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24.05.2017

24 Mai 2019:Sud radio

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Tonino Benacquista et Serge Lama étaient les invités d'André Bercoff et Céline Alonzon dans le cadre "Des déjeuners des Deux Magots".

L'émission a été  diffusée ce vendredi 24 mai de 12 h 00 à 13 h 00 sur Sud Radio.

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Serge Lama : "Les œuvres de création sont toutes plus ou moins autobiographiques"

Serge Lama qui célèbre ses 55 ans de carrière et prépare actuellement un nouvel album, est l'invité de Céline Alonzo et André Bercoff, le 24 mai 2019. Ses chansons sont-elles toutes autobiographiques ? "Beaucoup. Je pense que les œuvres de création sont toutes plus ou moins autobiographiques. On met toujours quelque chose de soi dans une chanson comme dans un livre." Concernant La Glycine, qui évoque un amour d'enfance, il raconte : "Ma cousine m'a été enlevée très tôt, si je puis dire. Elle avait 3 ans et moi, cinq, et je me souviens de ce rapport ambigu que l'on avait à cette époque-là et qui a été arraché par les grands, par les parents. Je me suis servi de cet appui-là pour écrire cette chanson. Chanson qui n'était pas pour moi au départ, mais pour Gilles Dreu".

 

"Je n'ai pas de style, je m'adapte, explique le chanteur. Alain Souchon a un style. Moi, c'est la chanson qui me dicte mon style. Au fur et à mesure que j'écris, elle me dit où elle veut aller. Et à chaque chanson, c'est différent : le style, ça vous enferme !". André Bercoff l'interroge ensuite sur les Brassens, Brel, Ferré et autres Gainsbourg. Lui semble avoir été ailleurs. Avait-il de l'amertume ? "Non, pas de l'amertume. On était à la sortie d'une génération gagnante, une génération de génies. Vous arrivez derrière, Lama et Sardou, vous faites quoi ? Julien Clerc est parvenu à se mettre en marge de tout ça et moi, j'ai suivi le chemin que je vous ai indiqué, c'est-à-dire ce chemin chanson par chanson, sujet par sujet. Et au bout du compte, Dieu reconnaîtra les siens. Le public reconnaît les siens et pour nous, le public, c'est Dieu. Et il reconnaît les siens car, au bout de ces innombrables chansons, tout se rencontre."

 

Tonino Benacquista : "Les chansons ont un pouvoir inouï"

Est-ce la durée aussi qui fait sa force ? Serge Lama estime qu'il y a une part de chance. Il explique : "Il y a une bataille continuelle et on aime notre métier. Tant qu'on aime son métier on va se battre et on trouvera de nouveau une occasion de triompher quelque part. Je suis passé par tellement de choses. Je suis passé par Napoléon qui a été un triomphe mais qui sort complètement de mon domaine. En plus, je ne suis pas fan du tout de Napoléon : ça m'est tombé dessus parce que je voulais faire Le Châtelet. Et c'est devant le théâtre que je me suis dit que je ferais bien Napoléon. J'ai demandé à un ami historien un livre facile à lire sur Napoléon Bonaparte sur lequel je ne connaissais strictement rien". Cette pièce, au final, s'est jouée à Marigny puis plus tard, au Châtelet. Par la suite, Serge Lama passe à la symphonie, "une évidence pour le public", dit-il. Et André Bercoff salue le fait que l'interprète ne reste pas dans une boîte. "Je suis un voyageur", conclut Serge Lama. 

Tonino Benacquista, auteur et scénariste à succès, lui non plus ne rentre pas dans une case. Après la série noire, s'est-il dit qu'il n'y avait plus rien ? "Je crois que c'était Topor qui disait : 'Il n'y a que le roman noir, tout le reste est littérature'. Raconter des histoires avec des intrigues, au bout d'un moment, ça m'a un peu limité. J'avais envie de raconter des histoires sans meurtre, sans détective privé." L'écrivain qui publie le 13 juin 2019, quatre romans noirs en Folio Policier, parle de son voisin de table, Serge Lama : "J'envie cette économie de mots qu'il y a dans le travail du parolier. J'ai toujours envié ça. Le seul truc qui me manquera, c'est d'écrire des paroles de chansons. Il y a quelque chose qui est d'un pouvoir inouï. On peut écrire des romans avec des milliers et des milliards de mots, il y a toujours quelque chose de fascinant à se promener dans la rue et, à propos de rien, vous avez envie de dire : 'Et d'aventure en aventure'. Il y a un air qui vous prend avec des paroles...". Et il conclut en saluant le pouvoir de la chanson : "Il n'y a pas plus direct pour aller vers l'inconscient collectif".

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EXTRAIT

 

Petit mot de Serge à propos de cet enregistrement :

 

[LE MESSAGE DE SERGE]

Une soirée au restaurant « Les Deux Magots », bien arrosée, suite à l’enregistrement d’une émission pour Sud Radio où j’ai retrouvé quelques amis, dont André Bercoff et Tonino Benacquista qui est un ami depuis longtemps. Et hier soir je m’en suis fait d’autres. Pour clôturer la soirée, on m’a demandé de chanter une chanson de mon choix. J’ai choisi « Une île » et encore une fois, je me retrouve entouré de femmes qui chantent avec moi en choristes.
Ça a été un moment délicieux que je vous partage.

Je vous embrasse

Serge

Voir la vidéo sur Facebook ICI

13.04.2017

13 Avril 2019: France Culture Jacques Brel

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Le 13 Avril à 15h, France Culture propose une émission sur Jacques Brel dans la série UNE VIE UNE OEUVRE.

Serge Lama fait parti des intervenants .

 

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PHOTO D.R.

LIEN VERS LE SITE DE L'EMISSION ET PODCAST

 

"Pour moi, Jacques Brel est l’interprète qui m’a le plus fasciné. Quand il a créé Amsterdam à l’Olympia en 1964, je n’ai jamais rien revu de tel après. Cette puissance, cette force, cette détermination, cette volonté de brûler devant nous. Le public ne savait plus où il était". Serge Lama

 

 

 

14.02.2017

14 Février 2019: Rénée Lebas

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Emission de France Culture sur Renée Lebas, chanteuse puis productrice de jeunes talents dont Serge Lama qu'elle repéra à l'écluse. Elle lui permit d'enregistrer son premier 45 tours .

 

PODCAST

 

01.10.2016

1er octobre 2018 _ Hommage à Charles Aznavour - France Info

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Serge Lama témoigne dans l'hommage rendu à Charles Aznavour le 1er octobre 2018.

 

EXTRAIT

 

 

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franceinfo : Comment voyait-on Charles Aznavour ?

Serge Lama : Charles Aznavour est d'abord considéré comme un auteur, c'est ce qu'il voulait être, et il l'était. Il a été extrêmement humilié parce que c'était toujours Ferrat, Brassens. On ne parlait jamais d'Aznavour, qu'on voyait comme un chanteur qui chantait des chansons d'amour. Mais il a chanté des chefs-d'œuvre sur de multiples sujets. À mon sens, c'est le plus grand auteur des 50 ou des 60 dernières années. Avec Charles, on perd le père de la chanson.

D'où lui venait cette force ?

Alors que je lui disais "nous sommes des anciens pauvres", il m'avait dit "non, je suis toujours pauvre". Charles se vivait métaphysiquement, psychologiquement comme un pauvre. Toute sa vie, se vivant comme un pauvre, il s'est battu comme un pauvre. Tout le temps, il a voulu conquérir davantage parce que cette pauvreté, il l'avait en lui. Cette phrase explique beaucoup de choses. C'est un pauvre qui se bat pour nourrir sa famille et il a ça en lui d'une façon viscérale.

Charles Aznavour prévoyait-il tout à l'avance ?

Au départ, il devait travailler un peu dans sa tête, chez lui, et je pense que sur scène, il inventait la mise en scène petit à petit, au fil des jours en chantant la chanson. La façon de chanter Comme ils disent avec cette main qui est en haut, c'est absolument génial. Il n'y a pas d'ambiguïté à partir de ce moment-là, il y a juste des petits gestes de rien du tout. C'est merveilleux d'arriver à synthétiser comme ça, un état.

Quelle est votre chanson préférée de Charles Aznavour ?

On est toujours en extase devant la chanson Avec le temps, mais je trouve que ce que dit Charles dans Ma jeunesse est aussi important que ce qui dit Ferré dans Avec le temps. Donc, je mets à égalité ces deux chansons. Nougaro disait qu'il était écrivain de chansons. S'il y en a bien un qui est un écrivain de chansons c'est bien Aznavour. C'était le Dumas de la chanson française.

Il aurait dû être reconnu par l'Académie française ?

Il manque de toute façon un grand auteur-chanteur à l'Académie française, c'est une certitude. Je pense que si quelqu'un avait dû être élu, c'était bien Charles. Il aurait été tellement heureux. Cette reconnaissance-là, il courait après, même à l'âge qu'il avait. Il courait après une reconnaissance qu'il n'avait jamais eue au fond

 

30.06.2016

30 juin au 14 juillet 2018 – Salut, ici André Roy – Radio vm

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Dans l’émission Salut, ici André Roy, Qui chante au bout du fil ? vous laisse entrer sans indiscrétion dans de belles conversations téléphoniques, en confidences et en musique, avec de grands artistes.

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Du 30 juin au 14 juillet 2018, Radio vm diffuse la conversation téléphonique avec la compositrice et interprète Marie-Paule Belle.

La chanteuse y évoque sa rencontre avec Serge Lama.

 

EXTRAITS

 

 

 

25.02.2016

25 Février et 4 Mars 2018: Tour de chant France Musique

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Deux semaines de suite France musique propose de revenir sur les 10 premières années de la carrière de Serge Lama dans l'émission "Tour de chant" de Martin Pénet.

Diffusion les dimanches - 25 Février 2018 à 23h30

                   -  4 Mars 2018

 

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Avec sa voix bien posée de baryton et sa plume ciselée, de l’humour à la gravité, Serge Lama vient de fêter ses 75 ans à l’Olympia. Il fait partie du club assez restreint des chanteurs qui ont dépassé 50 ans de carrière en tant que vedette.

Des cabarets rive gauche aux music-halls, il a connu une ascension rapide, malgré son terrible accident survenu en 1965, un an et demi après ses débuts sur scène.
Très populaire depuis la fin des années 60, il a réussi à s’imposer dans le monde du show-business grâce à une force de conviction peu commune.
« Tour de chant » va s’attacher cette semaine et la suivante à retracer les dix premières années de son parcours exemplaire, grâce notamment aux archives méconnues de l’INA. Les débuts d’un artiste sont en effet le moment crucial où se joue généralement toute la suite. Ils permettent de mieux cerner la personnalité et d’éclairer les raisons d’un succès. Surtout lorsque certaines de ses chansons sont autobiographique.

 

Emission du 28 Février 2018

Émission du 4 Mars 2018

 

 

14.02.2016

14 février 2018 : Passion classique Pierre Arditi – radio classique

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Les invités d’Olivier Bellamy ont tous un point commun : la passion de la musique. Dans l'émission Passion classique, ils partagent les mélodies qui ont marqué leur existence, et dévoilent, à l’écoute des airs entendus, une part intime et souvent méconnue de leur personnalité.

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Le 14 février 2018 Pierre Arditi est l’invité de Passion classique. Il propose comme madeleines musicales, la chanson Celui de Marie-Paule Belle et Une île de Serge Lama à la suite de sa présence au concert de l’Olympia du 11 février 2018.

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02.02.2016

2 février 2018: L’invité mystère – Les grosses têtes de RTL

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Le 2 février 2018, autour de Laurent Ruquier étaient présents : Roselyne Bachelot, Caroline Diament, François Rollin, Laurent Baffie, Elie Semoun et Steevy Boulay.

 

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REPLAY DE LA SEQUENCE L'INVITE MYSTERE

 

24.01.2016

24 Janvier 2018: France bleue

Serge Lama était en direct sur France Bleue ce 24 Janvier

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REPLAY

15.12.2015

15 décembre 2017 : L’histoire du jour - France bleu azur

Un hommage est rendu par Michel Cardoze sur France Bleu à Monsieur Georges Chauvier (père de Serge Lama) décédé le 14 décembre 1984 des suites d'un accident de la route.

 

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PODCAST

 

Un au revoir ce n'est pas un adieu, enregistrement de 1951 (musique de Jack Ledru, paroles de René Rouzaud) chanté par Georges Chauvier.