15.12.2009
15 décembre 2002 Cité des Congrès - Nantes
08:54 Publié dans 2002, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
15 Décembre 1998: Tout un programme
08:10 Publié dans 1998, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
15 Decembre 2009: SMS
Avant le palais des congrès..
C'est la dernière fois je le sais
Que je chante au Palais des congrès
Il deviendra trop grand pour moi
Comme Versailles pour les rois
J'y ferai les cents pas le temps
De savoir que j'ai plus trente ans
C'est la dernière fois je le sens
Dans mon coeur, dans mon corps, dans mon sang
Nous devons tous bon gré mal gré
Quitter nos palais des congrès
En attendant on va tenter
D'être ce que l'on a été
Et c'est toujours le même amour
Qui là-bas vous dira bonjour
S.L.
15-12-2009
07:42 Publié dans 2009, SMS- Mots de Serge | Lien permanent | Commentaires (0)
14.12.2009
14 Décembre 1996:Dictée Bernard Pivot
Télé 7 jours du 14 décembre 1996
Serge Lama était invité à remettre les prix des lauréats de la dictée 1996.
Voici le texte :
Les coulisses de la superstition.
L'opéra et le théâtre, quelque avant-gardistes qu'ils se soient toujours piqués d'être, restent des repaires de traditionalistes, ne serait-ce que par les superstitions, souvent ambiguës, qu'y perpétuent divettes et prima donna. Par exemple, on se gardera d'y introduire des oeillets ou des phlox, des miroirs ou des cordes épissées, des parapluies ou des nourritures comme de simples pans-bagnats. Combien d'acteurs risque-tout a-t-on vus qui, ayant osé manger des endives ou des dents-de-lion en salade avant d'entrer en scène, avaient bredouillé et s'en étaient mordu les doigts après se les être léchés!
(Fin de la dictée cadets et juniors.)
Au diable la varice! s'écriait cette très vieille Athalie qui grimaçait sous la douleur. Elle devait tous ses grands rôles, prétendait-elle, à de curieuses tisanes de plantes porte-bonheur: l'aigremoine, la sarriette, la cynoglosse et la joubarbe utilisées inconsidérément, ou à des genêts, des gaulthéries et des hyacinthes pendus dans sa loge. Enfin, aux questions sur son oeil demeuré de braise, elle avançait toujours la raiponce. Quoiqu'elle aimât la chlorophylle, elle fuyait le vert. Elle alla même jusqu'à crânement exiger de blancs-becs qui prétendaient à l'empyrée où se sont installés Maeterlinck, Genet et Beckett que fussent retirés de leurs oeuvres des mots comme vertugadin, verroterie, vermée ou vertu. La vertu, d'ailleurs, elle s'en était toujours ri et défiée.
18:57 Publié dans 1996, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
14 décembre 1994 : rien à cirer – France Inter
Serge Lama est l’invité de Laurent Ruquier dans l’émission Rien à Cirer du 14 décembre 1994. Il interprète, en direct, 2 chansons : J’ai refait l’amour avec elle et Femmes, femmes, femmes.
EXTRAITS
14:52 Publié dans 1994, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)
14 décembre 2001 : Un jour en France
10:29 Publié dans 2001, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
14 décembre 1969 : Québec-presse
09:50 Publié dans 1969, La presse des années 1960 | Lien permanent | Commentaires (0)
14 décembre 1969 : Zoom - TV radio-canada
09:32 Publié dans 1969, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
14 décembre 1981 au 1er janvier 1982 – Maurice de Paris – France Inter
08:58 Publié dans 1981, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)
14 décembre 1984 : accident tragique des parents de Serge Lama
Le 14 décembre 1984, les parents de Serge sont victimes d'un accident de la route. Son père décède sur le coup, sa mère vivra, dans le coma, un sursis de trois mois. « Il l'apprend quelques instants avant d'entrer en scène et se jette sous les projecteurs à corps perdu, raconte Eddy Marouani. Écris-moi, Joséphine, que je t'aime tant, que je t'aime trop est chanté comme un oratorio à ses parents, comme s'il pouvait les retenir. » (10) « Je l'aurais appris plus tôt, je m'effondrais », avouera Lama. « Ma seule fierté, ajoutera-t-il, c'est que mon père a eu réellement un enterrement de saltimbanque. On n'a pas enterré le représentant en boissons qu'il a été pendant trente ans, mais l'artiste qu'il fut jusqu'à trente-trois ans. »
06:50 Publié dans 1984, Un jour dans la vie de Serge Lama | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : serge lama