Le petit musée web de Serge Lama

01.02.2009

1 Février 1973: La république des Pyrenées

Concert annoncé au Casino Municipal de Pau

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14:17 Publié dans 1973, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)

1978: Vedettes du xx ème siècle

Ce petit livret de 63 pages paru aux éditions DELVILLE propose une biographie de Serge Lama de sa naissance à 1977.

Il est très richement illustré par de nombreuses photos en noir et blanc

couverture

dos du livret

13:22 Publié dans 1978, Ils parlent de Serge Lama, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)

Février 1987: Je ne suis pas parisienne.....

Marie Paule Belle dans cette autobiographie parue en Février 1987 consacrait quelques pages à son ami Serge Lama

photo D.R

12:31 Publié dans 1987, Ils parlent de Serge Lama | Lien permanent | Commentaires (0)

1er février 2000 La Revue (Canada)

Concert au théâtre du Vieux Terrebonne le 29 janvier 2000

Serge Lama au TVT: avec simplicité

Avec à la fois un grand professionnalisme et beaucoup de simplicité, la star de la chanson française a comblé le public qui remplissait la salle du Théâtre du Vieux-Terrebonne samedi dernier.

Philippe Pilette

Il salue la salle avec un "Bonsoir messieurs!" qui déclenche les rires, suivi d'un "Bonsoir mesdames!" qui soulève un tonnerre d'applaudissements: l'artiste connaît son public et celui-ci, en grande partie féminin, se laisse volontiers séduire. Serge Lama, qui a plus de trente ans de métier, sait ménager ses effets: quelques gestes bien posés, un regard appuyé vers des spectatrices des premiers rangs, une expression étudiée pour la finale d'une chanson et le public se lève pour l'applaudir.

Samedi soir, dans la petite salle du Théâtre du Vieux-Terrebonne qui lui rappelait ses premiers spectacles ("Je n'ai pas chanté dans une salle comme ça depuis mes débuts"), le chanteur a livré une performance à la hauteur de sa réputation. Dès les premières chansons, la salle était conquise. A peine le chanteur avait-il prononcé les premiers mots d'une chanson connue que les applaudissements fusaient dans la salle.

Avec beaucoup d'humour et de clins d'œil au public, Serge Lama a enchaîné grands succès et chansons nouvelles, s'adressant à l'auditoire entre les chansons et l'invitant à chanter avec lui "D'aventures en aventures". La joie du public était à son comble lorsque le chanteur a interprété "Tarzan est heureux", "Les femmes de Pigalle", "Superman" ou "Avec simplicité". Généreux, l'artiste qui a reçu plusieurs ovations debout est revenu sur scène pour quatre rappels.

Pour ce spectacle "intime", M. Lama était entouré de trois excellents musiciens qui, avec leurs multiples instruments (acoustiques et électroniques), produisaient des accompagnements très actuels. Le son impeccable et les éclairages somptueux étaient assurés par la propre équipe technique du chanteur.

Pendant l'entracte et à la sortie, la directrice du théâtre Suzanne Aubin a reçu de nombreux commentaires de spectateurs ravis qui l'ont remerciée d'avoir fait venir le célèbre chanteur à Terrebonne. Un autre beau succès pour la SODECT et l'équipe du Théâtre du Vieux-Terrebonne.

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Lama : " J'ai envie de m'amuser et de diversifier mes activités "

Quelques heures avant le début du spectacle de samedi, Serge Lama a rencontré La Revue pour une courte entrevue.

Philippe Pilette

Encore sous l'effet du décalage horaire et souffrant d'une bronchite, l'auteur de "Je suis malade" avouait n'être pas en très grande forme samedi soir. Serge Lama était arrivé à Montréal l'avant-veille, après une série de spectacles en France pendant le mois de janvier. La veille du spectacle à Terrebonne, il avait chanté à Ste-Thérèse, premier spectacle d'une tournée qui le conduira dans plus d'une trentaine de villes de la province.

La dernière fois qu'il était venu au Québec il y a trois ans, le chanteur avait présenté un spectacle de ses plus grandes chansons avec l'Orchestre symphonique de Québec. Il avait ensuite repris cette formule symphonique en France avec beaucoup de succès. "Après avoir chanté avec un orchestre symphonique, on fait quoi?" dit le chanteur. "J'ai fait le contraire: un truc plus minimaliste, plus intime. Les gens ont envie de ça. Et puis ça permet de faire des salles de plus petites dimensions, comme celle-ci", poursuit Serge Lama.

Abordant la question de la chanson francophone, M. Lama confie qu'il est toujours très bien reçu au Québec, où le français est bien vivant. "Nous ne sommes plus très nombreux en France à défendre la chanson française", affirme le chanteur qui déplore l'omniprésence de la musique anglo-saxonne sur les ondes des radios françaises. "Les postes de radio n'ont pas de quotas obligatoires comme au Québec et l'espace francophone diminue sans cesse", ajoute-t-il.

La tournée actuelle avec son spectacle acoustique se poursuivra pendant un an. Après, Serge Lama prévoit enregistrer un nouvel album. Il songe aussi à rejouer dans une comédie musicale, une expérience qu'il a bien aimée avec le spectacle "Napoléon" dans lequel il incarnait le rôle-titre et qui a été présenté devant plus d'un million de spectateurs de 1984 à 1988. "A mon âge (il a 56 ans), après avoir atteint le but que je m'étais fixé, j'ai envie de m'amuser et de diversifier mes activités", conclut le chanteur.

10:24 Publié dans 2000, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)

1 février 1997 : Le Figaro

Interview de Serge Lama avant sa participation dans l'émission Le Coeur au Show

Serge Lama ou l'anti-« Taratata »

Serge Lama est très en forme ces temps-ci. Est-ce son retour réussi, en 1994, après huit ans d'absence, son triomphe à l'Olympia l'année dernière ou la tournée qu'il vient d'achever qui l'ont réconforté ? Lui-même dit ne pas le savoir. Mais son regard pétillant et les rires francs qui l'accompagnent en disent long. L'ami Lama a repris du poil de la bête et va même se lancer dans une nouvelle aventure théâtrale, le spectacle musical « Titanic ».

Après une évocation de Georges Brassens et d'Eddy Mitchell, vous êtes le troisième chanteur français à venir se mettre le « cœur au show » dans l'émission de Patrick Sébastien. Pourquoi ?

Je devais bien ça à Patrick. Quand j'ai fait mon retour en 1994, il avait fait sur TF 1 une émission spéciale qui s'appelait « D'homme à homme ». Cette fois-ci, il n'a pas voulu refaire la même chose. Le principe est simple : des artistes déguisés vont venir sur scène interpréter quelques-unes de mes chansons. Michel Creton, transformé en Yves Montand, va chanter L'Algérie et Lagaf, en Charles Aznavour, interprète Dans ma garçonnière. Surprenant !

Que pensez-vous du « nouveau » Patrick Sébastien ?

Aimé ou détesté, c'est tout de même l'un des derniers amuseurs en télévision. En tout cas, c'est le seul avec Michel Drucker qui fasse encore de la vraie variété. Quand on me dit que les variétés sont mortes, ça m'agace. Ce sont les seules émissions qui font encore de l'audience actuellement. Bien que ces nouveaux types de divertissements se contentent de mettre en scène d'anciennes variétés.

Et le magazine « Taratata » ?

« Taratata » est une émission qui tourne autour de son nombril. On y voit toujours les mêmes artistes. Il est impensable par exemple qu'un Serge Lama puisse se mélanger avec le « ticket » Souchon-Cabrel, comme on dit maintenant. Pour réussir une émission à 20 h 50, il faut mélanger des artistes venus de tous les horizons : du jazz, du rock et de la variété populaire. On brasse tout cela et on obtient une grande émission qui met le cœur au chaud des téléspectateurs. Si on s'enferme dans des ghettos musicaux, si branchés soient-ils, on ne se retrouve qu'avec le nombril au chaud !

L'émission a pour sous-titre « L'ami Lama ». Pourquoi ?

Parce que Patrick et moi, nous sommes amis depuis vingt ans. Nous nous sommes rencontrés en 1977. Je l'avais emmené dans une tournée d'un an dans toute la France. Tous les soirs, nous faisions la bringue jusqu'à six heures du matin. Je me souviens aussi que nous jouions aux cartes ensemble. Il était d'une mauvaise foi extraordinaire. Pour nous déconcentrer, il alternait des imitations de Bourvil et de Louis de Funès.

Pour vous, qu'est-ce que l'amitié ?

L'amitié, c'est de l'amour qui dure. C'est une relation très forte qui s'éprouve et se vit surtout dans les moments difficiles. L'amitié, c'est être là dans les moments importants. Depuis trente ans, je considère que ma femme est ma meilleure amie. Bien sûr, il s'agit d'une amitié amoureuse, mais je crois que je peux lui dire tout ce que je ne pourrais confier à personne d'autre.

Et ce nouveau projet théâtral ?

Il y a un an, j'ai écrit et interprété une nouvelle chanson intitulée Titanic. Mais il m'est venu à l'idée d'en faire un spectacle musical. A mon sens, le naufrage du Titanic est le reflet de notre siècle. Celui du progrès, et en même temps, celui qui a vu deux guerres mondiales, l'Holocauste, le nazisme et le stalinisme. L'odyssée des trois jours de ce transatlantique est pour moi un miroir symbolique de la marche du siècle... avec un orchestre au milieu. J'imagine en ce moment, avec Didier Decoin, l'aventure de six personnages principaux qui voguent inéluctablement vers leur destin. Résultat dans deux ans...

Olivier DELCROIX

10:03 Publié dans 1997, La presse des années 1990 | Lien permanent | Commentaires (0)

1966: Lama auteur pour Téréza

Après un premier disque sorti l'an passé, Serge Lama écrit de nouveau des chansons pour Téréza qui sortiront dans deux 45 tours

Téréza connaitra le succès notemment avec la chanson de Lara. Cette année 1966 elle se produira à l'Olympia en dédiant le concert à son jeune ami Serge Lama qui venait d'avoir un grave accident de la route