29.01.2009
29 janvier 1982 : Paris Match
06:55 Publié dans 1982, La presse des années 1980 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : serge lama
29 janvier 1976 : Grand échiquier de Maurice Genevoix
Le 29 janvier 1976, Serge Lama est une nouvelle fois l'invité de Jacques Chancel dans son émission "Le Grand Echiquier" sur Antenne 2.
Au cours de cette émission, Serge Lama chante en duo avec Georges Brassens "Auprès de mon arbre".
06:45 Publié dans 1976, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : serge lama
28.01.2009
28 Janvier 1977: Dialoscope N°79
Petite revue sur les arts et loisirs, exemplaire de janvier 1977 qui parle de la sortie de l'album "L'enfant au piano"
20:15 Publié dans 1977, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)
28 Janvier 2002:La presse
16:35 Publié dans 2002, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
28 Janvier 1989: Jour de france
15:50 Publié dans 1989, La presse des années 1980 | Lien permanent | Commentaires (0)
28 Janvier 2003:On a tout essayé
Ce jour là étaient présents sur le plateau:Dan Bolender,Isabelle Alonso,Gérard Miller,Claude Sarraute,Philippe Geluck, Raphaêl Mezrahi,Valérie Mairesse
Étaient invités les patineurs Sarah Abitbol, Stéphane Bernadis , Brian Joubert et Serge Lama en tournée avant le grand concert de Bercy.
Passage de Serge Lama à 35'49.
13:14 Publié dans 2003, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
28 janvier 2000 : Salle de spectacle du collège Lionel Groulx – Sainte Thérèse – Canada
Concert à Sainte Thérèse
Serge Lama... le charme à l’état pur
Hélène Alexandre
Dès qu’il est entré en chantant tout doucement dans la lumière colorée qui habillait la scène de la salle de spectacle du collège Lionel-Groulx, le 28 janvier dernier, Serge Lama, le poète, le compositeur prolifique, le chanteur, l’acteur et l’humoriste, avait déjà captivé son auditoire au grand complet.
Le public térésien est tombé sous le charme d’un chanteur nommé Serge Lama.
C’est que ce quinquagénaire gouailleur qui chante sur tous les tons l’amour déçu depuis plus de 35 ans, en ayant le don de faire croire qu’il s’inspire toujours de sa propre vie, n’a pas que du talent et du métier. Il a aussi du charme. Beaucoup de charme. Et heureusement, il le sait.
D’un décontracté par moments à la limite de l’impertinence, l’interprète qui a écrit sa première chanson à 12 ans et n’a jamais arrêté depuis d’exprimer ses états d’âme se défend bien d’être l’émule de Jacques Brel. Mais, comme lui, il ne peut s’empêcher de charmer son auditoire en jouant la corde sensible du pauvre amant constamment au bord du désespoir. C’est une seconde nature chez lui.
Bien qu’ils ne soient pas tous des chefs-d’œuvre de littérature, ses textes doux-amers, bien sentis et bien livrés, desservent parfaitement sa cause. Son sempiternel roucoulement d’oiseau blessé pourrait s’avérer agaçant à la longue, mais ce ne l’est pas. Au contraire, c’est même ce petit côté Casanova éconduit qui pleure ses femmes et avoue candidement ses peurs, son désarroi et parfois son je-m’en-foutisme, comme par exemple dans Les petites femmes de Pigalle, qui permet à l’artiste de remplir et de faire lever encore aussi bien ses salles.
Pour les inconditionnels et pour tous les autres, il y a le charme indéniable de l’homme, mais il y a aussi la magie de ses vieux succès que tous se mettent à fredonner ensemble d’un simple coup de baguette, comme si toutes ces histoires d’amour bien installées dans les mémoires prenaient racine dans les tréfonds de leur propre vie. Il fallait entendre ce chœur de plus de 800 personnes murmurer avec une douceur infinie le mot-à-mot de la chanson D’aventure en aventure, pour comprendre que les mélodies de Lama sont encore bien vivantes, même après avoir tourné et retourné sur plus d’un continent au cours des 30 dernières années.
D’ailleurs, en ce soir de première de sa tournée québécoise, les airs les plus appréciés avaient de l’âge et beaucoup de vécu. Que l’on pense par exemple aux incontournables C’est toujours comme ça la première fois, Les petites femmes de Pigalle, Je suis malade, l’Algérie et Tarzan est heureux. Sûr de plaire, Lama les a tous faits l’un après l’autre avec une certaine générosité et surtout avec l’air d’y croire dur comme fer pour une millième fois.
Rien de statique toutefois ni de débité à la va-comme-je-te-pousse. C’est que, tout à la fois auteur et interprète, il a tout le loisir de se réapproprier ses propres textes et même de les actualiser pour leur donner encore plus de mordant. C’est ainsi qu’au détour d’un refrain, il se permet de glisser un bon mot, une blague ou un commentaire de son cru. Et, chaque fois, il frappe dans le mille.
À plusieurs occasions, celui qui fut le très sérieux parolier de Juliette Greco et Nana Mouskouri a même pris des libertés réservées d’ordinaire aux humoristes et, oh miracle! il s’en est toujours sorti indemne. Le charme et la maturité aidant, ses ajouts presque grivois parfois étaient bien intégrés au mouvement tout en douceur d’un spectacle intimiste que cet artiste bavard comme pas un a manifestement construit à partir d’un canevas où le laisser-aller n’a requis aucun espace. Le chanteur de charme et la bête de scène ont fait le reste.
Dans un décor minimaliste abondamment balayé de faisceaux de lumière, ce fils de chanteur qui s’était juré de réussir là où son père avait échoué a été fidèle à sa réputation de chanteur à textes. Un personnage en soi, bougeant à souhait, Lama a littéralement habité toute la scène pendant deux bonnes heures. La voix un peu plus éraillée qu’à l’habitude, un relent de bronchite que le froid québécois n’a pas arrangé, a-t-il dû avouer après une quinte de toux impromptue, Lama n’a pas lésiné sur la qualité de ses musiciens de tournée. Multipliés par la magie des synthétiseurs, plus souvent qu’autrement, les trois musiciens y sont allés d’arrangements non conventionnels. Il faut souligner l’apport des percussions qui, à maintes occasions, en ouverture notamment, ont réussi à donner une couleur nouvelle à certains airs archiconnus.
Somme toute, après quatre mois de tournée en Europe, Serge Lama a gratifié le public térésien d’un spectacle d’un professionnalisme de classe internationale.
08:45 Publié dans 2000, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
28 janvier 1981 : Première au Palais des Congrès
08:31 Publié dans 1981, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)
28 Janvier 1995:Lara Fabian
Alors que Serge Lama est en concert depuis le 7 Janvier 1995 sur la scène du Palais des Congrès , ce 28 Janvier est un peu différent.
Le samedi 28 janvier 1995, le spectacle touche à sa fin. Quelques rappels et Serge revient chanter 'je suis malade' . Mais contrairement aux autres soirs Serge fait une présentation: "Aimer ce que jamais vous ne verrez 2 fois, c'est ce qui va se passer pour vous ce soir". Et il nous présente la chanteuse québécoise Lara Fabian qui est disque de platine au Québec avec "Je suis malade". En duo ils nous interprètent cette chanson qu'ils termineront sans micro l'un comme l'autre. L'ovation fût telle que Serge descendit dans la salle, trouva une place au milieu du public et invita Lara à rechanter la chanson pour lui.
Extrait en images
Extrait de frequenstar Lara Fabian 1 decembre 1998
Michel Morgan et Gérard Oury étaient présents.
Copy and WIN : http://bit.ly/copynwin
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07:17 Publié dans 1995, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lara fabian, serge lama, palais des congrès
28 janvier 2006 : Les Duos de l'impossible
Après une première participation le samedi 7 mai 2005, Serge Lama participe de nouveau sur TF1 à l'émission les "Les Duos de l'Impossible".
Au cours de cette émission, le Serge Lama d'aujourd'hui chante avec le Serge Lama de ses débuts "D'aventures en aventures".
Télé poche du 28 Janvier au 3 Février 2006
06:55 Publié dans 2006, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : serge lama