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23.11.2015

23 Novembre 2017: 12/13 France 3

Reportage dans l'édition parisienne du 12/13 de France 3 (en fin d'émission)

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A 74 ans Serge Lama a décidé de remonter sur scène et de repartir en tournée. Une tournée qui s'intitule "Je débute" et durant laquelle il interprétera des titres de son dernier album "Où sont passés nos rêves" mais aussi ses classiques qui ont jalonné sa carrière. Avec une émotion toute particulière pour "Mon ami, mon maître" dédiée à celui qui lui a "sauvé la vie".

Serge Lama a beau avoir derrière lui 54 ans de carrière, il est toujours saisi par le doute et le trac. Il a entamé une nouvelle tournée en octobre. Elle passe par Paris du 23 au 26 novembre 2017 (Salle Pleyel), et l'Olympia en février. 

J’ai eu, assez tôt dans ma carrière, à chaque nouveau disque, à chaque nouvelle tournée, l’impression de tout recommencer à zéro. Depuis mon tout premier spectacle, je débute. Ça n’a jamais cessé depuis. Je débute et je redébute sans cesse. Plus le temps passe plus j’ai le trac

C'est au cabaret de l'Ecluse, rendu célèbre par Barbara qu'il fait ses débuts en 1964. C'est là qu'il chante ses premières chansons "A 15 ans", "Le bouffon du roi", "En ce temps là", "Cétait ma femme" qui figurent sur son premier disque.

Puis il va faire la première partie d'un certain Marcel Amont et son "Sombrero sur le nez". "On ne savait pas encore qui était Serge Lama, raconte Marcel Amont; mais la première partie avait vraiment du succès. Ca commençait à être très prometteur pour lui".

Mon ami, mon maître

Mais pendant la tournée, il est victime d'un grave accident de la route dans lequel le frère d'Enrico Macias a perdu la vie. Pour Serge, la convalescence durera deux ans. Deux ans pendant lequels il sera soutenu par un ami de sa famille, Marcel Gobineau, régisseur de théâtre. "S'il ne m'avait pas pris chez lui, si j'avais été obligé d'aller chez mes parents... chez ma mère surtout, je serais mort, confie Serge Lama. Je n'aurais pas pu supporter le climat que je connaissais depuis mon enfance".

Serge Lama voue une éternelle gratitude à Marcel Gobineau. C'est pour lui qu'il a écrit une de ses plus belles chansons "Mon ami, mon maître". Elle est en tête de tous ses récitals, comme une chanson fétiche qui l'aiderait à se rassurer, à ne plus avoir le trac.

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