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13.12.2009

13 Décembre 1998:Vivement dimanche

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Télé 7 jours du 13 décembre 1998

 

Dans ce vivement dimanche étaient invités, entre autres, Bernard Lavilliers, Veronique Sanson, Charles Aznavour. Serge Lama était l'invité d'honneur et interprétait, accompagné de l'orchestre symphonique d’île de France, ces 2 titres :

 

 
 

12.12.2009

12 décembre 2008 : A chacun sa vérité - Cap 24

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CAP 24 est une chaîne de télévision régionale d'Ile de France qui a commencé à émettre le 20 mars 2008 avant de disparaître à l'automne 2010.

A chacun sa vérité : par le biais de citations de personnalités, Patrick Sabatier amène son invité à se dévoiler, à faire part aux téléspectateurs de ses rêves, de ses angoisses, de ses aspirations et de sa manière d'appréhender la société et la célébrité. Il reçoit serge Lama le 12 décembre 2008.

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EXTRAIT AUDIO

 

1968: Le 15 juillet à 5 heures

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Ta voix murmure,
Tranquille et sûre
Comme un vieux disque qu'on écoute
Un verre de whisky à la main.
Sous la véranda on s'installe
Dans un bruit feutré de sandales,
Devant un parterre de fleurs
Le quinze juillet à cinq heures

Le vent s'épuise sur la remise
Où mon piano s'endort enfin
Après une nuit de chagrin
Sous le parasol du feuillage
Le vent feuillette page à page
Le livre de notre bonheur
Le quinze juillet à cinq heures


Dans la maison de Frédérique
Tu as classé quelques bouquins
Tu as disposé quelques fleurs
Cueillies fraîches de ce matin
À ta main une cigarette grésille
On mange du melon
Hormis la chanson des frelons
Nous n'avons plus rien dans la tête

Dans la maison de Frédérique
Éblouis comme deux enfants
Tu me parles d'anciens amants
Moi de mes maîtresses d'avant
Tu croques du raisin bien tendre
Des grappes lourdes couleur d'encre
Je ferai du café tout à l'heure
Le quinze juillet à cinq heures


Presque irréelle
Tu es si belle
Entre mes cils tu apparais
Comme une dame d'y a longtemps
Que j'ai aimée ailleurs, peut-être
Il faut que j'écrive une lettre
À un vieil ami qui se meurt
Le quinze juillet à cinq heures

Demain, c'est triste
La vie d'artiste,
On reprendra la vie d'avant
L'appartement où l'on s'ennuie
On invitera Frédérique
Mes frères, tes sœurs, toute la clique
Il ne restera qu'une odeur
Du quinze juillet à cinq heures ...

22:27 Publié dans 1968, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)

12 décembre 1998 – Musique, musiques - FR3 Paris Ile de France

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Reportage effectué par FR3 lors d’un concert donné à l’Olympia, au mois de novembre, avec l’orchestre philarmonique d’ile de France.

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EXTRAIT AUDIO

 

12 décembre 1969 : Donald Lautrec Chaud

Serge Lama est un des invités de l'émission canadienne Donald Lautrec Chaud à la télévision de la SRC le 12 décembre 1969

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ICI Radio-Canada du 12 au 18 décembre 1969

 

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Caricature de Serge Lama

Caricature signée Gérard ELEOUET

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11.12.2009

11 décembre 2001: Ici Paris

Journal ici Paris du 11 Décembre 2001

 

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LIRE

11 décembre 1982 : Télé Presse

Serge Lama était à la une du magazine canadien Télé Presse du 11 au 18 décembre 1982

 

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11 Décembre 1991:La marche du siècle

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Télé star du 7 au 13 Décembre 1991

LA VOIX DE SON MAITRE

La voix de son maître était le titre de l'émission. Une émission sur les disciples et les maîtres. Serge Lama dans une interview enregistrée relatait l'importance qu'a eu dans sa vie la rencontre avec Marcel Gobineau, son ami, son maître. Dans cette même émission Richard Bohringer a rendu hommage à Michel Auclair, Pierre Perret à Paul Léautaud...

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Résumé descriptif:

PL / PM : Serge Lama assis sur l'accoudoir d'un canapé. Il répond :
"Marcel Gobineau est l'ami de mon père, ami de mes parents. On s'est connu, j'avais 11-12 ans et il venait chez mes parents. Quand on est petit, on marche par l'instinct, et j'ai tout de suite senti, de la même façon que lui a vu quelque chose chez moi de particulier, chez lui quelque chose qui me correspondait. Il était drôle, une façon d'avoir de l'humour, une façon d'avoir de l'esprit qui me correspondait, qui n'était pas du tout celle de mes parents. L'occasion fait le larron d'une certaine manière, car un jour, j'avais besoin d'un ticket de métro (j'avais 12-13 ans), je ne savais pas à qui m'adresser et j'ai été sonner chez Marcel qui habitait pas très loin de chez mes parents... Ca a été le premier déclic. Je ne m'entendais pas très bien avec ma famille, j'étais un adolescent indocile, difficile, j'étais en butte avec eux... Tout d'un coup, il y avait beaucoup de moralisation car Marcel n'était pas quelqu'un qui me poussait, par exemple, à sécher l'école...
Quand je suis parti de chez moi, ..., j'ai travaillé et je suis allé tout de suite chez Marcel, ... C'est quelqu'un qui m'a jamais fait de cadeau".


Comment ça s'est passé quand vous avez eu envie d'être chanteur ?
"Quand je suis parti au service militaire, je me suis dit, je reviendrai voir Marcel quand je serai dans le métier, quand j'aurai fait quelque chose. Je ne l'ai pas vu pendant trois ans. Et un jour, j'ai débarqué, j'avais mon premier contrat. Je n'avais pas vu Marcel pendant trois ans, pas écrit pendant trois ans. J'ai sonné. Il m'a ouvert la porte comme si j'étais parti la veille... C'est quelqu'un qui m'a fait une certaine morale, qui m'a toujours dit que la vie était une jungle".


GP : Serge Lama. C'est pour lui que vous avez écrit la chanson "Mon ami, mon maître" ?
"Oui, par surprise. Il ne le savait absolument pas. C'était un cadeau que je lui ai fait un soir où il était à l'Olympia. J'avais toutes mes nouvelles chansons et j'avais ajouté celle-là que personne ne connaissait. J'ai chanté cette chanson pour lui ce soir-là et, évidemment, il était plus qu'ému, ému aux larmes. Tellement de gens, du métier et du public, m'ont dit que c'était une chanson qui les touchaient eux personnellement, j'ai mis cette chanson dans mon tour de chant car on la réclamait".

 

EXTRAIT AUDIO

 

11 Décembre 2004: Plus vite que la musique

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Reportage sur M6

Retour sur l'histoire d'un tube de la chanson française "Je suis malade" chanté par Serge LAMA en 1973 et reprise plus tard par Dalida, Lara FABIAN et Alice DONA qui en a composé la musique. Commentaires sur images d'archives en alternance avec l'interview d'Alice DONA.

 

EXTRAIT AUDIO