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25.03.2009

25 mars 1987: Lyon Figaro

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Le 1er septembre 1986, Lyon voyait la naissance d’un nouveau journal : Lyon Figaro, prenant la forme d’un quotidien de format tabloïd, encarté chaque jour, dans l’édition nationale du Figaro. Voici l'article publié lors du passage de Serge Lama et son Napoléon.

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Palais des sports de Lyon Photo D.R.

 

 

Le soleil d'Austerlitz qui a brillé deux années durant sur le théâtre Marigny ne lui a pas suffi. Paris n'était pas assez grande pour le "Napoléon" de Serge Lama, et le nouvel empereur a vite décidé d'emmener sa tsarine Christine Delaroche et toute sa troupe sur les roules d'une Europe conquise d'avance. Soit 100 jours d'un nouveau type, fractionnés en trois étapes, et l'assurance d'un dernier couronnement en beauté vers la fin juin 1987 à... Fontainebleau. Mais Napoléon Lama n'en est pas encore là, il arrive tout juste à Lyon où il s'installe pour quatre jour et cinq représentations. Au programme : vingt-cinq chansons, vingt-deux comédiens, quatorze techniciens, quatre habilleuses, deux coiffeurs, bref une soixantaine de personnes auxquelles il convient d'ajouter une dizaine de techniciens recrutés localement. L'organisation est imposante, à la hauteur du sujet, et nécessite une journée et demi de montage des éléments. C'est ainsi que depuis le 24 mars, scène, décors, régies son et éclairage son en cours d'installation.Tout est à la mesure du pari lancé par Serge Lama en juin 1984. "Quand on a quatre-vingt pour cent des gens contre soi, on est forcément fier de renverser la vapeur. D'un spectacle qui, soi-disant, ne valait rien en juin 1984, on en a fait un triomphe en septembre. Et aujourd'hui, nous sommes les premiers à partir en tournée avec un monument musical de cette envergure. Tout cela sans la moindre subvention", affirme avec force le chanteur historien et bateleur. il ne faut pas moins de cinq semi-remorques pour transporter les 6500 mètres cubes de matériel nécessaire à la reconstitution régulière du spectacle, pour une scène superbe d'environ 330 mètres carrés (24 mètres sur 14). Pour les responsable de la mise en place, "le problème sonore est de loin le plus délicat, car nous travaillons sur HF". Effectivement, pour le reste, il s'agit d'une organisation équivalente aux méga-tournées habituelles avec quand même plus de monde, plus de décors. plus de moyens. Le Palais des Sports vit donc un drôle de scénario, son arène prise d'assaut pour un bon tiers par la scène, sa capacité d'accueil réduite de moitié. En effet, si l'on compte vingt-quatre mètres d'ouverture de scène, il y a seulement (!) quatorze mètres d'ouverture de décor. Du coup, pour que les spectateurs puissent profiter normalement et pleinement du spectacle, les angles morts sont proscrits ; ce qui n'empêchera pas Serge Lama d'attirer la grande foule. Car à l'exception de deux ou trois villes, pour des raisons facilement analysables, "Napoléon se joue à guichets fermés. Voilà bien une motivation supplémentaire pour celui qui se confond tant maintenant avec son personnage. Parce qu'il ne faut pas lui parler, à Lama, des producteurs qui ont fait la fine bouche ou des subventions dont a profité Youssef Chahine pour son film "Adieu Bonaparte". "C'est un film sans intérêt, davantage enclin à traiter des conflits pédérastiques du personnage que de la campagne d'Egypte", n'hésite-t-il pas à tonitruer. Ah, les subventions... Dans le même sac, cousu de reproches quasiment guerriers, Serge Lama peut fourrer toutes les créations qui bénéficient de ce coup de pouce : de "L'Avare" aux "Amandiers" de Chéreau. Qui justement était le Bonaparte du film précédemment vilipendé. Le chanteur peut maintenant savourer son triomphe : en compagnie de Jacques Rosny, qui a cosigné le livret, d'Yves Gilbert pour la fresque musicale, sans oublier Christine Delaroche en tête de distribution, Serge Lama a conquis sa propre maturité en partant à l'assaut d'un sacre qui n'était au départ qu'un pari complètement fou. Source : "L'empereur du spectacle" / Laurent Perzo in Lyon Figaro, 25 mars 1987, p.45..

25 mars 2002 – La bande passante – RFI

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Interview de Serge Lama à l'occasion de son retour à l'Olympia.

 

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25 Mars 1996: Mot d'Alice Dona

Mot d'Alice Dona publié dans la Fronde N°57

 

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25 mars 1986 : Paillettes sur tréteaux – France culture

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Dans le cadre des mardis du théâtre, le thème du 25 mars 1986 est le music-hall.  Serge Lama y est interviewé par Yvonne Taquet pour parler de son actualité.

 

EXTRAIT

 

25 mars 1971 : TV Radio je vois tout

Article publié dans le magazine suisse TV Radio je vois tout pour annoncer la participation de Serge Lama  dans l'émission Télé Dimanche

 

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25 au 28 mars 1987 : Napoléon à Lyon

Au cours du premier trimestre 1987, Serge Lama se produit en région Rhône Alpes. Affiche, billet de spectacle et article publié dans LYON MATIN le 23 mars 1987 et LE PROGRES du 26 mars 1987 en sont le témoignage.

Par ailleurs, dans le journal régional, France 3 Rhône Alpes a interviewé Serge Lama avant le spectacle et diffusé des images des répétitions.

 

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serge lama

le progrès 26 Mars 87

serge lama

 Lyon matin 23 Mars 87
 
 
 

serge lama

Le progrès 22 Mars 87

 

lire.

 

JT France 3 Rhône Alpes du 25 mars 1987

 

 

 

25 Mars 2000: Réunion fan club à Chaville

Rencontre entre Serge Lama et son fan club lors d'une réunion interview le 25 Mars 2000 à Chaville

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La réunion en vidéo

 

 

Répétions et extrait du concert

 

25 Mars 1989: Champs Elysées au Paradis latin

Pour le 100 ème anniversaire du Paradis Latin, Michel Drucker consacrait un Champs Elysées entier à ce célèbre cabaret.

 

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télé 7 jours

 

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télé poche

Serge Lama avait interprété Nini peaud'chien

 

 

 

25 Mars 1982:VSD

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24.03.2009

24 Mars 2004:La voix du Nord

Vendredi 26 à Lomme (complet) et samedi 27 mars au théâtre Sébastopol à Lille

 

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« On n'échappe pas à son destin »

 

Plusieurs semaines avant sa venue à Lille, Serge Lama a accepté, entre deux dates de sa tournée, de nous ouvrir les portes de son appartement parisien. Récit en quelques points.

.-Chez lui

Quand on est arrivé, il... dormait ! Petit problème de coordination avec son attaché de presse et grande fatigue, Serge Lama était à l'heure de la sieste. Elégant, il n'a pas ouvert sa porte avant d'avoir pris le temps de se raser ! Serge Lama vit dans un appartement pas très loin de la Tour Eifel, dans le quartier de son enfance. Un appartement plutôt masculin, très parisien, où domine la couleur rouge, où règne un joyeux désordre et où trône une immense télévision.

.-Showbiz

Ce n'est pas son truc. Il côtoie assez peu les gens de son milieu. Il les regarde davantage à la télé.

.-Enfance

Fils unique, il est né sous le nom de Serge Chauvier, en 1943, à Bordeaux. Son père Georges voulait faire carrière dans la chanson et sa mère, qui rêvait d'une vie bourgeoise, l'avait poussé à arrêter. « Je me souviens de l'époque où nous vivions d'hôtel en hôtel. Je préférais de loin ce mode de vie que celui que nous avons vécu ensuite ». Il a gardé de ce sacrifice fait par son père un certain esprit de revanche et aussi une rancœur et une méfiance vis-à-vis des femmes en général. Depuis, ça va mieux.

.-Adolescence

Il a eu une adolescence difficile. Très mûr pour son âge, au physique ingrat, il n'avait aucun succès auprès des filles. Il passait beaucoup de son temps à lire.

.-Drames de sa vie

Serge Lama a failli perdre la vie dans un accident de voiture, l'été 1965, à la sortie d'Aix-en-Provence. Il devait rester paralyser à vie. Il a réappris à marcher, s'est reconstruit. Dans cet accident sont décédés Jean-Claude Macias, frère d'Enrico, et Liliane Benelli, pianiste de l'Ecluse, mais aussi le premier amour de sa vie. Il y a quelques années, Serge Lama a aussi perdu ses deux parents dans un accident de voiture. « Je suis de ceux qui se crashent en avion, de ceux que les drames de la route poursuivent. Je crois que de toute façon, on n'échappe pas à son destin. A 15 ans, un voyant m'a prédit tout ce qui allait m'arriver, et tout m'est arrivé ». Que va-t-il donc encore lui arriver ? « Devant, il n'y a que des bonnes choses ».

.-« Je suis malade »

Un duo avec Dalida, décédée, il n'y voit rien de choquant. « C'est elle qui a chanté en premier cette chanson, qui l'a lancée. Ce duo est une façon de lui rendre hommage ». Et avec Emma de la Star Academy ? « Quand j'ai fait ce duo avec Emma, tout le monde m'en parlait.

C'était fou ! J'ai voulu qu'elle vienne le faire avec moi sur scène, à Paris, mais ses agents n'ont pas voulu... »

.-Tournée

Serge Lama a pris les routes en voiture, à l'ancienne, et s'arrête dans les petites villes et villages (en plus des grandes villes), accompagné d'un accordéon. Son spectacle « Accordéonissi-mots » est une façon de retrouver un public un peu terré dans les provinces, de (re)venir à lui.

Virginie CARTON

« Accordéonissi-mots », vendredi 26 mars à la salle Olympia à Lomme (complet) ; samedi 27 mars (20 h 30) au théâtre Sébastopol à Lille (il ne reste que quelques places). Date supplémentaire le 13 mars 2005. 30 à 38 Euro(s).