Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

02.10.2009

2 Octobre 1984: Première du spectacle Napoléon

Le 2 Octobre 1984, Dalida, Sheila, Annie Duperay, Annie Cordy, Line Renaud, Chantal Goya.....assistent à la première du spectacle "Napoléon" au théâtre Marigny.

2 oct 84.jpg

Mot de Serge dans le journal la Fronde N° 61

Publié dans la fronde numéro 61: Octobre 1998

 

numérisation0109.jpg

2 octobre 1996 : DVD Lama l'ami

 Sortie du DVD LAMA L'AMI enregistré à l'Olympia en 1996.

 

serge lama

serge lama

 

 

2 Octobre 2011: La Montagne

Au lendemain du concert de Serge Lama au Zenith de Clermont Ferrand le journal la Montagne publiait cet article

 

Presse-papiers-1.jpg

.

01.10.2009

1982: Chanson "J'ai l'air comme ça"

Scan.jpg

Cette chanson "j'ai l'air comme ça" signée Claude Lemesle / Alice Dona que l'on trouve sur l'album "laissez passer la chanson" avait au départ été écrite pour Lama mais ce dernier ne l'a jamais enregistrée.

Voici ce qu'Alice Dona écrit dans le livre "Quelques cerises sur mon gâteau" :

On avait écrit avec Claude Lemesle un titre spécifiquement pour Lama, à la demande expresse de ce dernier, intrigué de savoir ce qu'un auteur autre que lui pourrait lui concocter. Mais au bout du compte, bien qu'il est trouvé la chanson magnifique, Serge n'a pas osé tenter l'aventure, estimant que le sujet et la façon dont il était traité risquaient de bouleverser l'image que le public avait de lui.

Et pourtant quand on le connait bien, c'était vraiment du sur-mesure...

 

Qu'est'c'que tu croyais
Qu'jallais t'faire le grand numéro
Genre un de perdu, dix à la colle
Que j'allais sortir côté jardin sous tes bravos
Comm' dans les ruptures d'la vieille école
Est-c' que tu m'prenais
pour un sourire de papier
Une gravure de calendrier
Est-c' que tu croyais
que derrière la photo couleur
y'avait pas un coeur ?

J'ai l'air comm'ça
Costaud et tout
Genre qui pleure pas
Genre qui s'en fout
Le masque dans le marbre
J'ai l'air comm'ça
D'un ouragan
D'un Attila

 

Mais j'tiens tell'ment
Plus du roseau que d'l'arbre
Je suis vulnérable
Un' statue de sable
Au vent

Je m'croyais blindée
Bien à l'abri dans mon orgueil
Trois nuits de cafard et tout s'efface
J'avais seul'ment oublié
Qu'on est d'autant plus seul
Qu'elle est plus épaisse la cuirasse
Comme une obsédée
je m'accroche à ton sourire
Sur l'écran géant du souvenir
Et je traîne ma carcasse au milieu de ma vie
Vingt-quatre heures par nuit

J'ai l'air comm'ça
Costaud et tout
Genre qui pleure pas
Genre qui s'en fout
Comme de sa première claque
J'ai l'air comme ça
D'être en béton
Du haut en bas
Aux fondations
Mais mon ciel se détraque
Et la maison craque

Et j'ai plus l'air
De rien du tout
Je m'fous en l'air
La terre s'en fout
Je m'fous de tout' la terre
A part d'un seul
Un pas comme moi
Qu'a pas la gueule
Pas l'air comme ça
Mais qui m'a prise minable
Je suis incapable
De m'déraciner de toi
Je vis dans ton ombre
Je suis comme tout l'monde
Même ... si j'ai l'air ... comme ça !

 

 

 

22:17 Publié dans 1982, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)

Mot de Serge dans le journal la Fronde N° 58

Publié dans la fronde numéro 58: Hiver 1996

 

jan 97.jpg

Automne 1976:Mot de Serge

Dans la Fonde N°14 de l'automne 1976, mot manuscrit de Serge Lama

Scan.jpg

Octobre 1984:Dauphiné Libéré

numérisation0021.jpg

LIRE

numérisation0022.jpg

LIRE

1967: livret partition de 'Sans toi'

Presse-papiers-16.jpg

Le vent dans les arbres d'automne
Le piano muet qui s'étonne
Et ton souvenir dans ton coeur
Comme au printemps bougent les fleurs
J'aurai beau le taire ou le dire
Ma vie ne saurait être pire
Que ce manège déserté
Où plus rien ne viendra chanter

Sans toi, cette vie m'emprisonne
Sans toi, je ne suis plus personne
Que Noël carillonne ou pas
Tu ne reviendras pas

Ces trottoirs où la pluie voltige
Le piano muet qui s'afflige

Et ton souvenir dans mes yeux
Ca m'empêche de croire en Dieu
J'aurai beau le dire ou le taire
De tous les bonheurs de la terre
Celui que ta main m'a donné
N'aura pas de nouvelle année

Sans toi, cette vie m'emprisonne
Sans toi, je ne suis plus personne
Que Noël carillonne ou pas
Tu ne reviendras pas

Cette neige sur les hospices
Et ce piano comme au supplice
Et ma voix là-bas qui se perd
Comme une vague sur la mer
J'aurai beau le dire ou le taire
Il y a quelque part un mystère

Quelque part une ombre qui dort
Quelque part un autre décor

Sans toi, cette vie m'emprisonne
Sans toi, je ne suis plus personne
Que Noël carillonne ou pas
Tu ne reviendras pas

20:59 Publié dans 1967, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)

Octobre 1998: Serge Lama parle du Symphonique

Serge Lama dans le magazine la Fronde N°61 d'Octobre 1998 évoque ses futurs concerts accompagnés d'un orchestre symphonique.

numérisation0007.jpg

numérisation0012.jpg

LIRE

numérisation0015.jpg