18.10.2009
Les vagues de la mer
21:26 Publié dans 1978, Chansons, La Fronde- Fan club ASL | Lien permanent | Commentaires (0)
10.10.2009
Le pont d'arcole
19:40 Publié dans 1982, Chansons, La Fronde- Fan club ASL | Lien permanent | Commentaires (0)
08.10.2009
Une vie basses calories
22:32 Publié dans 1980, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
07.10.2009
Souvenir Attention Danger
Dans la chanson" Souvenir attention danger" , Serge Lama évoque ses vacances à Eysines , commune située à 8 km de Bordeaux très rurale à l'époque. Plusieurs étés de suite il était accueilli par des amis de ses parents, maraichers , Marie Louise et Robert Melzi.(le vieux cheval)
Marie Louise en Novembre 1988 Photo René Desthomas
Toute une vie dans un dimanche Janvier 1982
Programme concerts Ami voix
11:23 Publié dans 1980, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
01.10.2009
1982: Chanson "J'ai l'air comme ça"
Cette chanson "j'ai l'air comme ça" signée Claude Lemesle / Alice Dona que l'on trouve sur l'album "laissez passer la chanson" avait au départ été écrite pour Lama mais ce dernier ne l'a jamais enregistré.
Voici ce qu'Alice Dona écrit dans le livre "Quelques cerises sur mon gâteau":
On avait écrit avec Claude Lemesle un titre spécifiquement pour Lama, à la demande expresse de ce dernier, intrigué de savoir ce qu'un auteur autre que lui pourrait lui concocter. Mais au bout du compte, bien qu'il est trouvé la chanson magnifique, Serge n'a pas osé tenter l'aventure, estimant que le sujet et la façon dont il était traité risquaient de bouleverser l'image que le public avait de lui.
Et pourtant quand on le connait bien, c'était vraiment du sur-mesure...
Qu'jallais t'faire le grand numéro
Genre un de perdu, dix à la colle
Que j'allais sortir côté jardin sous tes bravos
Comm' dans les ruptures d'la vieille école
Est-c' que tu m'prenais
pour un sourire de papier
Une gravure de calendrier
Est-c' que tu croyais
que derrière la photo couleur
y'avait pas un coeur ?
J'ai l'air comm'ça
Costaud et tout
Genre qui pleure pas
Genre qui s'en fout
Le masque dans le marbre
J'ai l'air comm'ça
D'un ouragan
D'un Attila
Mais j'tiens tell'ment
Plus du roseau que d'l'arbre
Je suis vulnérable
Un' statue de sable
Au vent
Je m'croyais blindée
Bien à l'abri dans mon orgueil
Trois nuits de cafard et tout s'efface
J'avais seul'ment oublié
Qu'on est d'autant plus seul
Qu'elle est plus épaisse la cuirasse
Comme une obsédée
je m'accroche à ton sourire
Sur l'écran géant du souvenir
Et je traîne ma carcasse au milieu de ma vie
Vingt-quatre heures par nuit
J'ai l'air comm'ça
Costaud et tout
Genre qui pleure pas
Genre qui s'en fout
Comme de sa première claque
J'ai l'air comme ça
D'être en béton
Du haut en bas
Aux fondations
Mais mon ciel se détraque
Et la maison craque
Et j'ai plus l'air
De rien du tout
Je m'fous en l'air
La terre s'en fout
Je m'fous de tout' la terre
A part d'un seul
Un pas comme moi
Qu'a pas la gueule
Pas l'air comme ça
Mais qui m'a prise minable
Je suis incapable
De m'déraciner de toi
Je vis dans ton ombre
Je suis comme tout l'monde
Même ... si j'ai l'air ... comme ça !
22:17 Publié dans 1982, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
29.09.2009
Napoléoné
18:37 Publié dans 1982, Chansons, La Fronde- Fan club ASL | Lien permanent | Commentaires (0)
05.09.2009
Les glycines
"Les glycines" est une chanson inspirée d'un amour d'enfance de Serge Lama. La « pauvre Martha » est une cousine bordelaise de sept ans et s'appelle en réalité Giselle. « Nous étions issus d'une famille désunie où tout n'était que cris et rancoeurs accumulées, confie Serge à Daphné Lorenzi, de Gala. Giselle et moi en souffrions énormément et avions fini par nous replier complètement sur nous-mêmes. Les deux enfants timides que nous étions s'étaient fixé un but : ne surtout jamais devenir comme eux. (...) Giselle est la première image que j'aie eue de la féminité. Nous vivions alors une véritable histoire d'amour sans en être conscients. Et puis, on ne se voyait pas beaucoup. Ce qui exacerbait nos sentiments. Quand j'ai écrit Les glycines, j'ai sublimé la situation en transposant notre histoire dans un contexte paysan. L'amour entre cousins représentant toujours un interdit pour la société. »
Sur le mur y avait des glycines
Sur le mur y avait des glycines
Toi, tu portais un tablier bleu
Toi, tu portais un tablier
Toujours le nez dans tes bassines
Toujours le nez dans tes bassines
En ce temps-là, on se parlait peu
En ce temps-là, on se taisait.
C'est pas d'l'amour, pauvre Martha !
C'est pas d'l'amour, mais ça viendra
Paraît que cousin et cousine
Paraît que cousin et cousine
Ça ne doit pas s'aimer d'amour, non
Ça ne doit pas parler d'amour
Alors on parlait du beau temps
De la pluie et des fleurs des champs
De la vendange et du labour, mais
On ne parlait jamais d'amour
C'est pas d'l'amour, pauvre Martha !
C'est pas d'l'amour, mais ça viendra
Puis je suis parti en usine
Puis je suis parti en usine
Je n'voulais pas être fermier, moi
Je voulais être le premier
Merci beaucoup, petit Jésus
J'ai bien mangé et j'ai bien bu
Je suis aimé ou respecté, moi
On me dit "vous" pour me parler
C'est pas d'l'amour, pauvre Martha
C'est pas d'l'amour, mais ça viendra
Pourtant quand je vois des glycines
Pourtant quand je vois des glycines
J'ai envie de les arracher, moi
J'ai envie de les arracher
Paraît que t'aurais eu deux filles
Qui font partie de ma famille
Mais comme l'amour ne me dit plus rien
Elles n'auront jamais de cousins
C'est pas d'l'amour, pauvre Martha
C'est pas d'la haine, mais ça viendra.
04:20 Publié dans 1974, Chansons, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (1)
01.09.2009
1968: D'aventure en aventure
J'ai d'autres habitudes
Et d'autres que toi sont venues
Les lèvres tendres, les mains nues
Bien sûr
Bien sûr j'ai murmuré leurs noms
J'ai caressé leur front
Et j'ai partagé leurs frissons.
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Jamais encore, je te le jure
Je n'ai pu oublier ton corps
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Je n'ai pu fermer ma blessure
Je t'aime encore.
Bien sûr, du soir au matin, blême
Depuis j'ai dit : " je t'aime "
Et d'autres que toi sont venues
Marquer leurs dents sur ma peau nue
Bien sûr
Bien sûr pour trouver le repos
J'ai caressé leur peau
Elles m'ont même trouvé beau.
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Jamais encore, je te le jure
Je n'ai pu oublier ton corps
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Je n'ai pu fermer ma blessure
Je t'aime encore.
Bien sûr j'ai joué de mes armes
J'ai joué de leurs larmes
Entre le bonsoir et l'adieu
Souvent pour rien, souvent par jeu
Bien sûr
Bien sûr, j'ai redit à mi-voix
Tous les mots que pour toi
J'ai dit pour la première fois.
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Jamais encore, je te le jure
Je n'ai pu oublier ton corps
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Je n'ai pu fermer ma blessure
Je t'aime encore.
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Jamais encore, je te le jure
Je n'ai pu oublier ton corps
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Je n'ai pu fermer ma blessure
Parce que je t'aime
Je t'aime encore
Je t'aime encore
Je t'aime encore
11:37 Publié dans 1968, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
25.07.2009
1977: "Messieurs"
En 1977, Serge Lama chante "Messieurs".
Serge Lama explique alors l'origine de cette chanson dans un article de presse (journaliste et journal non identifié).
«Je hisse le drapeau de la libération de l'homme !
Messieurs, j'ai dit « Messieurs »,
Nous voulons passer pour des hommes
Ailleurs qu'au fond de leur dodo... »
C'est la provocation en forme de chanson que Serge Lama réserve à son récital du Palais des Congrès, du 8 janvier au 27 février. Il me la chante avec une rage ponctuée d'éclats de rire.
— D'accord, c'est une chanson assez virulente et pas nuancée. Je l'ai imaginée après un coup de colère que j'ai eu, un soir, à la suite d'une émission de télévision. J'y ai vu des dames réunies qui proféraient des horreurs...
Avec un mépris pour les hommes ! Pas possible qu'on laisse dire aux femmes de pareilles choses. Ce n'étaient pas des femmes qui m'attireraient dans la vie. Alors, j'ai vu rouge ! Bien sûr, il y a aussi des hommes qui disent des âneries. Du genre : « Oh ! moi, ma femme, je la tiens bien. Bouclée à la maison ! »
« La femme aux casseroles, je n'y tiens pas. Si une femme aime travailler, si elle a besoin de se réaliser à travers une activité, je le comprends très bien. Si elle préfère s'occuper de son foyer, c'est aussi son droit !
« Pour moi, la femme idéale, l'homme idéal, ça n'existe pas. Il y a des êtres que l'on rencontre, pendant le voyage de sa vie, comme des paysages.Certains paysages vous plaisent infiniment, d'autres moins. Des paysages devant lesquels on souhaite passer huit jours. D'autres qui, simplement, vous retiennent un quart d'heure sur un banc, avant le départ du train...
« Cela dit, je comprends qu'on s'insurge contre la «femme-objet». Mais il ne faut pas maintenant nous considérer comme des « hommes-objet ». «Je comprends qu'on s'insurge contre la « femme-objet ». Mais il ne faut pas maintenant nous considérer comme des « hommes-objet ». Je ne suis pas vraiment contre le M.L.F. Je serais plutôt pour le Mouvement de libération des hommes. » Voilà enfin les hommes bien défendus...
Les paroles :
Messieurs, je dis messieurs
Je hisse le drapeau de la libération de l'homme
Aux femmes je rends leurs cadeaux empoisonnés
Serpents et pommes
Et je veux passer pour un homme,
Ailleurs qu'au fond de leur "dodo".
Bientôt elles nous mettront par quatre
Dans un ministère qu'elles feront
Pour les aimer faudra se battre
Le plus fort aura le pompom
Et quand il aura fait merveille
Au fond du lit de sa colombe
D'un coup de dard la fine abeille
L'enverra au royaume des ombres
Messieurs j'ai dit messieurs
Je hisse le drapeau de la libération de l'homme
Aux femmes je rends leurs cadeaux empoisonnés
Serpents et pommes
Et je veux passer pour un homme
Ailleurs qu'au fond de leurs "Dodos".
Monsieur le ministre avait des dents
Qui leur bouffait le corps et l'âme
Elles l'ont élu président
Parce qu'il savait parler aux femmes
Mais lors, l'usure du pouvoir
A changé son rire en grimace
Demain elles ne pourront plus le voir
Monsieur le ministre est à la casse
Messieurs j'ai dit messieurs!
Je hisse le drapeau de la libération de l'homme
Aux femmes je rends leurs cadeaux empoisonnés
Serpents et pommes
Et je veux passer pour un homme
Ailleurs qu'au fond de leurs "Dodos"
C'est un vent qui vient d'Amérique
Avec la drogue et les chewing gums
Y'a plus que les psychanalystes
Qui passent encore pour des hommes
Ils se penchent sur nos détresse
Avec leurs histoires à la gommes
Encore un peu et je vais en Grèce
Me faire voir enfin par des "hommes"
Messieurs j'ai dit messieurs
Je hisse le drapeau de la libération de l'homme
Aux femmes je rends leurs cadeaux empoisonnés
Serpents et pommes
Et je veux passer pour un homme
Ailleurs qu'au fond de leurs "Dodos"...
00:25 Publié dans 1977, Chansons | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : serge lama
01.07.2009
La braconne
Juliette, Françoise ou Simone
Quelque soit le nom qu'on leur donne
Qu'elles soient p'tites ou grandes, cheveux raides ou frisés
J'ai toutes envie de les embrasser
Mais hélas que Dieu me pardonne
Mon cœur n'appartient à personne
Mon cœur, il est fou, il têtonne, il juponne, il braco-o-o-onne
J'ai le respect des demoisell-elle-les
Pourtant je ne suis pas fidè-è-le
Chacune à ses trucs et c'est jamais pareil
Pour me mettre le cœur en éveil
Celle-là est longue et chéti-i-ve
Celle-là dodue et lasci-i-ve
Cette biche-là cache des dents de loups
Or toutes les trois me rendent fou...
Juliette, Françoise ou Simone
Quelque soit le nom qu'on leur donne
Qu'elles soient p'tites ou grandes, cheveux raides ou frisés
J'ai toutes envie de les embrasser
Mais hélas que Dieu me pardonne
Mon cœur n'appartient à personne
Mon cœur, il est fou, il têtonne, il juponne, il braco-o-o-onne
C'est pas une vie pour un ho-om-me
D'aimer croquer toutes les po-om-mes
Comme dit ma maman "ça crève ma santé"
Y a des soirs j'ai du mal à chanter
Mais bon Dieu tant que l'on est jeu-eu-ne
C'est pas le moment que l'on jeû-eû-ne
Venez toutes à moi chacune à votre tour
Et merci pour votre élan d'amour...
Juliette, Françoise ou Simone
Quelque soit le nom qu'on vous donne
Les p'tites et les grandes, les ch'veux raides les frisés
J'ai toutes envie de vous embrasser
Mais hélas que Dieu me pardonne
Mon cœur n'appartient à personne
Mon cœur, il est fou, il têtonne, il juponne, il braco-o-o-onne
{Chœur:}
Juliette, Françoise ou Simone
Quelque soit le nom qu'il nous donne
Qu'on soit brune ou blonde, cheveux raides ou frisés
Il voudrait toutes nous embrasser
Mais hélas que Dieu lui pardonne
Son cœur n'appartient à personne
Son cœur, il est fou, il têtonne, il juponne, il braco-o-o-onne...
08:30 Publié dans 1974, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
10.06.2009
1978: Salut
13:51 Publié dans 1978, Chansons, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)
01.06.2009
juin 1978: Femme Femme Femme
01:10 Publié dans 1978, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)