19.11.2015
19 Novembre 2017: Le républicain lorrain
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19 Novembre 2017: Le progrès de Lyon
10:15 Publié dans 2017, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
18.11.2015
18 Novembre 2017:DH mag
17:52 Publié dans 2017, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
17.11.2015
17 Novembre 2017:La Dépèche du midi
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16.11.2015
16 Novembre 2017: La dépèche
Interview de Serge Lama publiée dans le journal La dépèche, l'artiste étant en concert au Zenith de Toulouse
Serge Lama au Zénith de Toulouse ce soir : «J'écris beaucoup avec les yeux ; je remarque, j'observe»
Serge Lama sera en concert, ce soir jeudi, au Zénith de Toulouse. Un moment attendu avec impatience par les fans tant le répertoire est magistral et l'interprète gigantesque.
Un an après la sortie de son dernier disque «Où sont passés nos rêves» (qui vient d'être réédité avec 5 titres supplémentaires et un DVD de performances en public), Serge Lama renoue avec la scène, là où il en impose toujours à bien des jeunots. et sans tout un attirail technologique. Retour sur son superbe répertoire.
Quelle est la part d'autobiographie dans vos chansons ?
L'enfance que je raconte dans «Bordeaux», c'est bien sûr la mienne (avec «ce papa d'opérette/Ce papa musique et velours»). Et l'enfance joue un rôle central dans mon répertoire. Ou plutôt les enfances successives puisqu'aujourd'hui, à 74 ans, mes 50 ans sont aussi une sorte d'enfance. Pour autant, je n'écris pas sur ma vie. J'écoute, je regarde. Des histoires me frappent et je les prends à mon propre compte, y compris dans les chansons d'amour. «Alors que l'on s'est tant aimés» venait de l'observation de couples qui ne se parlaient plus. Idem pour «Je te partage». Un copain m'avait raconté qu'il ne pouvait pas quitter une fille alors qu'il la partageait avec un autre. Son émotion était telle que cette histoire est restée en moi des années avant de ressurgir sous forme de chanson. J'écris beaucoup avec les yeux : je remarque des choses, elles s'inscrivent en moi.
L'écriture est-elle un plaisir ?
Quand on y arrive, c'est un soulagement, une jouissance. On a trouvé les mots justes et on atteint une très grande plénitude. Pour en arriver là il faut beaucoup travailler. Chanteur n'est pas un métier, c'est une discipline.
La chanson serait donc un art ?
Oui, un art populaire, qu'il s'agisse des «Feuilles mortes» ou de «Ah ! Le petit vin blanc», qui est magnifiquement écrit. Pas besoin d'avoir fait de longues études pour comprendre une chanson, même sophistiquée. Gainsbourg l'avait très bien saisi, c'était un malin. J'adore ce qu'il a fait de 1958 à «L'homme à tête de chou». Ensuite, le succès l'a fait perdre les pédales ; il est tombé dans la facilité.
Et Nougaro ?
En devenant proche de Jacques Audiberti, Nougaro a perdu la patte populaire, celle d'«Une petite fille en pleurs» ou d'«Armstrong». J'ai passé des nuits avec lui Chez Denise. Il arrivait vers une heure du matin bien beurré et il répétait : «Pourquoi n'ai-je pas le succès de Johnny Hallyday ?» Je décortiquais ses chansons pour lui expliquer. Il n'arrivait pas à comprendre. Il me disait : «Je veux bien aller dans la voie du peuple mais par la voie royale». Il a renoué avec le succès grâce à «Nougayork» qui n'est vraiment pas sa meilleure chanson.
Quel regard portez-vous aujourd'hui sur des chansons comme «Les p'tites femmes de Pigalle» ?
Elles correspondent à quelque chose que j'ai en moi. J'ai grandi dans l'univers d'Offenbach et de Guitry. J'aime les chansons gaies. Or, les intellectuels haïssent cela. Pour eux, une chanson gaie est forcément mauvaise. Il est vrai qu'à mon âge, j'éprouve moins de plaisir avec les chansons à boire et que mes «P'tites femmes» sont là pour offrir une respiration au public. Je leur préfère «L'Algérie» ou «Le peintre est amoureux», ces chansons crépusculaires, entre deux eaux, que l'on chuchote au lieu de les crier.
Comment vous êtes-vous préparé à cette tournée ?
Je suis au régime depuis deux ans. Je mange peu, je bois beaucoup moins. C'est pénible de vieillir mais ce genre de choses se détachent de vous naturellement. Je n'ai plus envie de me taper un litre de vin lors d'un repas. Pour garder la forme, je marche. J'ai mes bancs préférés dans le quartier !
Et votre voix, comment la travaillez-vous ?
Je la chauffe en montant sur scène et en chantant ! Mon père était fou de rage quand il me voyait me préparer avant un concert. Lui, premier prix de conservatoire à Bordeaux, faisait des vocalises toute la journée avant de chanter «La veuve joyeuse». Moi – et je n'ai rien changé à ma méthode – je me contentais de lancer quelques cris à la Johnny, des «Ah !» et des «Oh !» courts et puissants. Cela m'a toujours suffi.
A la Halle
«J'aimais énormément l'ancienne Halle aux grains, qui pouvait accueillir jusqu'à 2000 spectateurs, explique Serge Lama. Dans les années 70, c'est là, à Toulouse, que j'ai compris la première fois que j'étais une vedette. Mon disque cassait la baraque. Quand je suis rentré dans la Halle, j'ai senti un mur d'applaudissements. Je me suis dit : Cette fois-ci, tu y es ».
10:05 Publié dans 2017, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
15.11.2015
15 Novembre 2017:Sud Radio
10:00 Publié dans 2017, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)
13.11.2015
13 Novembre 2017:La dépêche.fr
Serge Lama sera en concert le jeudi 16 Novembre 2017 au Zenith de Toulouse
Photo Yann Orhan
Serge Lama, toujours au Zénith
Il y a bien des raisons pour aller écouter Serge Lama le 16 novembre au Zénith de Toulouse. L'homme possède un répertoire immense, d'une puissance remarquable, qu'il s'agisse de tubes légers (ou supposés tels) comme «Femme, femme, femme» ou «Les p'tites femmes de Pigalle» ou de purs joyaux d'émotion comme «Les ballons rouges» et «Je suis malade». Sa finesse d'écriture est toujours vive avec son dernier album, «Où sont passés nos rêves», qui recèle quelques bijoux appelés à devenir des classiques («Bordeaux» est une chanson magistrale, composée par Pascal Obispo). Enfin, Serge Lama reste un interprète hors du commun, faisant naître le frisson sans jamais user d'effets. Le voir sur scène c'est vivre un moment exceptionnel. Hier comme aujourd'hui.
Serge Lama au Zénith, jeudi 16 novembre. Tarifs : de 53 € à 60 €.
09:55 Publié dans 2017, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
12.11.2015
12 Novembre 2017:Les grands du rire
Dimanche 12 Novembre 13h40 sur France 3, interview de Serge Lama.
Les grands du rire, l'émission du dimanche
Lors de ce rendez-vous dominical, Sur France 3 à 13h40 Yves Lecoq reçoit des personnalités emblématiques du monde des arts et de la culture et revisite, en leur compagnie, le patrimoine de la chanson française et des fondamentaux de l'humour.
Dans la rubrique "Face camera" Serge Lama était interviewé par Philippe Legrand
VIDEO SUR LA FACEBOOK DE SERGE LAMA
09:45 Publié dans 2017, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
12 Novembre 2017:Code Promo
Stéphane Bern propose le dimanche après midi sur France 2 à15h45 , une nouvelle émission intitulée CODE PROMO, le principe est d'aider les artistes à faire leur promo.......En la faisant à leur place avec humour!
Le Dimanche 12 Novembre Serge Lama était invité au coté d’Inès de la Fressange.
VIDEO SUR LA PAGE FACEBOOK DE SERGE LAMA
09:40 Publié dans 2017, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
10.11.2015
10 Novembre 2017: Nouvelle édition du CD "où sont passés nos rêves"
Réédition du CD "où sont passés nos rêves" sorti l'an dernier, avec quelques bonus
et un DVD
Disque : 1
Disque 2 : DVD
09:35 Publié dans 2017, CD, DVD, Vinyle et Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)