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17.05.2009

17 mai 1997 : Qui est qui ? – France 2

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Qui est qui ? est une émission de jeu quotidienne présentée par Marie-Ange Nardi et diffusée à 18 h 40 sur France 2.

 

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Télé 7 jours du 17 mai 1997

 

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Serge Lama fait une apparition le 17 mai 1997, en fin d’émission, en tant que parrain de l’association VML (vaincre les maladies lysosomal).

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EXTRAIT AUDIO

 

06.05.2009

6 Mai 1997: Concert foire de Bordeaux

La foire internationale de Bordeaux à lieu tous les ans au parc des expositions de Bordeaux-Lac.

 Elle accueille de très nombreux exposants et des concerts. En 1997, on pouvait écouter Serge Lama.

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Critique du spectacle dans le journal Sud-Ouest du 7 mai

Lama, la fierté blessée

FOIRE INTERNATIONALE DE BORDEAUX

Hier, à Bordeaux-Lac, devant 900 personnes, Serge Lama grâce à un récital qui mêlait grands succès et chansons plus intimistes à son humour particulier.

Espace difficile que celui de la salle de spectacles de la Foire-Exposition, qui peut en effet contenir jusqu'à 3 000 personnes. Pour Souchon l'an passé c'était OK, mais Birkin, la veille, devant 800 personnes clairsemées, et Lama hier ont souffert de ces conditions. D'autant que la sonorisation du micro sans fil n'arrivait peut-être qu'à supprimer certains souffles. A un moment du spectacle, Lama a coupé d'ailleurs un mot d'humour sur la question. Après avoir montré qu'il se caillait, il avouera : « Je sue devant, je sèche derrière. On va essayer de se réchauffer ensemble. »

Il commence à chanter sans se montrer et arrive en chemise et costume noirs. Dès le premier morceau on retient tous ses « pas attaché d'importance à ce que les autres pensaient », « j'ai fait ce que j'ai voulu ». Ce dernier vers nuancé d'un « à peu près », mimé. D'ailleurs beaucoup de son expression passe par les mimiques du visage, ses manières de fixer la salle, de la toiser hiératiquement et de froncer les sourcils.

Entouré de trois joueurs de claviers, piano, synthétiseur et tout venant pour faire orchestre, ainsi que d'un guitariste, Lama se retrouve souvent à jouer d'un cercle de lumière. Il présente son fidèle Yves Gilbert, qui l'accompagne et lui compose des musiques depuis plus de trente ans. Les mains jointes, planté devant le micro, il interprète une scène de la vie de couple, enchaîne images sur images. Ce qui est d'ailleurs l'une de ses techniques d'écriture.

CHRONIQUES RELATIONNELLES

« Ne t'en fais pas » comme plus tard « les Petites Femmes de Pigalle » servent à rythmer et à relancer le répertoire, partagé entre chansons plus lentes et succès populaires. Ses chansons sont souvent des chroniques relationnelles, qu'il s'agit d'amitié imposée, de « vaincus passionnels » ou d'aventures féminines.

Lama distille ainsi une sorte de grandiloquence blessée, évoquant le sordide de certains jours et autres reliquats d'amertume, avec des ambiances musicales graves, soulignées d'une nappe synthétique. Ou alors c'est une démonstration du commentaire faire de la variété entraînante, pour « J'ai refait l'amour avec elle », déclenché sobrement et mis en œuvre massacré, pour ensuite se transformer. Par la grâce d'un arrangement tonique, il arrive à lui conférer tout son potentiel populaire. Sans oublier au passage de casser, non sans auto-ironie, une collègue : « On dirait Liane Foly, avant son lifting ! »

Et Lama se moque et rit de ses vannes, suivi par la salle. Qu'il fera chanter durant le set, « Je t'aime à la folie ». Car l'artiste sait se montrer communicatif avec les siens, il s'adresse dans un français qui respecte la concordance des temps ; et lui fait dire : « Je suis d'un temps où le subjonctif était impératif... Et l'avenir pas un conditionnel ! »

PATRICK SCARZELLO

 

26.04.2009

26 avril 1997 : Le Progrès - Lyon

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Le journal Le Progrès présente les projets de Serge Lama avant le concert à la salle des Marinières de Porcieu-Amblagnieu le 26 avril 1997

 

Serge Lama : en attendant le " Titanic "...

De retour du Québec, Serge Lama repart en tournée en France avec un tour de chant composé des titres de son dernier CD, " Lama l'ami ".

Il sera samedi à Porcieu-Amblagnieu

De lui, on retient un rire tonitruant, des chansons tristes comme " Une île ", " D'aventures en aventures ", ou encore " Les Ballons rouges ", des rengaines comme " Les petites femmes de Pigalle ", ou " Superman ", une comédie musicale : " Napoléon ", une apparition à la télévision dans le rôle d'un commissaire de police, le parrainage d'un Téléthon. Son actualité, c'est une nouvelle tournée de vingt-cinq galas qui fera escale samedi 26 avril à Porcieu-Amblagnieu.

"Je ne chante que trois ou quatre titres nouveaux" explique Serge Lama, " passé 45 ans, le public préfère les chansons classiques et il est fastidieux pour lui d'ingurgiter de nouveaux textes. Curieusement, ajoute-t-il, " ce sont mes chansons marrantes qui sont d'abord devenues des tubes "

"La chanson n'est pas un art mineur"

Bien qu'il reconnaisse "avoir ramé pour monter Napoléon», Serge Lama a un nouveau projet de comédie musicale : "je travaille sur un spectacle autour du naufrage du Titanic. Pour moi, ce bateau évoque le XXe siècle, une époque qui n'a pas été prudente.

Le Titanic est une île noire qui représente notre société ". Pour mener à bien ce projet, il dévore des livres et travaille en collaboration avec Didier Decoin dont l'ouvrage " La femme de chambre du Titanic " l'a un peu inspiré : " je sais écrire des chansons mais j'ai besoin de l'aide d'un écrivain pour construire le scénario d'une comédie musicale"

Côté télévision, il se dit prêt à renouveler l'expérience qu'il a eu avec le rôle d'un commissaire de police : " mon rêve, ce serait de tourner des téléfilms indépendants, de bonnes histoires du niveau de " Julie Lescaut " ou de " L'instit " . Et le cinéma ? " Je n'ai pas de proposition mais j'aimerais bien. "

Parrain du téléthon il y a deux ans, il a été " touché par la détresse des parents, leur calvaire. Les enfants sont à l'intérieur de leur handicap, il leur appartient, mais la lucidité des parents me fait de la peine. "

Début mars, Serge Lama a été fait officier des Arts et des Lettres : " c'est une décoration importante, même si j'aurais préféré la Légion d'Honneur instituée par Napoléon ! Mais ce qui me touche le plus, c'est le public qui vient à mes galas et qui achète mes disques. Cela dit, le fait qu'à travers moi, la chanson soit distinguée me flatte et me fait plaisir.

La chanson n'est pas un art mineur, ce n'est pas que de la musique, c'est l'art du XXe siècle. J'écoute Brassens, Cabrel, Leclerc, Brel ou Gainsbourg pour s'en convaincre. Les chansons, c'est important, elles jalonnent la vie des gens, les souvenirs heureux comme les moments tristes".

Une belle définition à laquelle on ne peut qu'adhérer...

Françoise FAVRE

 

Critique du concert donné à la salle des Marinières à Porcieu-Amblagnieu le 26 avril

 

Serge Lama en concert à Porcieu : le public " l'aime à la folie ! "

"Voilà ce que c'est d'être star !": Serge Lama, en concert à Porcieu samedi soir a drainé le même public de fidèles, de fans, qu'il draine depuis des années.

La belle salle des Marinières, flambant neuve, a fait le plein... et a vibré comme l'Olympia, avec le même récital : ce récital qui a du succès. Les gens connaissent les chansons, les attendent, les fredonnent, les frappent dans les mains, les scandent.

Il a du succès car il est complet : les deux heures du spectacle s'écoulent tout en alternance : dès l'ouverture avec "Les ballons rouges", "Le 15 juillet à 5 heures", Serge Lama en costume noir, dans un éclairage tamisé, est attendu, applaudi. Et tout s'enchaîne avec la présentation de l'orchestre, et "L'Amitié" une histoire d'hommes avec sa ligne conductrice du concert : ce qui est faux, ce qui est vrai.

Le sentimental laisse la place au dynamique et puis revient : Lama touchant avec "La fiancée", "La neige", "L'enfant au piano", "Je te partage"... Lama comique avec "Les petites femmes", Lama sentimental avec "L'Algérie", "La chanteuse a 20 as", "Mon île", Lama interrogeant avec "Les saumons".

Et son spectacle est entrecoupé de grands éclats de rire, de conversations avec le public, de poignées de main lorsqu'il descend de scène, vient dans la salle, en chantant "Je suis un homme".

Il termine sans micro "Je suis malade". Le public, tout entier, est debout... et le rappelle "Voilà ce que c'est d'être star".

Les deux heures de spectacle se poursuivent par les dédicaces... pendant près d'une heure tandis que peu à peu, la salle se vide, le matériel se range, les chaises s'empilent.

Et chacun repart avec le sourire et le souvenir merveilleux d'un homme très communicatif, chaleureux, qui a su sensibiliser le public, faire passer des messages... et une nouvelle fois, faire apprécier son talent.

 

06.03.2009

6 Mars 1997: Le courrier Picard

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LIRE

04.03.2009

4 mars 1997 : Officier des arts et des lettres

Le 4 mars 1997, Serge Lama est nommé officier des arts et des lettres par le Ministre de la Culture, Philippe DOUSTE BLAZI.
 

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Photos et article La Fronde N°59 été 1997

 

 

03.03.2009

3 au 6 mars 1997 : Bonjour, bonjour les hirondelles – France Inter

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Alain Poulanges est un amoureux et un spécialiste de la chanson française. Il interview Serge Lama pour son émission Bonjour, bonjour les hirondelles qu'il anime avec Noëlle Breham. L'interview est diffusée en 4 parties du 3 au 6 mars 1997.

 

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POUR ECOUTER

 

15.02.2009

15 Février 1997: La fureur spéciale Saint Valentin

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Dans l'émission de karaoké LA FUREUR animée par Arthur, Serge Lama chantait

"Les petites femmes de Pigalle"

et " Je suis malade"

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Télé Star du 15 au 21 Février 1997

 

01.02.2009

1 Février 1997: Le coeur au show

LE COEUR AU SHOW

Emission de Patrick Sébastien consacrée à Serge Lama

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Télé poche du 1er au 7 février 1997

 

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Télé 7 jours du 1er février 1997

 

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LIRE

Et puis on s'aperçoit

 

 

Je te partage

 

 

Très belle chanson de Francis Cabrel

 INTERVIEW

1 Février 1997: Le nouvel observateur

Article paru dans le nouvel observateur, suite au passage de Serge Lama dans l'émission de Patrick Sébastien  'Le coeur au show'

 

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LIRE

1 février 1997 : Le Figaro

Interview de Serge Lama avant sa participation dans l'émission Le Coeur au Show

 

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Serge Lama ou l'anti-« Taratata »

Serge Lama est très en forme ces temps-ci. Est-ce son retour réussi, en 1994, après huit ans d'absence, son triomphe à l'Olympia l'année dernière ou la tournée qu'il vient d'achever qui l'ont réconforté ? Lui-même dit ne pas le savoir. Mais son regard pétillant et les rires francs qui l'accompagnent en disent long. L'ami Lama a repris du poil de la bête et va même se lancer dans une nouvelle aventure théâtrale, le spectacle musical « Titanic ».

Après une évocation de Georges Brassens et d'Eddy Mitchell, vous êtes le troisième chanteur français à venir se mettre le « cœur au show » dans l'émission de Patrick Sébastien. Pourquoi ?

Je devais bien ça à Patrick. Quand j'ai fait mon retour en 1994, il avait fait sur TF 1 une émission spéciale qui s'appelait « D'homme à homme ». Cette fois-ci, il n'a pas voulu refaire la même chose. Le principe est simple : des artistes déguisés vont venir sur scène interpréter quelques-unes de mes chansons. Michel Creton, transformé en Yves Montand, va chanter L'Algérie et Lagaf, en Charles Aznavour, interprète Dans ma garçonnière. Surprenant !

Que pensez-vous du « nouveau » Patrick Sébastien ?

Aimé ou détesté, c'est tout de même l'un des derniers amuseurs en télévision. En tout cas, c'est le seul avec Michel Drucker qui fasse encore de la vraie variété. Quand on me dit que les variétés sont mortes, ça m'agace. Ce sont les seules émissions qui font encore de l'audience actuellement. Bien que ces nouveaux types de divertissements se contentent de mettre en scène d'anciennes variétés.

Et le magazine « Taratata » ?

« Taratata » est une émission qui tourne autour de son nombril. On y voit toujours les mêmes artistes. Il est impensable par exemple qu'un Serge Lama puisse se mélanger avec le « ticket » Souchon-Cabrel, comme on dit maintenant. Pour réussir une émission à 20 h 50, il faut mélanger des artistes venus de tous les horizons : du jazz, du rock et de la variété populaire. On brasse tout cela et on obtient une grande émission qui met le cœur au chaud des téléspectateurs. Si on s'enferme dans des ghettos musicaux, si branchés soient-ils, on ne se retrouve qu'avec le nombril au chaud !

L'émission a pour sous-titre « L'ami Lama ». Pourquoi ?

Parce que Patrick et moi, nous sommes amis depuis vingt ans. Nous nous sommes rencontrés en 1977. Je l'avais emmené dans une tournée d'un an dans toute la France. Tous les soirs, nous faisions la bringue jusqu'à six heures du matin. Je me souviens aussi que nous jouions aux cartes ensemble. Il était d'une mauvaise foi extraordinaire. Pour nous déconcentrer, il alternait des imitations de Bourvil et de Louis de Funès.

Pour vous, qu'est-ce que l'amitié ?

L'amitié, c'est de l'amour qui dure. C'est une relation très forte qui s'éprouve et se vit surtout dans les moments difficiles. L'amitié, c'est être là dans les moments importants. Depuis trente ans, je considère que ma femme est ma meilleure amie. Bien sûr, il s'agit d'une amitié amoureuse, mais je crois que je peux lui dire tout ce que je ne pourrais confier à personne d'autre.

Et ce nouveau projet théâtral ?

Il y a un an, j'ai écrit et interprété une nouvelle chanson intitulée Titanic. Mais il m'est venu à l'idée d'en faire un spectacle musical. A mon sens, le naufrage du Titanic est le reflet de notre siècle. Celui du progrès, et en même temps, celui qui a vu deux guerres mondiales, l'Holocauste, le nazisme et le stalinisme. L'odyssée des trois jours de ce transatlantique est pour moi un miroir symbolique de la marche du siècle... avec un orchestre au milieu. J'imagine en ce moment, avec Didier Decoin, l'aventure de six personnages principaux qui voguent inéluctablement vers leur destin. Résultat dans deux ans...

Olivier DELCROIX