Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30.11.2009

30 Novembre 1967 : super 45 t Pathé Marconi EMI EGF 1004

 

Presse-papiers-1.jpg

 

- Les roses de Saint Germain

- Mon doux agneau, ma tendre chatte

- Dans les usines

- Dedoublement de personnalité

 

Titres signés Lama / Gilbert

 

 

30 novembre 1970 : Deux sur la 2

3.png

Deux sur la 2 est une émission diffusée sur la 2ème chaîne de l’ORTF. Présentée par le duo Roger Pierre et Jean-Marc Thibault, elle ne connaîtra que 16 numéros.

4.png

3.jpg

Télé 7 jours du 30 novembre 1970

 

Serge Lama participe à l’émission du 30 novembre 1970 et interprète la chanson Vivre tout seul.

 

 

 

30 Novembre 1987:Les trophées de l'entreprise

Dans cette émission diffusée sur TF1 le 30 Novembre 1987 Serge Lama avait interprété "On devient un émigrant "

 

les trophée de l'entreprise 1987.jpg

Télé poche du 28 Novembre au 4 Décembre 1987

1.jpg

2.jpg

 

EXTRAIT AUDIO

 

30 Novembre 1986: Le progrès

numérisation0102.jpg

numérisation0103.jpg

LIRE

numérisation0104.jpg

LIRE

30 novembre 1978 - Salle de musique à Chaux de Fonds (Suisse)

Critiques du concert de Serge Lama à la salle de musique de Chaux de Fonds

 

1978-12-01 - L'Impartial.jpg

L'Impartial du 1er décembre 1978

 

1978-12-02 - L'Express.jpg

Express du 2 décembre 1978

 

30 Novembre 2001:France Dimanche

Papier dans France Dimanche après le passage de Serge Lama dans l'émission Vivement dimanche

 

numérisation0005.jpg

 

270327510.jpg

 lire

 

2454472967.jpg

30 novembre 1998 : Noctiluque - France Inter

 

Noctiluque (1996-2012) est une émission diffusée dans la nuit du dimanche au lundi et présentée par Brigitte Kernel.

1.jpg

Serge Lama est l’invité du « fan clubbing » diffusé dans l’émission Noctiluque et est interrogé par Christina Figueras. 3 fans de Serge Lama y sont interrogés

2.jpg

EXTRAIT

 

30 Novembre 2001: Libération

Presse-papiers-2.jpg

Presse-papiers-1.jpg

30 novembre 1998 : Sud-Ouest

Critique du concert de Serge Lama  avec l’Orchestre Symphonique d’Ile de France le 28 novembre au Pin Gallant à Mérignac

 

Classiquement Lama

 

Le chanteur était samedi soir au Pin Galant, accompagné d'un grand orchestre

Musicalement, le week-end s'annonçait sans répit pour les amateurs de chanson française. On signalait comme il se doit la présence de Johnny Hallyday à Bordeaux, suivi des 2B3 dimanche, alors que d'autres indiquaient simultanément le passage de Julien Clerc à Saint-Loubès. Mais notre attention s'est finalement portée sur la salle du Pin-Galant de Mérignac où la prestation scénique de Serge Lama paraissait la plus novatrice - le chanteur devant s'y produire en compagnie de l'Orchestre Philharmonique d'Ile-de-France, sous la direction de Michel Guillaume. 

Lama pouvait ainsi faire d'une pierre deux coups : satisfaire un public de connaisseurs venus retrouver ses « classiques » d'une part, et réconcilier les réfractaires en proposant un « dépoussiérage » de son répertoire d'autre part. Mais au terme du concert, le contrat ne s'est avéré que partiellement rempli.

Car le personnage Lama, romantique, obsédé par la Femme, ne parvient jamais à nous satisfaire réellement. Accompagné d'un quatuor durant la première heure, il cherche son public, plaisante à demi-mots. Quand s'éteignent les projecteurs, un halo l'encercle inévitablement. Il sait pourtant s'effacer, rendre leur place aux musiciens, mais rien n'y fait. Alors apparaît l'orchestre. Alors s'éveille le public qui réagit enfin à tant de présence, de prestance musicale. Lama, l'homme, semble pourtant « difficile ». Fatigué, avare de sourires, il s'avance sur le devant de la scène comme à la proue de son Titanic et se régénère sous les applaudissements d'un public « bourgeois » qu'il n'hésite pas à critiquer lors des rappels. « D'habitude, à ce moment du spectacle, tout le monde est debout », lance-t-il férocement. A l'heure du départ, Lama n'enthousiasme donc pas, ou peu. Pourtant, lorsqu'il est grave, triste, accompagné par le ressac des violons, se diffuse une certaine, trop rare sincérité.

FS

 

30 novembre 2009 : Le Figaro

Article publié le 30 novembre 2009 dans LE FIGARO

 

figaro30Nov09.jpg