Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

14.06.2009

14 juin 1980 : Numéro un Serge Lama

Le 14 juin 1980, Maritie et Gilbert Carpentier proposaient sur TF1 un NUMERO 1 SERGE LAMA.

 

serge lama

 Télé star du 14 Juin 1980

 

serge lama

Télé poche du 14 juin 1980

 

serge lama

Télé 7 jours du 14 juin 1980

 
 

serge lama

 
 
EXTRAIT DE L'EMISSION
 
 

14 juin 1980 : Télé Star

Chantal VAN TRI publiait un article dans le magazine Télé Star n°193 du 14 juin 1980.

 

serge lama

serge lama

 

14 juin 1975 : Paris Match

Article publié dans Paris Match du 14 juin 1975.

 

4_6_75_a.jpg

13.06.2009

13 juin 1975 : Formule 3 – FR3

20.jpg

Alice Dona et Serge Lama sont interviewés dans un restaurant, Serge Lama interprète la chanson Chez moi  accompagné par un accordéoniste.

 

EXTRAIT AUDIO

 

13 Juin 2005: La nouvelle république du centre ouest

Palais des congrès de PARTHENAY

 

la nouvelle république .png

Serge Lama toujours en haut de l'affiche

Dès la fin d'après-midi, les inconditionnels du chanteur ont constitué une longue file d'attente sur le parvis du palais des congrès, car les places n'étaient pas numérotées. Mais à 20 h 30 sonnantes, Serge Lama, devant une salle pleine à ras bord, a ouvert la fête avec un lancer des « Ballons rouges », chanson de ses débuts en 1967. Ses chansons, soit « quelques notes amoureuses de quelques mots », ont déferlé, balayant presque quarante années de succès.

Puis, le parterre, majoritairement féminin, a fredonné puis chanté les refrains bien connus : « L'Algérie », « Le Temps de la rengaine », « La Chanteuse à vingt ans », « Les Glycines », « Les chasseurs », « Les p'tites femmes de Pigalle », etc. Serge Lama use de l'humour dans la présentation et de son charme auprès de ses admiratrices, qui n'ont pas manqué de l'interpeller et de l'encourager d'applaudissements nourris. 

Certaines ont regretté une mise en scène favorisant une complicité fréquente avec Sergio Tomassi (musicien exceptionnel faisant de son accordéon un orchestre à partie entière) et le présentant souvent de dos. Après un rappel, quand Serge s'est drapé dans le rideau de scène, pour terminer avec brio « C'est ça, être star », le public lui a fait une standing ovation méritée et justifiée.

13 Juin 1995:Studio Gabriel

Presse-papiers-12.jpg

Dans l'émission quotidienne STUDIO GABRIEL présentée par Michel Drucker et diffusée à 19h sur France 2 , Ce jour là c'est Serge Lama qui  était l'invité .

13 Juin 2010 : France Soir

Suite à sa participation au Festival Radio Classique le 12 juin, le quotidien France Soir publiait cette interview

France Soir - 2010.JPG

 

 

France Soir - 2010b.JPG

 

Serge Lama : “J’ai voulu venger mon père”

 

 Pour sa deuxième édition, le festival Radio Classique, qui se tiendra à L’Olympia les 12 et 13 juin, a invité le chanteur Serge Lama à présenter l’un de ses trois concerts.

Fidèle à lui-même, Serge Lama ne dissimule rien. Ni ses blessures d’enfance, ni son dégoût face à une société que ce grand lucide dénonce sans retenue.

France-Soir Le grand public ignorait que vous étiez amateur de musique classique.

Serge Lama Amateur, oui ; spécialiste, certainement pas. Ma culture est celle de la musique populaire. Celle de Luis Mariano notamment, dont j’écoutais les disques avec mon père, chanteur d’opérette et premier prix de conservatoire de Bordeaux. Ce qui ne m’empêchait pas d’apprécier et Verdi et Puccini.

F.-S. Pourtant, vous n’avez pas mis vos pas dans ceux de votre père…

S. L. Vous savez comment sont les jeunes, toute époque confondue : par principe, ils se refusent souvent à emprunter les mêmes chemins que leurs parents. Et puis, dans les années 1950 et 1960, l’opérette n’était plus à la mode, elle n’offrait plus aucune perspective, alors que la variété française, elle, connaissait un nouvel essor, avec Bécaud, Brel et Brassens. J’y ai aussitôt vu une opportunité de faire quelque chose de ma vie. Sans singer mon père. En traçant ma propre route d’interprète. Et d’auteur.

F.-S. Vous avez aussi signé les textes d’une comédie musicale sur Napoléon dans les années 1980 et écrit un recueil de textes érotiques, Sentiments, sexe, solitude. L’écriture n’est-elle pas, au fond, votre véritable vocation ?

S. L. Sans aucun doute. Mais l’échec professionnel de mon père, obligé de vendre des bières pour survivre, m’a profondément bouleversé. J’ai voulu le venger, en devenant à mon tour chanteur, même si j’ai évolué dans un univers aux antipodes du sien.

F.-S. Rétrospectivement, quel est votre regard sur plus de quarante ans de carrière ?

S. L. Celui d’un artiste comblé. Si, à mes débuts, on m’avait promis le parcours que j’ai eu, j’aurais signé des deux mains. A 67 ans, je continue de faire salle pleine. Que puis-je demander de plus ?

“Moi, chanteur populaire, je suis souvent vu par les jeunes comme un chanteur intellectuel. Un comble !”

F.-S. Etes-vous toujours un être désabusé qui pense que « tout fout le camp » ?

S. L. Encore plus hier qu’aujourd’hui. Notre société n’évolue pas, elle régresse.

F.-S. Vous êtes d’un pessimisme noir…

S. L. Je suis surtout réaliste. Le passionné d’histoire que je suis voit se reproduire des phénomènes qui ont déjà été dénoncés par nos aînés. Regardez la crise financière. Comme en 1929, on a encouragé les gens à spéculer sans garde-fous, au risque de mettre l’économie mondiale à terre. Je ne suis pas contre le capitalisme, je suis contre le capitalisme sans foi ni loi.

F.-S. Et, en termes culturels, selon vous, sommes-nous sur la même pente ?

S. L. L’inculture est partout. Et l’école enseigne surtout l’ignorance. Les gens n’ont plus aucune base. A tel point que, moi, chanteur populaire, je suis souvent vu par les jeunes comme un chanteur intellectuel. Un comble !

F.-S. Vous qui avez été le représentant français au Concours de l’Eurovision en 1971, quel jugement portez-vous sur des émissions telles que la Nouvelle Star ?

S. L. Les télé-crochets existent depuis près d’un demi-siècle. Elles peuvent avoir encore de nos jours toute leur place. Pour autant, ce à quoi on assiste dans les émissions actuelles, c’est à une mise en valeur des membres du jury. Pas à celle des candidats.

F.-S. En filigrane, ce que vous dénoncez, ce sont les programmes télévisés, tels qu’ils sont conçus…

S. L. Je ne m’en cache pas. Et quand il s’agit de chansons françaises, je rue dans les brancards ! La plupart des dirigeants de chaînes, tous ces diplômés des grandes écoles, ne savent rien des goûts des gens. Ils sont convaincus que le public est en attente de voix murmurées, de filets de voix. Je ne le crois pas ! Quoi qu’il en soit, avec mon puissant organe, si j’avais débuté dans les années 2000, mes chances auraient été plus que limitées.

 
Par Propos recueillis par Stéphane Haïk

13 Juin 1985: Ciné télé revue

Chronique de Macha Beranger dans le magazine ciné télé revue N° 24 du 13 Juin 1985

IMG_0042.JPG

LIRE

14 Juin 1980:Télé poche

Article paru dans télé poche en Juin 1980 , Serge Lama était la vedette de l'émission Numero 1 du 14 juin1980

Scan.jpg

LIRE

14 juin 1980:Télé magazine

télé magazine juin 800001.jpg

LIRE

télé magazine juin 800002.jpg

LIRE