11.02.2009
11 février 2003 : Bercy
11 FÉVRIER 2003
60 ans, 40 ans de carrière
à BERCY
Le 11 février 2003, Serge Lama fêtait ses "cinquante dix ans" avec son public, lors d'un concert unique à Bercy devant plus de 14000 personnes
Bercy 11 Février 2003
Paul Amar
Jean Luc Delarue
Jean Claude Brially
Marie Dubois
Nana Mouskouri

22:30 Publié dans 2003, La presse des années 2000, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : serge lama
11 Février 1984: Télé Guide
22:00 Publié dans 1984, La presse des années 1980 | Lien permanent | Commentaires (0)
11 Fevrier 2010: SMS
Nouveau poème posté par Serge sur son blog, le jour de son anniversaire
Les ans n'altèrent que ma peau
mais c'est sans trêve ni repos
que mon âme bat la campagne
la mer et ses mâts de cocagne
dans mon coeur l'espoir viscéral
croit aux vertus de l'ancestral
l'essentiel meurt et se revit
dans un étonnement ravi
S.L.
19:52 Publié dans 2010, SMS- Mots de Serge | Lien permanent | Commentaires (0)
11 février 1986 : Direct Gildas
Le 11 février 1986, Serge Lama est l'invité de Philippe Gildas dans Direct, émission diffusée sur Canal+.
EXTRAIT AUDIO
19:44 Publié dans 1986, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
11 Février 1979: Anniversaire de Serge
19:24 Publié dans 1979, Un jour dans la vie de Serge Lama | Lien permanent | Commentaires (0)
11 Février 1983: 40 ans de Serge
Petit mot pour les 40 ans de Serge écrit par son papa et publié dans la Fronde N°32 hiver 82-83
19:12 Publié dans 1983, La Fronde- Fan club ASL | Lien permanent | Commentaires (0)
11 Février 1989: Télé Magazine
18:14 Publié dans 1989, La presse des années 1980 | Lien permanent | Commentaires (0)
11 Février 1984: télé 7 jours
17:54 Publié dans 1984, La presse des années 1980 | Lien permanent | Commentaires (0)
11 Février 2007:La presse Montreal
17:49 Publié dans 2007, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
11 février 1991 – Les échos
Le prix du bonheur
Quinze ans après sa création, « La Facture » de Françoise Dorin connaît une aventure peu courante : écrite primitivement pour une femme, elle a été réécrite par l'auteur pour un homme. A la créatrice Jacqueline Maillan, succède, contre toute attente, Serge Lama. L'auteur s'est prêtée à la réécriture sans remords. Elle avait à l'origine conçu la pièce pour un personnage masculin, mais l'avait modifiée quand Jacqueline Maillan s'était montrée intéressée par le sujet.
« La Facture », c'est le prix du bonheur. Quand l'être humain connaît des moments heureux, ne doit-il pas, en compensation, en régler la « facture » par des moments de douleur ? Autour de cette idée, Françoise Dorin a bâti une comédie dont le personnage central est à présent un imprésario auquel tout réussit. Il a beau faire, se lancer dans des opérations dont chacun peut prévoir l'issue dramatique, tout s'arrange toujours. Il a la baraka.
Pour connaître enfin ce prix à payer, il prend le plus grand des risques : il se sépare de la femme qu'il aime. Que va-t-il arriver ? Une autre femme surgit dans sa vie. Et c'est encore et toujours le refrain fastidieux du bonheur. Par chance, l'angoisse, la blessure, l'insomnie interviendront d'une façon que l'impresario n'aura pas prévue. Quand tout se règlera avec le bonheur retrouvé, une moralité sera ancrée dans la tête de l'homme trop heureux : le bonheur se paye par la peur constante qu'on a de le perdre.
La pièce est jolie, avec les vertus et les limites de Françoise Dorin. Elle hésite entre le style chansonnier, gentiment et hâtivement blagueur, et la comédie des sentiments, où l'on descend dans les zones secrètes des humains. « J'adore les parcours accidentés. En amour, la Beauce, je supporte pas », dit l'un des personnage féminin. Oui, mais, dans la mise en scène de Raymond Gérôme, la soirée est d'abord sans plus de surprises que la Beauce.
Serge Lama passe la vitesse supérieure avec Agnès Soral
Serge Lama, qui a renoncé à jouer les Napoléon, campe sans recherche un Français moyen, placide, bon enfant, attrayant et sympathique. Ses partenaires féminines, Eliane Boeri, Marcelline Collard, donnent plus d'intensité à ces duels à fleurets très mouchetés. Mais il manquait encore l'inconnue du dernier acte. Quand celle-ci arrive, tout change, s'accélère, se colore.
L'arrivée de dernière heure, c'est Agnès Soral, drôle de fille, drôle en effet, excentrique, gouailleuse. C'est une sorte de Môme Crevette des années quatre-vingt-dix, jouant d'une manière très variée les idiotes intelligentes. Dès qu'elle est là, Serge Lama passe avec elle la vitesse supérieure. On s'amuse alors vraiment, dans la salle, comme sur le plateau où « La Facture » devient enfin plus corsée et rapporte à tous plus d'intérêt.
Gilles Costaz
16:34 Publié dans 1991, La presse des années 1990 | Lien permanent | Commentaires (0)