10.10.2009
Le pont d'arcole
19:40 Publié dans 1982, Chansons, La Fronde- Fan club ASL | Lien permanent | Commentaires (0)
08.10.2009
Une vie basses calories
22:32 Publié dans 1980, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
07.10.2009
Souvenir Attention Danger
Dans la chanson" Souvenir attention danger" , Serge Lama évoque ses vacances à Eysines , commune située à 8 km de Bordeaux très rurale à l'époque. Plusieurs étés de suite il était accueilli par des amis de ses parents, maraichers , Marie Louise et Robert Melzi.(le vieux cheval)
Marie Louise en Novembre 1988 Photo René Desthomas
Toute une vie dans un dimanche Janvier 1982
Programme concerts Ami voix
11:23 Publié dans 1980, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
01.10.2009
1982: Chanson "J'ai l'air comme ça"
Cette chanson "j'ai l'air comme ça" signée Claude Lemesle / Alice Dona que l'on trouve sur l'album "laissez passer la chanson" avait au départ été écrite pour Lama mais ce dernier ne l'a jamais enregistrée.
Voici ce qu'Alice Dona écrit dans le livre "Quelques cerises sur mon gâteau" :
On avait écrit avec Claude Lemesle un titre spécifiquement pour Lama, à la demande expresse de ce dernier, intrigué de savoir ce qu'un auteur autre que lui pourrait lui concocter. Mais au bout du compte, bien qu'il est trouvé la chanson magnifique, Serge n'a pas osé tenter l'aventure, estimant que le sujet et la façon dont il était traité risquaient de bouleverser l'image que le public avait de lui.
Et pourtant quand on le connait bien, c'était vraiment du sur-mesure...
Qu'jallais t'faire le grand numéro
Genre un de perdu, dix à la colle
Que j'allais sortir côté jardin sous tes bravos
Comm' dans les ruptures d'la vieille école
Est-c' que tu m'prenais
pour un sourire de papier
Une gravure de calendrier
Est-c' que tu croyais
que derrière la photo couleur
y'avait pas un coeur ?
J'ai l'air comm'ça
Costaud et tout
Genre qui pleure pas
Genre qui s'en fout
Le masque dans le marbre
J'ai l'air comm'ça
D'un ouragan
D'un Attila
Mais j'tiens tell'ment
Plus du roseau que d'l'arbre
Je suis vulnérable
Un' statue de sable
Au vent
Je m'croyais blindée
Bien à l'abri dans mon orgueil
Trois nuits de cafard et tout s'efface
J'avais seul'ment oublié
Qu'on est d'autant plus seul
Qu'elle est plus épaisse la cuirasse
Comme une obsédée
je m'accroche à ton sourire
Sur l'écran géant du souvenir
Et je traîne ma carcasse au milieu de ma vie
Vingt-quatre heures par nuit
J'ai l'air comm'ça
Costaud et tout
Genre qui pleure pas
Genre qui s'en fout
Comme de sa première claque
J'ai l'air comme ça
D'être en béton
Du haut en bas
Aux fondations
Mais mon ciel se détraque
Et la maison craque
Et j'ai plus l'air
De rien du tout
Je m'fous en l'air
La terre s'en fout
Je m'fous de tout' la terre
A part d'un seul
Un pas comme moi
Qu'a pas la gueule
Pas l'air comme ça
Mais qui m'a prise minable
Je suis incapable
De m'déraciner de toi
Je vis dans ton ombre
Je suis comme tout l'monde
Même ... si j'ai l'air ... comme ça !
22:17 Publié dans 1982, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
1967: livret partition de 'Sans toi'
Le vent dans les arbres d'automne
Le piano muet qui s'étonne
Et ton souvenir dans ton coeur
Comme au printemps bougent les fleurs
J'aurai beau le taire ou le dire
Ma vie ne saurait être pire
Que ce manège déserté
Où plus rien ne viendra chanter
Sans toi, cette vie m'emprisonne
Sans toi, je ne suis plus personne
Que Noël carillonne ou pas
Tu ne reviendras pas
Ces trottoirs où la pluie voltige
Le piano muet qui s'afflige
Et ton souvenir dans mes yeux
Ca m'empêche de croire en Dieu
J'aurai beau le dire ou le taire
De tous les bonheurs de la terre
Celui que ta main m'a donné
N'aura pas de nouvelle année
Sans toi, cette vie m'emprisonne
Sans toi, je ne suis plus personne
Que Noël carillonne ou pas
Tu ne reviendras pas
Cette neige sur les hospices
Et ce piano comme au supplice
Et ma voix là-bas qui se perd
Comme une vague sur la mer
J'aurai beau le dire ou le taire
Il y a quelque part un mystère
Quelque part une ombre qui dort
Quelque part un autre décor
Sans toi, cette vie m'emprisonne
Sans toi, je ne suis plus personne
Que Noël carillonne ou pas
Tu ne reviendras pas
20:59 Publié dans 1967, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
Octobre 1984: Livre d'or N1-partitions
09:09 Publié dans 1984, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
29.09.2009
Napoléoné
18:37 Publié dans 1982, Chansons, La Fronde- Fan club ASL | Lien permanent | Commentaires (0)
05.09.2009
Les glycines
"Les glycines" est une chanson inspirée d'un amour d'enfance de Serge Lama. La « pauvre Martha » est une cousine bordelaise de sept ans et s'appelle en réalité Giselle. « Nous étions issus d'une famille désunie où tout n'était que cris et rancoeurs accumulées, confie Serge à Daphné Lorenzi, de Gala. Giselle et moi en souffrions énormément et avions fini par nous replier complètement sur nous-mêmes. Les deux enfants timides que nous étions s'étaient fixé un but : ne surtout jamais devenir comme eux. (...) Giselle est la première image que j'aie eue de la féminité. Nous vivions alors une véritable histoire d'amour sans en être conscients. Et puis, on ne se voyait pas beaucoup. Ce qui exacerbait nos sentiments. Quand j'ai écrit Les glycines, j'ai sublimé la situation en transposant notre histoire dans un contexte paysan. L'amour entre cousins représentant toujours un interdit pour la société. »
Sur le mur y avait des glycines
Sur le mur y avait des glycines
Toi, tu portais un tablier bleu
Toi, tu portais un tablier
Toujours le nez dans tes bassines
Toujours le nez dans tes bassines
En ce temps-là, on se parlait peu
En ce temps-là, on se taisait.
C'est pas d'l'amour, pauvre Martha !
C'est pas d'l'amour, mais ça viendra
Paraît que cousin et cousine
Paraît que cousin et cousine
Ça ne doit pas s'aimer d'amour, non
Ça ne doit pas parler d'amour
Alors on parlait du beau temps
De la pluie et des fleurs des champs
De la vendange et du labour, mais
On ne parlait jamais d'amour
C'est pas d'l'amour, pauvre Martha !
C'est pas d'l'amour, mais ça viendra
Puis je suis parti en usine
Puis je suis parti en usine
Je n'voulais pas être fermier, moi
Je voulais être le premier
Merci beaucoup, petit Jésus
J'ai bien mangé et j'ai bien bu
Je suis aimé ou respecté, moi
On me dit "vous" pour me parler
C'est pas d'l'amour, pauvre Martha
C'est pas d'l'amour, mais ça viendra
Pourtant quand je vois des glycines
Pourtant quand je vois des glycines
J'ai envie de les arracher, moi
J'ai envie de les arracher
Paraît que t'aurais eu deux filles
Qui font partie de ma famille
Mais comme l'amour ne me dit plus rien
Elles n'auront jamais de cousins
C'est pas d'l'amour, pauvre Martha
C'est pas d'la haine, mais ça viendra.
04:20 Publié dans 1974, Chansons, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (1)
02.09.2009
septembre 1984:Marie la Polonaise
09:23 Publié dans 1984, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
01.09.2009
1974: Dans l'espace
16:53 Publié dans 1974, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)