31.12.2009
31 Dec 1990 télé loisirs
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31 Décembre 1994:Télé poche
03:00 Publié dans 1994, La presse des années 1990 | Lien permanent | Commentaires (0)
28.12.2009
28 Décembre 1994: Ici Paris
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28 décembre 1990 : Le Parisien
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26.12.2009
26 Décembre 1992: Journal régional Marseille
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26 Décembre 1990: Intimité
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25.12.2009
24 Décembre 1994 et 12 janvier 1995: Ciné revue
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22.12.2009
22 décembre 1994 : Paris Match
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10.12.2009
10 Décembre 1994: Lesoir.be
ZOOM AVANT SUR SERGE LAMA
D'aventures en aventures
MARTIN,PASCAL
Chanson, théâtre, télévision: Lama se révèle être un animal extraordinairement entêté.
Infatigable, opiniâtre Lama. Partout et nulle part à la fois. Attendez-le sur scène, vous le croiserez jouant les commissaire Paparel dans «Garde à vue», sur France 3. Evoquez le chanteur fort en gueule, vibrant aux souffrances de l'homme blessé, réputé misogyne et sans-gêne, il vous apparaîtra costumé en Napoléon...
C'est que l'auteur-interprète Serge Lama, né Serge Chauvier un 11 février 1943, a depuis douze ans multiplié les escapades télé-théâtrales. Même s'il nous revient aujourd'hui avec un nouvel album au titre un rien mégalo, «Lama», et une tournée qui le verra certainement bouffer plus d'un micro.
Long et sinueux, l'itinéraire d'un Serge Lama n'est pas tracé d'un seul sillon. Adolescent, vouant aux gémonies son baryton de père qui a renoncé à exercer son art, seul l'écriture intéresse vraiment ce rebelle. Car d'enfant sage, il est soudainement devenu insupportable. Ses poèmes prônent maintenant la destruction et la violence. Il décide de son avenir: là où son père a failli, il triomphera. Bref, il a déjà une grande gu...
Ses débuts ne sont pas folichons. En décembre 1963, au petit Conservatoire de la chanson, Mireille lui assène ainsi un cinglant Tu n'as aucun talent. A l'École buissonnière, il a droit à un Tu fais trop Brel, Chauvier. Dans la chanson française, le grand Jacques fait désormais figure de référence et trop de jeunes en quête d'un premier disque sont en effet tentés par la copie. Qu'importe l'adversité, notre tête de mule ne se décourage pas pour autant: il enregistre un premier disque l'année suivante, puis participe aux «Relais de la chanson» qu'il gagne. Il passe ensuite en lever de rideau, à Bobino, dans le spectacle de Brassens. Il fréquente Régine, Charles Aznavour, Marcel Amont. Entre-temps, il est devenu Serge Lama.
La suite, on la connaît, pourrait-on conclure ici en pensant à ses grands succès. Ce serait méconnaître le sort qui frappe le chanteur en 1965 et révèle une opiniâtreté hors norme: près d'Aix-en-Provence, un accident de la circulation fait deux morts et un blessé grave. Ce dernier est Serge Lama que la Faculté condamne à ne plus jamais marcher et qui repartira pourtant de plus belle, brûlant une par une les étapes d'une rééducation aussi longue que pénible. C'est l'époque où il se lie d'amitié avec le pianiste-compositeur Yves Gilbert. De leur collaboration naîtront «Le Temps de la rengaine», «D'aventures en aventures», «Charivari», «Une Ile», «Et puis on s'aperçoit», «C'est toujours comme ça la première fois»... Le succès est au rendez-vous. Le public le réclame. Il remporte encore d'autres prix .
Première déconvenue en 1971: il fait un bide au Concours Eurovision de la Chanson... mais rencontre Alice Dona qui va devenir son deuxième compositeur attitré. Ensemble, ils écriront «Le Gibier manque», «Je suis malade», «La Chanteuse a vingt ans», «L'enfant d'un autre», «Chez moi», etc. Autant de succès qui jalonneront sa marche triomphale de 1974 à 1985, l'album «Superman» lui valant au passage une réputation peu flatteuse auprès de ces dames.
La suite est encore bien ancrée dans les mémoires: des tournées en pagaille et surtout la fresque musicale consacrée à «Napoléon», présenté en 1981 au théâtre Marigny. 800.000 spectateurs assisteront à ce spectacle.
Avec «Napoléon», Serge Lama mettra en quelque sorte sa carrière d'auteur-compositeur entre parenthèses. «Je t'aime» sort bien en 1987, un album live et une compil' lui emboîtent le pas pour combler ses absences, jusqu'à la sortie de ce «Lama» écrit comme il se doit avec la complicité d'Alice Dona et d'Yves Gilbert. Mais l'homme affectionne désormais le théâtre (Françoise Dorin, Sacha Guitry...) et la télévision. Cette dernière l'accueille chaque semaine dans un «Garde à vue» qui a tout de la sitcom policière, carcan où il persiste à s'enfermer. Dommage. De qualité, l'entêtement de Serge Lama est passé au rang de défaut.
P. Ma.
«D'homme à homme:
Sébastien/Lama», ce samedi sur TF 1 à 20 h 45. «Garde à vue», le dimanche sur France 3.
10:20 Publié dans 1994, La presse des années 1990 | Lien permanent | Commentaires (0)
10 décembre 1995 : Le journal du dimanche
06:55 Publié dans 1995, La presse des années 1990 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : serge lama