13.10.2009
13 octobre 1984 : Jour de France
Le numéro du 13 au 19 octobre 1984 de Jour de France, Christine Gauthey signait 4 pages sur Serge Lama.
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13 octobre 1982 : Télé poche
06:50 Publié dans 1982, La presse des années 1980 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : serge lama
12.10.2009
12 octobre 1987 : TF1 13 H
Serge Lama est reçu à la fin du journal télévisé de 13 H, par Yves Mourousi et Marie-Laure Augry, la veille de son spectacle au Casino de Paris.
EXTRAIT AUDIO
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12 octobre 1987 : Le matin de Paris
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Octobre 1964:Rencontre avec Charles Aznavour
Serge Lama dès le début de sa carrière sera encouragé par Charles Aznavour qui lui donnera de précieux conseils.
"Souviens toi petit, une chanson commence à A et finit à Z"
Dans une interview quelques années plus tard Serge Lama racontait ceci:
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Octobre 1978:Carte discographie
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12 Octobre 2002:Le progrès
Un second article rédigé avant le concert à l’Intégral à Belley le 12 octobre
Serge Lama: "J'écris dans l'intemporel"
A soixante ans bientôt, Serge Lama fait fi du temps qui passe et son retour acoustique couronne une riche carrière dans la chanson « climatique ». Il est ce soir sur la scène de l'Intégral à Belley.
Inébranlable après quarante ans de carrière jalonnée de bonheurs mais aussi de drames, Serge Lama fait au travers de son nouvel album " Feuilles à feuilles " un retour remarquable et remarqué. Textes intimistes sur musiques acoustiques, une facture classique pour un auteur-interprète fidèle à une certaine tradition. Avant son passage bugiste ce soir dans la nouvelle salle de Belley, l'homme impérial de scène se livre à l'aube de ses soixante printemps.
Sexagénaire. " Comme disait Guitry, c'est quelqu'un qui a 50 et 10 ans Certains sont faits pour avoir 20 ans, moi c'est 40. Je les avais déjà jeune adolescent, avec une maturité très affirmée. J'écrivais des textes très adultes, qui ne sont jamais sortis".
Lignée. "J'ai été sous influence des grands, Barbara, Brel, Brassens Je n'étais pas novateur comme l'a été Gainsbourg que j'admirais. A l'époque, j'écoutais beaucoup la radio où tous les genres étaient mélangés. Mais mon père était chanteur de bel canto et je dévorais la poésie, tout et n'importe quoi. J'aime la langue de Voltaire, épicée de quelques mots d'argot. Mon style, c'est plutôt affaire de climat, comme chez Barbara par exemple".
Philosophie. "Mon terrible accident de voiture en 65 m'a délivré de beaucoup de complexes de jeunesse. La mort a touché celle que j'aimais mais ce qui est bénéfique, c'est que mes cicatrices m'ont donné une nouvelle humanité. Je me croyais invulnérable, j'ai relativisé en ne gardant que la volonté de réussir, avec une énergie incroyable. Mais mon esprit est vaincu de bouts de ferraille puisque mes parents sont décédés aussi d'un accident de voiture".
Acoustique. "Tout en écrivant mes textes, j'étais surtout un chanteur à voix puissante. Le fait de faire de la comédie (Napoléon), ça rend modeste car on est au service de plein de choses, d'autres gens. J'ai arrêté de chanter durant huit ans et à mon retour en 95, je ne chantais plus pareil, constatant que le chanteur des années 70 ne respectait pas toujours l'auteur. J'ai demandé aux musiciens de se mettre au diapason. Après l'expérience symphonique, j'ai souhaité revaloriser les chansons incontournables pour le public. Mon nouvel album est aussi le fruit de ce travail".
Inspiration. " J'ai toujours le besoin de prendre le stylo et de noircir des cahiers, sans censure, jusqu'au disque. L'auteur n'a pas beaucoup changé dans les thèmes qui le préoccupent ! Certaines nouvelles chansons pourraient être écrites il y a trente ans. Parfois, j'en sors une pondue il y a vingt ans sans que personne ne le remarque. Le temps n'existe pas chez moi, j'écris dans l'intemporel".
Désirs. "Avec l'âge, on acquiert surtout une totale liberté, permettant de travailler sans calcul ni compromis. Je vais concrétiser un désir le 11 février prochain par une grande fête à Bercy pour mon anniversaire. Sinon, j'aurais plaisir à ce qu’on me donne un beau rôle dans une pièce classique, mais en série limitée, car le théâtre prend trop la vie ! Je pense que c'est une erreur de vouloir remplir le temps de projets, car on risque de se précipiter".
Coups de cœur. " Mes repérages vont vers des chanteurs qui sont dans la tradition mais qui renouvellent le genre. Je pense à des gens comme Miossec, Dominique A, Arthur H. ou Thomas Fersen. Récemment, j'ai découvert une chanteuse qui s'appelle Robert ( !), une copine à Amélie Nothomb qui a une personnalité originale, entre Barbara et Mylène Farmer".
Proposés par MICHEL CLAVEL
18:11 Publié dans 2002, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
12 Octobre 2000:La dernière heure
Pour Serge Lama, tout est la faute à LouisXV!
PARIS A 14 heures, Serge Lama achevait son... petit-déjeuner: `Je ne me couche jamais avant 3 heures du matin. Ce sont des habitudes qui me sont venues à cause de mes années de cabaret et des nombreuses tournées que j'ai faites par la suite. C'est devenu mon rythme normal.´
A propos de tournées, on a l'impression que vous ne faites plus que cela
"C'est un peu vrai. Depuis que je suis revenu à la chanson, en 1995, j'ai donné beaucoup de galas. En 1998, lorsque nous avons tourné avec l'orchestre symphonique, on a fait plus de cent dates, ce qui était énorme compte tenu de ce qu'on déplaçait un truc très gros. Maintenant, je tourne avec une formule plus intimiste, plus minimaliste. Ce qui nous permet d'aller dans des villes où je n'avais plus chanté depuis longtemps. Dès lors, il y a beaucoup plus de galas à mon agenda."
Avez-vous le sentiment que la langue française s'éteint?
"Elle se rétrécit. Je pense que la langue française a gardé ses racines, mais elle est relativement malade. C'est la faute à LouisXV qui a eu la mauvaise idée de ne pas gagner les bonnes batailles pour l'Amérique. Et puis à Napoléon qui a revendu la Louisiane pour deux francs et six sous. C'est là que s'est joué l'avenir de la langue française. Evidemment, on ne pouvait pas savoir que l'Amérique allait devenir ce qu'elle est. Si un tiers des Américains avait parlé le français, les choses seraient différentes..."
Ça vous laisse nostalgique?
"Je fais partie de ceux qui écrivent vraiment. La langue française, en quelque sorte, est mon instrument de travail. En cette époque d'Internet, je constate que cette langue est réduite au strict minimum. De grands romans, comme ceux de Simenon, ont été écrits avec seulement 300 mots. Mais beaucoup de jeunes ne les ont même plus, ces 300 mots. Prenez mon cas. Il n'y a pas si longtemps, j'étais considéré comme un chanteur populaire. Aujourd'hui, on m'a monté d'un cran: je suis devenu presque un intellectuel. La seule chose qui est vraie, c'est que, quelles que soient les couleurs de mes chansons, même pour celles qui sont rigolotes, j'ai toujours essayé d'écrire bien. Aujourd'hui, j'entends beaucoup de chansons qui ont énormément de succès, avec de belles musiques, une idée pas mal au milieu, mais rien de consistant autour. J'avoue que cela m'agace un peu. Car je pense que la même chanson, écrite correctement, proprement, aurait eu le même succès. Et ce n'est pas une question de style. Cabrel, qui écrit sur des musiques country, comme il les aime, a le grand mérite d'écrire des textes dans un français formidable."
Un fils de 19 ans
Votre fils fait partie de cette génération Internet...
"Oui, il a 19 ans! Lui, il m'a vu travailler. Le vendredi soir, lorsqu'il rentrait de pension, il avait droit à Pivot. Il n'empêche qu'il n'a pas la culture que j'avais à son âge. J'étais un très mauvais élève, mais premier en français. Et je lisais énormément. J'ai tout essayé pour attirer mon fils à la lecture. Sa mère aussi. Mais face à un cheval rétif, il n'y a rien à faire Par contre, lui, il n'est pas trop mauvais en math. Et sur le plan musical, il écoute un peu de tout: techno, rap et même Johnny Hallyday. J'ai été très surpris quand il m'a demandé de lui acheter son dernier album. Il m'a aussi obligé à entendre de la techno. Mon oreille n'est pas trop habituée. Mais je crois qu'un certain équilibre est occupé à s'installer, chez Madonna, par exemple, entre l'apport des techniques modernes et les musiques acoustiques. C'est intéressant."
Vous-même, vous pratiquez Internet?
"Ma femme oui. Les gens autour de moi. Mais moi, je ne parviens pas à m'en sortir"
Propos recueillis par Eddy Przybylski
15:42 Publié dans 2000, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
12 Octobre 1998:Soirée à Bobino au profit de la fondation pour la recherche médicale
Le 12 Octobre 1998, des artistes c'étaient réunis sur la scène de Bobino , dont Francis Cabrel, Patrick Bruel,, Catherine Lara , Serge Lama ,Line renaud ,Obispo,Nicoletta,Veronique Sanson,Nicole Croisille, Alice Dona ....afin de récolter des fonds au profit de la fondation pour la recherche médicale.
12:44 Publié dans 1998, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0)
12 octobre 1985 : Chic Chaud – RFI
Emission diffusée chaque samedi de 15 h à 16 h. Le 12 octobre 1985, Serge Lama est interviewé par Daniel Schick.
EXTRAIT
10:52 Publié dans 1985, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)