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05.04.2013

5 Avril 2015: Le Dauphiné

Serge lama était en concert au Palais des congrès de Montélimar le 3 Avril 2015

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Spectacle - 1500 personnes et Charles Aznavour au concert du chanteur au palais des congrès Serge Lama, un grand monsieur !

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Montélimar

Serge Lama, un grand monsieur !

Un palais des congrès Charles Aznavour comble. Un public comblé. À l’affiche, un grand nom de la scène, un monument de la chanson française, l’éternel Serge Lama. Dans le public, Franck Reynier, député-maire, avec à ses côtés Charles Aznavour himself, "l’autre père spirituel" du chanteur qui lui a dédié sa chanson "mon ami, mon maître". Avec une belle énergie, le septuagénaire, se disant chanteur populaire et pas star, « c’est réservé à Charles et Johnny chez les chanteurs, et Depardieu chez les comédiens » a conquis son auditoire, déjà tout acquis, il faut bien le dire.

Composé certes de seniors, mais aussi de plus jeunes, le public s’est laissé emporter avec ferveur et émotion par cet artiste entouré d’un très bel ensemble de musiciens. Un artiste généreux, authentique et sincère, chantant la vie, l’amour, la guerre d’Algérie. Cela sent le vécu ! En fin de concert, avant d’ovationner le chanteur, toute l’assistance a repris en chœur "Je t’aime à la folie", car pour ce grand Monsieur", il faut dire à la vie qu’on l’aime à la folie, on en a bien besoin en ce moment". Daniel Maggi, représentant Idée Hall, organisateur du spectacle, était enchanté que le public ait plébiscité ce temps fort de la saison.

 

 

02.04.2013

2 Avril 2015: Printemps de Pérouges

Serge Lama en concert le 2 Avril 2015 à Saint Vulbas dans le cadre du festival du Printemps de Pérouges

 

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C’est une programmation plus «élargie» qu’a souhaité concocter Marie Rigaud Bernollin la directrice du «Printemps de Pérouges», pour cette édition. Une 19e «saison».......

 

Intarissable, Marie poursuit l’éloge de «ses» artistes invités, en l’occurrence, de Serge Lama qui rejoint pour la première fois le festival : «Il est, dit-elle, un monument de la chanson française. Il a semé dans notre mémoire collective des dizaines de mélodies et de tubes. Qui ne se souvient de «Je suis malade», «Les ballons rouges», «Une île», «Les petites femmes de Pigalle», «Femmes, femmes, femmes» etc. C’est d’ailleurs ses 50 ans de carrière qu’il propose d’égrener au Centre International de Saint-Vulbas. Une tournée anniversaire avec, sur scène, un bel ensemble de cordes pour un florilège amoureux, un répertoire remarquable, une voix, une présence… Un spectacle souvenirs et émotions. »

(Extrait d'un article de Lyon people du 11 Mars 2015)

29.03.2013

29 Mars 2015:Le Figaro

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Serge   l'Olympia : fans, fans, fans

 

ÇA C'EST PARIS - Première à guichets fermés du chanteur français. Vincent Niclo, Natasha St-Pier et une poignée d'invités étaient présents.

Son nom scintille en lettres rouges. Arrivées avec deux heures d'avance, ses fans font des selfies devant l'Olympia. Marie-Claude est « amoureuse ». Quarante ans que ça dure. Anne-Marie, elle, se fait du souci : "L'autre jour, à la télé, je lui ai trouvé mauvaise mine." Catherine et Anne l'ont vu quatre fois d'affilée l'an dernier. L'une de leurs copines a eu une aventure avec le chanteur. Leur rêve. Les septuagénaires pomponnées représentent 85 % de son public. Mises en plis, blondes platine ou chignons à la Marie-France Garraud.

Au premier rang, Geneviève est là. Elle costume Serge Lama depuis 1960 : « C'est mon type d'amour. Il vieillit bien. » À 20 h 35, sa voix puissante résonne a cappella : « Je voudrais tant que tu sois là…» La vedette fait son entrée sur Les Ballons rouges. « Bonsoir, mesdames. Bonsoir, mesdemoiselles. » Cordialement les énamourés. Deux chansons et la salle, comble, est conquise. Il le sent, pointe l'index et lance « Allez, on y va ! » « De port en port, je n'ai pas oublié ton corps, parce que je t'aime encore » À 72 ans, leur idole se déplace avec moins d'aisance mais enchaîne deux heures de show. 27 chansons plus tard, standing ovation. La main sur le cœur, il envoie des baisers.

Backstage, Vincent Niclo , Natasha St-Pier et une poignée d'invitations se faufilent pour rejoindre sa loge. Murs taupe, miroir entouré de petites lampes rondes. Sur la table, quatre jeux de cartes - il fait des réussites - et quelques tubes d'aspirine. Un flacon « Monsieur de Givenchy ». Les photos de disparus : son père, ses impresarios Eddy et Simone Marouani. Sa coiffeuse lui donne un coup de peigne. Dans le frigo, des yaourts 0 %. Fait une photo avec Jocelyne, 84 printemps. Autrefois, ce séducteur repérait les jolies filles dans la salle et elles le rejoignaient en coulisses. « À mon âge, c'est fini ça. Heureusement, les tweets n'existaient pas à mon époque. » Il est aussi mélancolique que ses chansons. Un ami : "Ce soir, tu étais en guerre avec ta mère." Lama acquiesce : "C'est un truc dont je n'arrive pas à me guérir." Dehors, vingt groupies l'attendent, maternelles. Il fait froid, il les gronde gentiment. File grignoter une dorade avant de regagner son domicile près des Invalides, là où repose son cher Napoléon.

Lutaud, Léna

26.03.2013

26 Mars 2015: La tribune de Genève

Serge Lama était en concert à Genève le 20 Mars 2015

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26 au 29 Mars 2015: Olympia

Serge Lama a retrouvé la scène de l'Olympia du 26 au 29 Mars 2015,

4 concerts complets

 

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Photo Pascal

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Photo Patrick

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photo Patrick

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Photo D.R.

 

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Photo François

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24.03.2013

24 Mars 2015: Nous deux

Article paru dans le magazine Nous Deux avant le passage de Serge Lama à l'Olympia en Mars 2015

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24 Mars 2015:Mot de Serge

Le message de Serge avant les 4 concerts à l'Olympia

Dans une inconscience totale, je suis rentré le 11 février 1964 dans le temps des « premières fois » et subrepticement mais inéluctablement, le 11 février 2003 à Bercy, je suis rentré dans celui des « dernières fois ». Rien ne prouve que je ne ferai plus l’Olympia, cette salle mythique, d'ici ma fin de carrière, mais rien ne prouve le contraire non plus, d'autant plus que le Palais des Congrès est véritablement ma salle, celle qui m'a non pas sacré mais consacré tête d'affiche. J’y ai réuni près de 700 000 spectateurs, record qui tient toujours. Alors peut-être hésiterai-je après mon prochain disque et si Dieu me donne encore la force de me produire sur scène aux alentours de 2017, à refaire l’Olympia.


Je vais vivre à fond ces quatre soirées qui m'attendent présentement, avec le coeur empli de « si jamais ». Il y aura donc une émotion supplémentaire. J'ai d'ailleurs rajouté une chanson qui n'était plus au programme « J'arrive à l'heure » car c'est un sujet que mes confrères relativement âgés craignent. Moi pas, j'ai à peine aimé mon enfance et assez peu ma jeunesse, je ne suis pas si mal à l'aise que ça dans mon âge, et comme je suis un tireur de bilan et que j'aime cette chanson, raide mais pas triste, alors je l'ai réintroduite.


A propos de mon prochain disque je vais le soigner, le dorloter, le peaufiner mot par mot, d'abord comme un artisan et ensuite, si le Dieu des mots le veut comme un artiste, puis comme un interprète. Tout cela m'envahit de beaux projets ponctués de belles angoisses, mais le désir que j'ai de vous est inextinguible. Je vous dois tant que je tiens à vous rembourser jusqu'au dernier centime.


Alors vive aujourd'hui et vive demain, mes très chers amis.


Serge Lama

21.03.2013

21 Mars 2015: Ouest France

Interview publiée dans Ouest France le 21 Mars 2015

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10.03.2013

10 Mars 2015: Sud Ouest

Compte rendu du concert donné à Arcachon le 6 Mars 2015 et publié dans le journal Sud Ouest

 

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L’Olympia d'Arcachon était complet, jusqu’aux strapontins du balcon, vendredi soir, pour le concert de Serge Lama. Le chanteur séduit toujours même avec un mal de gorge


À 72 ans, plus de cinquante ans de chansons, et autant de « tubes » même s'il déteste le mot, le chanteur séduit toujours autant.

Certes, une vilaine laryngite le trahissait parfois. Il s'en est excusé dès le début : « Je me soigne le mieux possible. Je n'ai pas voulu annuler, j'ai préféré chanter, je ne sais pas si j'ai eu raison ». Les applaudissements nourris, les cris d'amour lancés du balcon, les chansons reprises en chœur, spontanément ou à sa demande, sont la meilleure des réponses.
Serge Lama, même avec sa voix « Malade », reste émouvant (« Les Ballons rouges », « L'Enfant d'un autre »), truculent (« Les P'tites femmes de Pigalle »), militant avant l'heure (« L'Algérie »), toujours épatant (« Mon ami, mon maître »).

« Le Chanteur… celui qui boîte » repose parfois sa voix et récite parfois ses chansons, joliment « colorisées » par Sergio Tomassi, à l'accordéon. On mesure alors toute la poésie ou la profondeur des textes

Il prend aussi le temps de plaisanter : « Je suis Bordelais, je passais mes vacances ici. On peut pas appeler ça la mer à Arcachon, c'est le Bassin, l'eau n'est pas là tout le temps, ça va ça vient, il faut arriver au bon moment ». Des « Ouh ouh » sympathiques lui répondent. Et il enchaîne avec « le temps de la rengaine ».

Il flatte même le public de l'Olympia lorsque le parterre puis le balcon, chacun son tour, reprendre « D'aventure en aventure » : « C'était en rythme, ce n'est pas tous les soirs… et puis ça m'aide à chanter ».

« Je t'aime à la folie… »
Merveilleusement accompagné par son « bouquet de splendeurs », comme il nomme, Elise au violoncelle, Akémi, Léa et Camille aux violons, Ysabelle au piano, Serge Lama fait aussi applaudir Laurent Chapot dont « l'opéra de lumière » embellit la scène et le concert.

La salle chante plus doucement « Je t'aime à la folie… la vie » : « On a besoin de le dire tout le temps à la vie qu'on l'aime à la folie », répète le chanteur. Même si c'est au chanteur que le public semble s'adresser. Un public qui aurait bien continué à entonner cinquante ans de chansons qu'il connaît par cœur. Mais la voix est fatiguée. Surtout pour chanter « Une île ».

Serge Lama accepte un rappel. Il offre « Le Chanteur » a capella. Bluffant. Et seul l'accordéon l'accompagne pour « Je suis malade » qu'il finit sans micro. Comme un ultime clin d'œil. Mine de rien, la voix revient, envoûtante et puissante. Le public applaudit encore et encore. Et s'en va à regret avec les notes et le souvenir d'un merveilleux concert.

 

10 Mars 2015: Bretagne actuelle

Interview de Serge Lama 

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Serge lama : « Le Vatican est une entreprise comme une autre »

Pour son jubilé de carrière, Serge Lama a réuni l’intégral de ses chansons dans un volume de 700 pages. Parfois croquantes et rieuses, tantôt poignantes et sérieuses, elles y sont toutes. Les mots semblent une véritable terre de mission pour leur auteur et, « même si la chanson n’est que de l’art mineur », nous dit-il, « je peux vous affirmer qu’elle vous use le cœur ». Serge Lama, rencontre exclusive avec un homme de paroles.

Jérôme Enez-Vriad : Vous dites à propos de certaines chansons « qu’elles vous sont tombées dessus ». Comment se construit un texte dans la tête de Serge Lama ?
Serge Lama : Ce sont des fulgurances nourries d’un ensemble de phrases qui tout à coup m’apostrophent. Après un premier jet déjà très abouti, je reprends le texte quelques semaines ou plusieurs années après. Je ne m’impose aucune limite de temps. L’impératif du « dos au mur » avant une entrée en studio oblige parfois la réécriture ou l’écriture d’un texte en urgence, mais c’est une autre dynamique et tout peut aller très vite, d’un bon, d’un trait, comme si l’on me poussait à le faire de l’extérieur.

Croyez-vous en l’inspiration ?
SL : Je crois au travail avant tout, même si je considère parfois que certains textes me sont « donnés ».

« Certains textes me sont donnés », que je rapproche d’une autre phrase du livre : « Je n’ai d’idéalisme que pour ce qui me dépasse, appelons-ça Dieu. » Ces derniers temps, beaucoup de choses « explosives » se font au nom de Dieu …
SL : Dieu est dangereux quand on s’en sert mal. Je suis chrétien mais de moins en moins catholique. Le Vatican est une entreprise comme une autre qui, du temps de l’Inquisition, gérait les affaire de Dieu de la même façon que ceux qui aujourd’hui gèrent celles d’Allah. Dans tous les cas de figures, la guerre au nom de Dieu est inacceptable.

Claude Nougaro écrivait tous les jours, Charles Aznavour attache beaucoup d’importance à cette régularité, et vous ?
SL Nougaro et Aznavour, auxquels il faut ajouter Brassens qui était un véritable paysan de la chanson. Cela dit, oui, la régularité génère une dynamique d’inspiration et de résultat. C’est exactement la même chose que l’astreinte quotidienne du danseur à sa barre. Les auteurs doivent plier leur plume à leur dévotion et à leur ordre. Les gens qui ne travaillent pas n’arrivent à rien. Jamais.

Ecrivez-vous sur la musique ou, à l’inverse, les compositeurs travaillent-ils sur vos paroles ?
SL : Certains m’apportent des musiques sur lesquelles je travaille, c’est le cas avec Alice Donna ; d’autres ont besoin d’un texte ou d’un début de texte pour composer, je pense à Yves Gilbert. Il existe néanmoins une différence entre le parolier qui écrit sur une musique existante, et l’auteur sur le texte duquel on greffera la musique ensuite ; car écrire sans la musique prête à des élans plus littéraires qui imposent ensuite de reprendre l’ensemble pour le simplifier et le délimiter différemment.

Vous avez toujours soutenu qu’une chanson « commence à A et termine à Z ». Pour autant, de grands textes ne respectent pas cette règle…
SL : L’image de la chanson qui commence à A et termine à Z, est une phrase de mon ami Charles Aznavour, il faut rendre à César ce qui lui appartient. Vous savez, une chanson est bonne à partir du moment où elle touche les gens. Les miennes suivent effectivement un schéma classique proche du réalisme, avec un début et une fin, mais il n’existe pas de loi absolue.

J’ai cherché si vous aviez écrit sur la Bretagne, sans rien trouver…
SL : Ah, la Bretagne ! Pays de peintres davantage que de chansonniers. Je connais surtout le Morbihan du côté de Quiberon, un peu de soleil suffit à accentuer le moindre relief, c’est magnifique. J’ai toujours comparé la Corse à une Bretagne en couleurs, ce qui ne veut pas dire l’inverse, que la Bretagne serait une Corse en noir & blanc, mais la Bretagne a tout l’arc-en-ciel dans ses nuances de gris, y compris le caractère de ses habitants. (Sourire)

Vous êtes un homme d’opinions mais y faites peu référence dans votre travail…
SL : Il y en moyenne une chanson engagée par disque mais elles ne sont pas frontales. C’est le cas avec Des éclairs et des révolvers, ou dans Au Chili comme à Prague. Je fais toujours le choix de ne jamais prendre partie, j’expose simplement des faits, même si, au fil des sujets traités et de l’angle choisi, on peut se faire une idée de mes convictions et obédiences.

« Sans la musique, l’histoire n’est pas très gaie », écrivez-vous. On a malgré tout le sentiment que Serge Lama est un homme qui sait rire et s’amuser. Je pense, entre autre, à la chanson Le gibier manque et les femmes sont rares…
SL : (Rire) Mes chansons « à boire » sont parfois construites sur des refrains pas vraiment distingués, je vous l’accorde, elles évoquent cependant toujours un drame. Les petites femmes de Pigalle, par exemple, raconte l’histoire d’un pauvre type fait cocu par son épouse ! Femmes, femmes, femmes, évoque deux amis en peine d’amour, réduits à courir la gueuse. Elles ont été prises à contre-pied par les compositeurs, ils en ont fait des morceaux burlesques, mais ce sont essentiellement des critiques sociales où la gaudriole est un antidote au désespoir.

Vous êtes aujourd’hui l’un des rares à citez Georges Steiner [spécialiste de la théorie du langage]. Que pensez-vous de l’appauvrissement du langage au bénéfice de l’image ?
SL : Les générations vieillissantes ont souvent la nostalgie de la précédente. Talleyrand disait : Qui n’a pas connu le XVIIIème n’aura pas connu le bonheur de vivre. Paul Valery aussi est mort triste du monde qui l’entourait. Le XXème siècle a remplacé Dieu par la science, et le XXIème s’engage dans le processus inverse. L’appauvrissement du langage me rend triste sur la forme : la beauté de la langue, et pessimiste sur le fond, car ne plus avoir « les mots pour le dire », c’est laisser la place aux idoles et au pré-pensé. L’actualité en témoigne. Hélas !

Votre livre est né par défaut d’une autobiographie dont vous ne souhaitiez pas. Y en aura-t-il malgré tout une un jour ?
SL : Si Dieu me prête vie, oui. Au moins pour remercier la maison Flammarion du blanc seing qu’elle m’a accordé autour de cet intégral. Il me faut en revanche trouver une idée novatrice, quelque chose de moins traditionnel, à ma façon, qui me convient et me ressemble.

En 1976, Shirley MacLaine reprend La chanteuse à vingt ans. Pour la remercier, vous lui faites livrer mille roses. A qui aimeriez vous les offrir aujourd’hui ?
SL : A ma femme.

Si vous aviez le dernier mot, Serge Lama.
SL : Il ne tient qu’à chacun de nous que les belles choses durent encore longtemps.

Propos recueillis par Jérôme Enez-Vriad – Mars 2015
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