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05.02.2009

5 février 2000 : Le Droit

Article du journal Le Droit du 5 février 2000 avant le concert de Serge Lama le 7 février au centre National des Arts à Ottawa

 

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03.02.2009

3 février 2000 : Le Quotidien

Concert à l’auditorium Dufour à Saguenay (Québec) le 2 février 2000. 

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02.02.2009

Février 2000 : Flash - TQS Canada

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Serge Lama est en tournée au Canada du 28 janvier au 11 mars 2000. Il présente un concert acoustique dans 23 villes, accompagné par 3 musiciens.

Isabelle Raticot réalise une interview avec Serge Lama, dans l’émission canadienne Flash diffusée sur la chaîne québécoise privée TQS.



 

2 février 2000:La Revue (Canada)

Concert au théâtre du Vieux Terrebonne le 29 janvier 2000

 

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01.02.2009

Février 2000:Accordéon

Interview de Serge Lama dans cette revue sur l'accordéon.

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28.01.2009

28 janvier 2000 : Salle de spectacle du collège Lionel Groulx – Sainte Thérèse – Canada

Concert à Sainte Thérèse

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Serge Lama... le charme à l’état pur

Hélène Alexandre

Dès qu’il est entré en chantant tout doucement dans la lumière colorée qui habillait la scène de la salle de spectacle du collège Lionel-Groulx, le 28 janvier dernier, Serge Lama, le poète, le compositeur prolifique, le chanteur, l’acteur et l’humoriste, avait déjà captivé son auditoire au grand complet.

Le public térésien est tombé sous le charme d’un chanteur nommé Serge Lama.

C’est que ce quinquagénaire gouailleur qui chante sur tous les tons l’amour déçu depuis plus de 35 ans, en ayant le don de faire croire qu’il s’inspire toujours de sa propre vie, n’a pas que du talent et du métier. Il a aussi du charme. Beaucoup de charme. Et heureusement, il le sait.

D’un décontracté par moments à la limite de l’impertinence, l’interprète qui a écrit sa première chanson à 12 ans et n’a jamais arrêté depuis d’exprimer ses états d’âme se défend bien d’être l’émule de Jacques Brel. Mais, comme lui, il ne peut s’empêcher de charmer son auditoire en jouant la corde sensible du pauvre amant constamment au bord du désespoir. C’est une seconde nature chez lui.

Bien qu’ils ne soient pas tous des chefs-d’œuvre de littérature, ses textes doux-amers, bien sentis et bien livrés, desservent parfaitement sa cause. Son sempiternel roucoulement d’oiseau blessé pourrait s’avérer agaçant à la longue, mais ce ne l’est pas. Au contraire, c’est même ce petit côté Casanova éconduit qui pleure ses femmes et avoue candidement ses peurs, son désarroi et parfois son je-m’en-foutisme, comme par exemple dans Les petites femmes de Pigalle, qui permet à l’artiste de remplir et de faire lever encore aussi bien ses salles.

Pour les inconditionnels et pour tous les autres, il y a le charme indéniable de l’homme, mais il y a aussi la magie de ses vieux succès que tous se mettent à fredonner ensemble d’un simple coup de baguette, comme si toutes ces histoires d’amour bien installées dans les mémoires prenaient racine dans les tréfonds de leur propre vie. Il fallait entendre ce chœur de plus de 800 personnes murmurer avec une douceur infinie le mot-à-mot de la chanson D’aventure en aventure, pour comprendre que les mélodies de Lama sont encore bien vivantes, même après avoir tourné et retourné sur plus d’un continent au cours des 30 dernières années.

D’ailleurs, en ce soir de première de sa tournée québécoise, les airs les plus appréciés avaient de l’âge et beaucoup de vécu. Que l’on pense par exemple aux incontournables C’est toujours comme ça la première fois, Les petites femmes de Pigalle, Je suis malade, l’Algérie et Tarzan est heureux. Sûr de plaire, Lama les a tous faits l’un après l’autre avec une certaine générosité et surtout avec l’air d’y croire dur comme fer pour une millième fois.

Rien de statique toutefois ni de débité à la va-comme-je-te-pousse. C’est que, tout à la fois auteur et interprète, il a tout le loisir de se réapproprier ses propres textes et même de les actualiser pour leur donner encore plus de mordant. C’est ainsi qu’au détour d’un refrain, il se permet de glisser un bon mot, une blague ou un commentaire de son cru. Et, chaque fois, il frappe dans le mille.

À plusieurs occasions, celui qui fut le très sérieux parolier de Juliette Greco et Nana Mouskouri a même pris des libertés réservées d’ordinaire aux humoristes et, oh miracle! il s’en est toujours sorti indemne. Le charme et la maturité aidant, ses ajouts presque grivois parfois étaient bien intégrés au mouvement tout en douceur d’un spectacle intimiste que cet artiste bavard comme pas un a manifestement construit à partir d’un canevas où le laisser-aller n’a requis aucun espace. Le chanteur de charme et la bête de scène ont fait le reste.

Dans un décor minimaliste abondamment balayé de faisceaux de lumière, ce fils de chanteur qui s’était juré de réussir là où son père avait échoué a été fidèle à sa réputation de chanteur à textes. Un personnage en soi, bougeant à souhait, Lama a littéralement habité toute la scène pendant deux bonnes heures. La voix un peu plus éraillée qu’à l’habitude, un relent de bronchite que le froid québécois n’a pas arrangé, a-t-il dû avouer après une quinte de toux impromptue, Lama n’a pas lésiné sur la qualité de ses musiciens de tournée. Multipliés par la magie des synthétiseurs, plus souvent qu’autrement, les trois musiciens y sont allés d’arrangements non conventionnels. Il faut souligner l’apport des percussions qui, à maintes occasions, en ouverture notamment, ont réussi à donner une couleur nouvelle à certains airs archiconnus.

Somme toute, après quatre mois de tournée en Europe, Serge Lama a gratifié le public térésien d’un spectacle d’un professionnalisme de classe internationale.

 

27.01.2009

27 Janvier 2000: Début tournée canadienne

Articles parus dans la presse Quebécoise pour annoncer la tournée Le trèfle à 4 coeurs

 

 

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Le Nouvelliste du 29 janvier 2000

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L'Union du 2 février 2000

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Le Soleil du 4 février 2000

 

03.01.2009

3 au 24 Janvier 2000: Les restos du coeur

Cette année là Serge Lama est parti en tournée avec les enfoirés.

Diffusion à la télévision le 26 Février 2000

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Il interprétait entre autre avec Marc Lavoine et J.J. Goldman  la chanson d'Alain  Barrière ," elle était si jolie".