’est un engagement physique très important, donc peut-être qu’un jour mon corps me dira J’en ai marre . Dans ce cas-là, je serai obligé de lui obéir, et ce ne sera pas de gaieté de cœur, mais pour l’instant ça tient. Je résiste à toutes les tempêtes, à tous les événements de la vie. Je me suis fait opérer de la hanche il y a deux ans et je m’en suis remis. Je suis reparti à l’assaut plus neuf que je ne l’étais. Je pense que tant que je pourrai, je continuerai à monter sur scène, et lorsque je ne le pourrai plus, je resterai dans le métier d’une façon détournée, avec des concerts moins nombreux pour garder ce plaisir. »



Pouvez-nous vous rappeler comment votre histoire d’amour avec la musique a commencé ?
« On pourrait y passer des heures. D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours voulu faire ça. Petit, je suis allé voir mon père, qui était chanteur. J’avais cinq ans, je me souviens même que c’était dans la banlieue de Bordeaux. Je m’étais dit que j’étais heureux d’aller voir mon père jouer l’opérette dans Sissi, qui a eu un succès considérable. Je me suis dit dans la voiture : Il faut que tu n’oublies jamais ça de ta vie car je n’avais pas l’occasion d’aller à tous ses concerts. Je ne l’ai jamais oublié. On pourrait dater cet événement de manière officielle comme ce qui m’a donné envie de travailler dans la chanson, mais c’est peut-être pire que ça, c’est depuis la naissance. »


Aujourd’hui, voyez-vous la chanson de la même manière qu’il y a un demi-siècle ?
« Je vois que la chanson est en train de perdre ses lettres de noblesse. Pendant longtemps, la chanson a été importante pour la thérapie des gens. On entendait les gens siffler dans la rue, on les entendait chanter. Maintenant, ce n’est plus possible car les chansons qu’on passe à la radio n’ont plus les mélodies pour. Les gens les aiment car elles sont bien chantées et qu’il y a un truc rythmique qui fait que la jeunesse s’y accroche, mais ce sont des chansons pour discothèque. Jean-Jacques Goldman a écrit un disque Chansons pour les pieds et je crois que maintenant on fait de la chanson pour les pieds, beaucoup plus que pour la tête et le cœur. C’est une chose dangereuse car la chanson, vu que l’école ne fait pas toujours très bien son travail, est le dernier véhicule qui transmettait encore des mots, des phrases et des idées ou des pensées. Une sorte de poésie populaire qui est en train de se perdre car on nous anglicise de plus en plus. Les radios ne prennent pas le risque de faire découvrir de nouveaux chanteurs. Ils n’en retiennent que quelques-uns comme Christophe Maé, Matt Pokora qui sont des excuses pour tout le reste, mais il y en a plein derrière qui ont du talent et des choses à dire, mais qui n’arrivent même pas à faire leur premier disque. »



Vous avez justement écrit un titre pour Christophe Maé ?
« Oui, j’ai écrit pour lui le texte de la chanson Je veux du bonheur, qui est aussi le titre de son disque. En ce moment, c’est le genre de chansons qu’on a envie d’entendre. Mais je veux du bonheur implique qu’il n’y a pas de bonheur et qu’il faut en trouver, ce qu’il a bien exprimé dans son clip. Je suis fier d’avoir écrit cette chanson car c’est lui qui me l’a demandé et que ça a été un succès. Ça prouve que des mots d’un homme de 70 ans peuvent toucher des gosses de 18 ans de la même façon.



Est-ce différent de se produire dans la capitale et dans les salles de province ?
« Je crois que le public peut avoir des tempéraments différents. Mais je trouve que du côté du Nord, les gens sont généralement très spontanés, sans a priori. Si vous leur plaisez, ils ne vont pas vous cacher leur bonheur dans une sorte de snobisme dont sont parfois parées certaines régions. À l’arrivée, le résultat est le même. Le jeu de la scène est une sorte d’envoûtement. »



Peut-on s’attendre à des surprises lors du concert ?
« Le spectacle en lui-même est une surprise. C’est un concert comme je n’en ai jamais fait dans ma carrière. J’ai fait des tas de choses, mais ça c’est un spectacle sur lequel je n’arrive pas à mettre de mots. C’est une sorte d’autobiographie, qui est un petit fil conducteur, et le public est emporté dans ce spectacle entre les lumières, le décor etc. À la fin, c’est simplement la folie. J’ai fait six mois de tournée, donc je peux en parler. »


S’il n’y avait qu’un ou deux titres que vous aimeriez que l’on retienne de votre répertoire, quels seraient-ils ?
« Je serai très content que les gens choisissent déjà un titre. Pourquoi Plaisir d’amour est resté ? C’est que, sans doute, ce titre correspond profondément à quelque chose à l’intérieur du peuple, à l’intérieur des gens. Ils ne connaissent peut-être ni l‘auteur, ni les musiciens, simplement cette chanson leur fait plaisir lorsqu’ils l’entendent. Il y a quelques chansons comme Le Temps des cerises qui sont restées, mais il n’y en a pas des masses. »



Vendredi 14 mars, aux Arènes de Petite-Forêt. Places : 55 et 51 €. 03 27 32 47 91.

 

04.03.2012

4 Mars 2014: Livre Marcel Amont

Marcel Amont a publié ce livre de lettres à des amis, parmi les amis il y a Serge Lama

 

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02.03.2012

2 Mars 2014: Vivement Dimanche Tony Carriera

 

Dimanche 2 Mars , Michel Drucker consacre l'après midi au chanteur  Tony Carreira. Serge Lama fait parti des invités

 

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Avec : (entre autres) : Anggun, Natasha Saint-Pier, Gérard Lenorman, Lio, Serge Lama...

 

 

 

01.03.2012

1 Mars 2014: Le grand Show Louis Mariano

Serge Lama participe à cette émission hommage à Louis Mariano né il y a 100 ans

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Télé star du 1 Mars 2014

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Télé 7 jours du 1er mars 1974

 

 

 

27.02.2012

27 Février 2014: Le Dauphiné


Serge Lama en concert le 27 Février 2014 au Phare de Chambéry

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Chambéry : Serge Lama n’était pas venu depuis 34 ans !

 

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Annoncé pourtant souffrant, Serge Lama mouille la chemise comme jamais pour les 4000 Chambériens et Savoyards réunis sous un chapiteau installé sur l’ancien parking Jorcin, à côté du Lycée horticole du Bocage. 34 ans plus tard, il est probable que nombre de ses fans d’alors seront encore au rendez-vous, ce soir, au Phare, pour écouter leur idole.


Qui a dit que Chambéry sonne le vide au mois d’août ? Pas, en tout cas, ce mercredi 20 août 1980. 34 ans déjà. Serge Lama, au faîte de sa gloire, fait le show devant 4000 personnes sous un chapiteau dressé sur le parking “sauvage” de Jorcin. L’équivalent du Phare rempli à ras bord : 3100 chaises à 60 et 80 francs, 900 places en gradin à 40 francs !

François Vuillermet, président du Soc football à l’époque, a gagné son pari. Il a pris un risque financier (80 000 francs de l’époque, plus 7% de TVA !), et mis tout le monde sur le pont : joueurs, bénévoles... Tout le club mouille le maillot en plein été.

Serge Lama, lui, est annoncé grippé depuis quelques jours. François Vuillermet se souvient avoir tremblé jusqu’aux dernières heures. « Dans le contrat, il était spécifié que s’il ne venait pas, Michèle Torr le remplacerait au pied levé. Mais je n’en voulais pas de Michèle Torr, c’était pas pareil ! » Et pas son choix. Un an de démarches pour décrocher ce gala, alors que le producteur de spectacles Jean Renzulli lui propose Pierre Perret, un duo “dans le vent” avec Alain Souchon et Laurent Voulzy, ou le “supershow” de Dalida. Sa passion pour le chanteur a-t-elle fait la différence ? « C’est surtout que Lama, c’était pas rien, il avait la grosse cote et tout en voulant rendre les gens heureux, je voulais qu’on mette du beurre dans les épinards du club ! »

Jean-Louis Maisin, le dernier disquaire de Chambéry, est au concert ce soir-là. Il verra Lama enchaîner ses succès, des autographes et des photos, avec bienveillance pour son public jusqu’à 1 heure du matin !…
Richard Cocciante avant lui

« En première partie, on a aussi découvert un chanteur qui a fait son bout de chemin : Richard Cocciante ! » La première tournée française pour l'interprète du “Coup de soleil” ou de “Marguerite”. Dans son esprit de fan, Jean-Louis Maisin n’a plus souvenir de Lama à Chambéry. Rien que dans les années 2000, le grand Serge est passé trois fois à Aix-les-Bains (en 2002, 2005 et, la dernière, le 4 mars 2009). Il a aussi fait un tour de chant avec “Accordeonissi-mots” à Albertville en 2004. À Chambéry, c’est une absence de 34 ans que l’artiste va combler ce soir. Cela ne l’empêchera pas d’y chanter “Chez moi”..

 

22.02.2012

22 Février 2014: Paris Normandie

Serge Lama était en concert le jeudi 20 Février au centre culturel Guy Gambu à St Marcel

 

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LIRE

17.02.2012

17 Février 2014: L'express

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Serge Lama, Grands Prix SACEM 2013: "Depardieu pourrait jouer mon rôle au cinéma"

 

Le Prix Spécial de la SACEM, dont la cérémonie a lieu lundi à L'Olympia, couronne le chanteur de Je suis malade, Serge Lama. L'occasion de le soumettre à une interview loto.

Le Prix Spécial de la SACEM couronne le chanteur de Je suis malade. Tandis qu'un double CD + DVD live, La Balade du poète, rassemble ses plus grands tubes. L'occasion de soumettre l'immense Serge Lama à l'interview loto. 5 numéros tirés parmi 49. Chacun correspondant à une question. Plus la complémentaire.

 Avez-vous des héritiers ?

Je me sens davantage fils de la chanson française, héritier d'une tradition que père d'enfants illégitimes, même si je me retrouve parfois dans Nicolas Peyrac ou Bénabar.

 

Plutôt Brel ou Brassens ?

Oh la la...question piège. C'est épouvantable, vous voulez m'obliger à tuer le père (gros rire). Brassens, c'est l'amour des mots, de la prosodie, de la chanson bien construite. C'est le seul à avoir bâti une œuvre cohérente, tel un écrivain. Brel m'a impressionné en tant qu'interprète, en tant que porteur de mots universels.

 

Regrettez-vous des rencontres qui ne se sont pas faites ?

Oui, Edith Piaf. Elle est morte en 1963, j'ai débuté un an après. D'Aventures en aventures a été écrite pour elle. On m'avait commandé une chanson pour une interprète qui avait sa voix... C'est finalement Zizi Jeanmaire qui l'a magnifiquement créée.

 

Quel est votre chef-d’œuvre?

J'aime beaucoup Et puis on s'aperçoit, un morceau qui rassemble tous les thèmes dont je parle depuis cinquante ans : le désir de s'évader, le couple, l'amour, l'amitié, la solitude, l'ennui, la difficulté de vivre. En quatre minutes, j'exprime les obsessions de ma vie et de ma carrière. C'est très noir, ensuite, je ne peux rien chanter derrière...

 

Si votre vie était adaptée au cinéma, qui pourrait jouer votre rôle ?

Comme il sait tout faire, je dirais Gérard Depardieu. Avec son côté cabossé, il pourrait tirer quelque chose de ma vie. Un soir où je sortais de scène, il m'avait lancé des coulisses : "ça c'est un homme !" Cela m'avait un peu cloué. Et flatté

.

Et la question complémentaire : Vous recevez le Prix Spécial de la SACEM qui est un peu le grand prix des grands prix. Quelle impression ?

Je suis évidemment très fier d'être couronné par mes pairs, ceux qui représentent tous les auteurs et compositeurs. C'est une belle reconnaissance, j'ai l'impression d'exister pour les gens du métier. Vous savez, on est très seul. Au fond, on ne sait jamais qui vous aime vraiment.

16.02.2012

16 Février 2014: Philippe Hervouët à L'Olympia

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Tous les fans de Serge Lama connaissent Philippe Hervouët et ses guitares puisque Philippe  accompagne Serge sur scène et en studio depuis quelques années.

Philippe est un artiste à part entière qui a sorti un album de sa composition Mabden.

 

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Il se produira le 16 Février 2014 sur la mythique scène de l'Olympia.

Plus de renseignements ICI

 

Serge Lama parle de Philippe

 

Voici le clip d'un de ses titres" Encore là"


PHILIPPE HERVOUËT " Encore là " (clip officiel... par MK-Evenementiel