02.12.2009
La fronde N°56: Hiver 95/96
18:36 Publié dans 1995, La Fronde- Fan club ASL | Lien permanent | Commentaires (0)
2 Décembre 1981:Portes ouvertes
Émission de 20 mn au sujet de l'handicap diffusée le mercredi à 13h35 sur TF1
Au sommaire de l'émission du 2 Décembre 1981:
Présentation du Variety Club, crée par les gens du spectacle pour les enfants handicapés : Serge LAMA parle de sa motivation ; Pierre DELANOE de son rôle de trésorier du club ; et Pierre SABBAGH du coeur des artistes qui se donnent à ce public.
EXTRAIT AUDIO
16:39 Publié dans 1981, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
fin 1992: Photos décors théatre
15:19 Publié dans 1992, La Fronde- Fan club ASL, Serge Lama comédien | Lien permanent | Commentaires (0)
2 décembre 1969 – Salon de la radio et de la télévision à Toulouse
Le salon inter régional de la radio et de la télévision a lieu du 29 novembre au 7 décembre 1969.
Différents programmes sont proposés durant ce salon et des vedettes s’y produisent. Serge lama participe à un concert le 2 décembre 1969. Il interprète, entre autres chansons, D’aventure en aventure.
EXTRAIT AUDIO
09:55 Publié dans 1969, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0)
1er décembre 1978 : Théâtre de Beaulieu - Lausanne
09:07 Publié dans 1978, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)
2 décembre 1995 : Télépoche
07:00 Publié dans 1995, La presse des années 1990 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : serge lama
2 décembre 1995 : Téléstar
06:50 Publié dans 1995, La presse des années 1990 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : serge lama
Décembre 2012: Yann Moix
Pour accompagner la sortie du nouvel album, Yann Moix écrit ceci:
Yann Moix photo D.R.
LE CENTAURE
Le fils Chauvier, aidé par personne, est devenu Lama sans renier Serge : c’est ce centaure qui chante aujourd’hui, les jambes emmêlées dans le fil de son micro sans-fil.
Lama possède ce génie-là : on voit toujours et encore, grâce à lui, le fil du micro. Il n’insulte jamais la tradition : il la révèle. Il insulte encore moins la relève : il l’accompagne.
Lama, Serge, est le seul chanteur révolutionnaire encore debout. Il fait tourner les airs révolus, tourbillonner les refrains passés, jusqu’à ce qu’ils naissent une nouvelle fois, jusqu’à ce qu’ils jaillissent, plus inédits que jamais. Tout ce que chante Lama est toujours neuf, surtout ses anciennes chansons.
C’est cela la révolution : opérer un retour, mais vers demain. Lama se retourne vers l’avenir. Il sait que le passé est la capitale du futur. Un lieu de perpétuelle fraîcheur, où sans cesse on renaît sans se renier. Les autres sont des stars, lui est un astre. Il tourne autour de quelques maîtres qui lui servent de soleils portatifs – Brel, Piaf, Bécaud.
Mais Lama ne fait pas qu’écrire des chansons : il chante son écriture. Ce n’est pas exactement la même chose. Une musique se déploie en lui, par lui, avec lui, qui n’est pas celle des arpèges, des gammes et des portées : mais celle de la littérature, qu’il connaît et qui l’a reconnu.
Le fils Chauvier chante pour les autres fils, il ne chante ni pour les pères ni pour les mères, surtout quand il chante ses parents. Il chante pour l’enfant d’un autre et l’enfant au piano, pour les p’tites femmes et la fiancée, pour la fille dans l’église et la danseuse : il est ennemi de ce qui est lourd, adulte, pesant, statue. C’est l’homme de ce qui s’envole, le fils des ballons rouges et des ballerines ; un homme de plume, mais parce que pour lui rien n’est plus léger qu’une plume. Un homme d’amitié, et même un homme-ami, l’ami fait homme, parce que l’amitié est un roc, mais qui se fissure comme sait se lézarder l’amour.
Ce que Lama aime dans les choses, ce qu’il nous dit d’elles, c’est leur talon d’Achille, leur faiblesse. Il ne chante pas tant ce qui est innocent que ce qui est inoffensif. Il est là, toujours déjà là, du côté de ce qui s’efface et s’excuse, s’étiole et s’effrite, s’abîme et s’éloigne.
L’indicible est ce qu’on ne peut dire : alors Lama le chante. S’il est malade d’une chose, c’est de l’oubli. Celui des infimes instants abolis, qui ne reviennent que dans sa bouche, empruntant sa voix. Sa voix de Centaure. Lama ne s’habitue pas aux choses qui finissent. C’est comme ça que tout a commencé. Ce commencement continue.
Yann Moix
05:05 Publié dans Ils parlent de Serge Lama | Lien permanent | Commentaires (0)
01.12.2009
Décembre 1997 :Je chante n°22- première partie
Le magazine sur la chanson française -Je chante -consacrait son numéro 22 en partie à Serge Lama
23:09 Publié dans 1997, La presse des années 1990 | Lien permanent | Commentaires (0)
Décembre 2003: Platine
22:13 Publié dans 2003, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)