15.11.2009
1974: Mon ami mon maitre
Chanson hommage à Marcel Gobineau son ami son maître
Couverture d'une partition de la chanson 'Mon ami mon maître'
J'ai essayé à cent reprises
De vous parler de mon ami
Mais comment parler d'une église
Dont l'accès vous est interdit
Mais ce soir je sens sous ma plume
Un fourmillement familier
Quand le soleil du coeur s'allume
L'éteindre serait un pêché
C'est mon ami et c'est mon maître
C'est mon maître et c'est mon ami
Dès que je l'ai vu apparaître
J'ai tout de suite su que c'était lui
Lui qui allait m'apprendre à être
Ce que modestement je suis
Comme une chèvre vendéenne
De ses secrets il est jaloux
Et même s'il a de la peine
Il ne vous parle que de vous
Il conserve de son bel âge
Un sourire au fond de ses yeux
Et je me dis que c'est dommage
De vous le décrire sans cheveux
C'est mon ami et c'est mon maître
Je le vouvoie encore aujourd'hui
Et quand j'ai mal dedans mon être
Je passe une heure ou deux chez lui
L'air qu'on respire à sa fenêtre
C'est l'air le plus pur de Paris
Il porte en lui dur comme une arme
Un orgueil au-delà de tout
Au point que même au bord des larmes
Il vous fera croire qu'il s'en fout
C'est lui qui a fortifié mon âme
Et si je suis encore en vie
Je ne le dois pas à cette femme
Qui me rend heureux aujourd'hui
Mais à mon ami, à mon maître
Et dans la chanson que voici
Je sais qu'il va se reconnaître
Mais puisque nous sommes entre amis
Ce soir je peux bien me permettre
De vous le présenter aussi...
09:41 Publié dans 1974, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
01.11.2009
"Le joyeux fêtard"
19:15 Publié dans 1978, Chansons, La Fronde- Fan club ASL | Lien permanent | Commentaires (0)
1970:Paroles charivari
17:59 Publié dans 1970, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
30.10.2009
A quinze ans.
17:41 Publié dans 1964, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
27.10.2009
1977: Tarzan est heureux
Poster de 1977 dans la revue Salut
Pour la trois-cent-millième fois
Ne t'arrive-t-il pas des fois
De rêver qu'il est quelqu'un d'autre ?
Et quand tu roules dans son lit
En miaulant comme un jeune chat
N'espères-tu pas quelquefois
Que Tarzan est derrière la porte ?
{Refrain:}
Dans la grande forêt
Forêt vierge de l'amour
Il t'emporte avec lui
Et de sources en cascades il t'enlève
En poussant son grand cri
(cri de Tarzan)
Tu t'accroches à ses hanches tellement fort
Que tes veines en sont bleues
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Quand tu dors près de ton mari
Et que ton plaisir ne vient pas
Ne t'arrive-t-il pas des fois
De rêver qu'il est quelqu'un d'autre ?
Et quand tu vogues dans la nuit
Au vent de son plaisir à lui
Pour atteindre le paradis
Tu rêves que Tarzan t'emporte !
{au Refrain}
Dans la grande forêt,
Forêt vierge de l'amour
Il t'emporte avec lui
Dans l'espace il t'enlace il t'embrasse
En poussant son grand cri
(cri de Tarzan)
Vos corps planent dans les lianes
Près du fleuve étrange et dangereux
Quelles vacances, quelle chance, tu es belle
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
10:37 Publié dans 1977, Chansons, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)
26.10.2009
1977:Nicolas
Nicolas c'est Nicolas Peyrac qui était en tournée avec Lama
Nous étions Nicolas et moi
Assis au pied des caravanes
Pour faire prendre l'air à notre âme
En attendant d'aller chanter là-bas
Sur les tréteaux dressés pour ça
Les romanichels étaient là
Tout autour avec leurs gitanes
Ils avaient aussi des caravanes
Ils faisaient un grand cercle autour de nous
Ils avaient des enfants partout
Nicolas, Nicolas
Pourquoi n'avons-nous pas chanté pour eux?
Nicolas, Nicolas
Ça les aurait rendus heureux
Tout à coup j'entends une voix
Qui s'écrie: "Planquez vos affaires!
Ils ont des gueules patibulaires
Ils ne me disent rien de bon ces gens
Laissez pas traîner votre argent"
Et pas plus Nicolas que moi
N'a osé relever la phrase
Perdus tous deux dans cette extase
Qui précède l'heure où l'on va chanter
Qui fait croire qu'on est fatigué
Nicolas, Nicolas
Pourquoi n'avons-nous pas chanté pour eux?
Nicolas, Nicolas
Aujourd'hui je m'en veux un peu
Nous étions Nicolas et moi
Assis au pied des caravanes
En train de fumer nos Gitanes
Sans souci pour ces va-nu-pieds autour
Avec leurs yeux luisants d'amour
Nicolas, Nicolas
Pourquoi n'avons-nous pas chanté pour eux?
Nicolas, Nicolas
Ils avaient de si pauvres yeux
Nicolas, Nicolas
Pourquoi n'avons-nous pas chanté pour eux?
Nicolas, Nicolas
Puisqu'on est des gitans comme eux
11:48 Publié dans 1977, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
Paroles:Les piscines privées
Une chanson peu connue que l'on ne trouve que sur l'album live du Palais des congrès de 1981
Serge Lama
LES PISCINES PRIVÉES
REFRAIN:
Les gens dans les piscines privées
Se privent de la mer,
Se privent de la France,
Les gens dans les piscines privées,
Se privent d'espérance.
On veut pour soi tout seul
L'eau bleue de l'Atlantique
Pour soi tout seul on veut
Les oiseaux blancs, le ciel bleu,
Pour soi tout seul, on veut
Le plus grand, le meilleur, le mieux
La grandeur se vend pas dans les boutiques,
REFRAIN
On veut pour soi tout seul,
Les dollars, l'Amérique,
Pour soi, tout seul on veut,
L'or, le pétrole et le Bon Dieu,
On volerait pour un peu
Le feu du soleil dans les cieux;
La richesse s'achète pas dans les boutiques.
REFRAIN (bis)
08:33 Publié dans 1981, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
22.10.2009
1978:Toi c'est pas pareil
Sûr que tu n'es pas tombée vierge au fond de mes draps
Sûr que tu étais loin déjà de ta première fois
Sûr que d'autres yeux se sont noyés dans ton chagrin
Sûr que d'autres cœurs avaient déjà crevé le tien
Sûr que tu as déjà vu sortir le loup du bois
Sûr qu'à belles dents certains t'ont dévorée de joie
Sûr que d'autres cœurs t'avaient déjà donné des ailes
Sûr que d'autres corps t'avaient déjà montré le ciel
Mais toi, c'est pas pareil
C'est du soleil
C'est l'océan quand les vagues déferlent
Toi, c'est différent
C'est le printemps quand la rosée couvre l'aube de perles
Toi c'est pas pareil
C'est du soleil
C'est doucement la caresse des algues
Toi, c'est différent
C'est l'ouragan lorsque la pluie gifle les temps des vagues
Mes amis disent entre eux que tu mens un peu
Sûr que je ne suis pas tombé vierge dans tes bras
Sûr que j'étais loin déjà de ma première fois
Sûr que des serments, j'en ai souri, j'en ai pleuré
Sûr que mes remords sont étouffés par mes regrets
Sûr que je ne suis pas né de la dernière pluie
Sûr que j'ai déjà usé le tissu de ma vie
Sûr que j'ai menti des mots dans l'encre de mes pleurs
Sur que tu es venue toute seule au bout du mot plusieurs
Mais toi, c'est pas pareil
C'est du soleil
C'est le marteau qui fait chanter l'enclume
Toi c'est différent
C'est un torrent, c'est un félin léger comme une plume
Toi, c'est pas pareil
C'est du soleil
C'est un dimanche qui dure la semaine
Toi c'est différent
C'est du vin blanc qui coulerait de tes veines à mes veines
Tu m'as mis le feu
Des pleurs dans mes yeux, des rires dans mes pleurs
L'homme qui dort dans tes bras
J'en reviens pas
C'est moi
19:16 Publié dans 1978, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
21.10.2009
Le temps de la rengaine
07:57 Publié dans 1968, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
18.10.2009
Les vagues de la mer
21:26 Publié dans 1978, Chansons, La Fronde- Fan club ASL | Lien permanent | Commentaires (0)