01.09.2009
1 Septembre 2011: Concert à Châlons en Champagne
13:00 Publié dans 2011, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0)
1973: Nana Mouskouri "Je t'aime à en sourire"
Sur ce 45 tours de Nana Mouskouri le titre "Je t'aime à en sourire" est signé Serge Lama, musique M. Panas/K. Munro
Le soleil s'est enfin levé
Mes yeux sont enfin ouverts
Depuis l'heure où je t'ai trouvé
C'en est fini de mes hivers
Je t'aime à en sourire
Je t'aime à en pleurer
J'ai brûlé au feu de l'oubli
Le moindre souvenir
Je t'aime à en souffrir
Je t'aime sans raison
Sans savoir qui tu es
Et sans savoir ton nom
Chaque nuit comme au premier jour
Nos cœurs se parlent d'amour
J'ai gardé la timidité
Du temps où je t'ai rencontré
Je t'aime à en sourire
Je t'aime à en pleurer
J'ai brûlé au feu de l'oubli
Le moindre souvenir
Je t'aime à en souffrir
Je t'aime sans raison
Sans savoir qui tu es
Et sans savoir ton nom
Je t'aime à en sourire
Je t'aime à en pleurer
J'ai brûlé au feu de l'oubli
Le moindre souvenir
Je t'aime à en souffrir
Je t'aime sans raison
Sans savoir qui tu es
Et sans savoir ton nom
12:11 Publié dans 1973, Serge Lama auteur | Lien permanent | Commentaires (0)
1968: D'aventure en aventure
J'ai d'autres habitudes
Et d'autres que toi sont venues
Les lèvres tendres, les mains nues
Bien sûr
Bien sûr j'ai murmuré leurs noms
J'ai caressé leur front
Et j'ai partagé leurs frissons.
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Jamais encore, je te le jure
Je n'ai pu oublier ton corps
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Je n'ai pu fermer ma blessure
Je t'aime encore.
Bien sûr, du soir au matin, blême
Depuis j'ai dit : " je t'aime "
Et d'autres que toi sont venues
Marquer leurs dents sur ma peau nue
Bien sûr
Bien sûr pour trouver le repos
J'ai caressé leur peau
Elles m'ont même trouvé beau.
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Jamais encore, je te le jure
Je n'ai pu oublier ton corps
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Je n'ai pu fermer ma blessure
Je t'aime encore.
Bien sûr j'ai joué de mes armes
J'ai joué de leurs larmes
Entre le bonsoir et l'adieu
Souvent pour rien, souvent par jeu
Bien sûr
Bien sûr, j'ai redit à mi-voix
Tous les mots que pour toi
J'ai dit pour la première fois.
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Jamais encore, je te le jure
Je n'ai pu oublier ton corps
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Je n'ai pu fermer ma blessure
Je t'aime encore.
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Jamais encore, je te le jure
Je n'ai pu oublier ton corps
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Je n'ai pu fermer ma blessure
Parce que je t'aime
Je t'aime encore
Je t'aime encore
Je t'aime encore
11:37 Publié dans 1968, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
Septembre 1985: Coffret sur Napoléon
11:01 Publié dans 1985, CD, DVD, Vinyle et Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
Texte manuscrit de Serge dans la fronde N° 11
10:01 Publié dans 1975, La Fronde- Fan club ASL, Textes manuscrits | Lien permanent | Commentaires (0)
Septembre 1979: L'officiel de la mode n°655
Serge lama amoureux de la chanson, des femmes et de la cuisine Serge Lama, ce fonceur obstiné de la chanson française, au profil napoléonien a gagné en une dizaine d'années, la bataille du vedettariat du show-business français.
Serge lama, je l'ai très bien connu, à l'époque où nous usions ensemble nos pantalons sur les bancs du lycée Michelet derrière la porte de Versailles.
Lui demi-pensionnaire, moi interne, entre les cours de français et d'allemand, après avoir comparé les stances de Baudelaire et de Goethe, nous revenions vite à des choses plus terre à terre : la cuisine. Et oui, Serge Lama amoureux de la vie et des bonnes choses, ; s'intéressait déjà à l'intendance de la mi- journée et de ce qui allait nous être servi au déjeuner.
Serge Lama, je l'ai retrouvé quelques années plus tard à la sortie du service militaire.
Il courait les cabarets de la rive gauche pour faire auditionner ses chansons ou remplacer au pied levé un chanteur défaillant.
Et ensemble parfois nous échangions nos impressions respectives sur ce dur métier de la chanson.
Serge lama à l'époque était maigre, très maigre, et vouait un véritable culte à la table. Il dépensait avec ses amis ses premiers cachets gagnés chez Léo Noël sur la scène de 'l'écluse', en mangeant quatre à cinq fois par jour, avec au milieu de la journée une petite gratinée en en-cas. Il avait à l'époque une véritable passion pour les gratinées, et en mangeait toujours une avant d'entrer en scène, ce qui ne l'empêchait pas de souper ensuite.
Et puis ce fut pour Serge Lama ce terrible accident de la route en août 1965 qui faillit lui coûter la vie.
" Immobilisé dix-huit mois dans le plâtre avant ma rééducation, je pensais à l'époque que c'en était terminé de ma vie épicurienne ayant des difficultés au niveau de mon poids.
Mais comme vous me connaissez, je suis un fonceur un gagneur, et je ne me considérais pas comme perdu, bien qu'étant au régime, me précise-t-il, avant son grand rire gargantuesque.
Les sœurs qui me soignaient étaient très compréhensives et je leur échangeais en cachette des 'pater noster' contre des rhums à l'orange, avant de passer ensuite à des choses plus consistantes.
Est-ce que la gastronomie occupe une grande place dans votre vie?
Cela fait quinze ans maintenant que je chante, et donc quinze ans que je cours à travers la France des grandes villes mais aussi des petits villages.
Et, je puis vous dire que je connais bien, même très bien, les bons restaurants.
Je suis aussi d'assez près chaque année l'actualité des Michelin, Kléber-Colombes, Auto-journal, Relais-routier et Gault et Millau, guides qui figurent en bonne place dans ma voiture lorsque je me déplace de gala en gala. Ma grande chance c'est que les bons restaurants existent aux quatre coins de la france et je les connais à peu près tous.
Mais j'ai parfois aussi des petits problèmes de poids, et je dois surveiller mon niveau! Disons alors que je sélectionne un peu plus mes repas aujourd'hui, ne pouvant plus faire comme à une certaine époque des arrêts automatiques dans chaque grande étape gastronomique, quand je chante le soir à vingt ou cent kilomètres du restaurant en question. Mais j'arrive tout de même à tricher, sur les conseils de mon médecin, et j'avoue que je me réserve quelques jours lorsque je ne suis pas trop loin d'Hilleausern, Eugénie-les-bains, Collonges au mont-d'or ou Roanne pour faire une visite gourmande chez mes copains Troisgros, Guérard, Bocuse ou Haeberlin.
Ce sont mes étapes clés.
Mais je fais attention malgré tout de ne pas faire trop d'excès quotidiens. Mon rythme actuel est de deux repas gastronomiques hebdomadaires, sinon à la fin de ma tournée, je prends dix kilos, et ce n'est plus possible.
Comment vous nourrissez-vous?
« Je me lève en général vers onze heures ou midi et n'avale qu'un café au lait, sans sucre ni croissant.
J'adore le café au lait.
Mais si je m'écoutais, je mangerais sans arrêt.
En particulier les petits-déjeuners anglo-saxons, et trois heures après je déjeunerais très copieusement.
Mon véritable repas, l'unique de la journée mais copieux, se passe en général la nuit après le travail vers deux heures du matin.Tous les soirs après mon tour de chant, on se retrouve avec mes musiciens, Jean-Michel Caradec, Alice Dona et mes amis que je fais veiller très tard s'ils veulent me voir, autour d'une bonne table, car je ne peux jamais aller dormir avant quatre heures du matin.
Lorsque j'ai fait mes deux récents marathons de trois mois au palais des congrès de la porte Maillot, je prenais mes rendez-vous de quatorze heures à seize heures et ensuite je prenais un en-cas qui était mon goûter.
Il était composé d'une tranche de jambon et d'une salade.
Et après le travail, je retrouvais avec plaisir la table du 'Petit Zinc', de la 'Ciboulette' ou de la 'Cloche d'or'.Mais vous savez c'est de plus en plus difficile de trouver à Paris de bons restaurants qui vous servent la nuit. La clientèle à tendance à disparaître, mais heureusement j'arrive à tenir le rythme avec mes amis. Mes grands classiques nocturnes demeurent les cassoulets et les confits aux pommes sarladaises. Mais, par exemple aujourd'hui, je ne travaille pas et je puis revenir à un rythme normal, tout en faisant attention le soir de ne pas trop dîner!»
Serge lama m'avait donné rendez-vous pour parler table et cuisine chez son ami Jean- Jacques Jouteux, qui s'est hissé depuis quelques années avec son restaurant 'les Semailles', perché sur les hauteurs montmar- troises, parmi les premiers restaurants parisiens ayant su créer et adapter une carte 'nouvelle cuisine'.
Serge, en connaisseur, m'avait conseillé des émincés de canard au gingembre tandis qu'il choisissait des petits confits aux poivrons rouges, après avoir partagé une terrine de poissons fumés au caviar avec moi.
Les bistrots-brasseries tiennent aussi une grande place dans votre vie?
« exact. C'est là que je puise mon inspiration. J'habitais il y a quelques années avenue de versailles à côté d'un routier fort sympathique.On y servait une cuisine familiale très honnête. C'est dans ces endroits que je retrouve ma muse en observant mes contemporains en train de manger. Ainsi j'écris une phrase ou des morceaux de texte que j'envoie ensuite à mes compositeurs. C'est de cette manière que sont nées les chansons : 'les ports de l'atlantique', 'la serveuse' ou le 'roi du café-tabac '. J'aime beaucoup ces endroits où il y a du monde, je les observe, en mangeant moi-même, je regarde, et les textes de mes chansons viennent. Si vous voulez le restaurant, c'est un peu mon bureau. Naturellement mon sujet d'inspiration numéro un reste la femme.Et à mon avis, on ne trouvera jamais rien de plus passionnant qu'une femme dans la vie!
Aimez-vous faire la cuisine?
« j'aime beaucoup quand j'en ai le temps. Je fais des pizzaiolas, mais aussi des choses un peu plus compliquées comme des lapins en gibelotte. En général c'est à la campagne dans la maison que j'ai achetée entre Vendôme et Châteaudun que je réunis mes amis pour leur faire goûter ma cuisine. Là-bas j'ai un potager d'un hectare où je cultive les légumes traditionnels. J'ai une passion aussi pour éplucher les légumes ou couper la viande. Moi qui suis toujours sous pression, cela me détend des activités permanentes de la chanson et puis les vins aussi. Originaire du bordelais, je fais honneur à la production régionale, puisque j'élève près de mille flacons dans mes caves. Mais je ne fais pas trop d'infidélité au bourgogne puisque dans mon nouvel appartement que je viens de faire aménager près de l'école militaire, ils sont à l'honneur dans les immenses caves parfaitement adaptées pour cela, et qui m'ont décidé d'habiter ce quartier de Paris
Guy. L Korwill
10:00 Publié dans 1979, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)
1970: Roger Whittaker
En 1970 sort un 45 tours d'un chanteur /compositeur britannique Roger Whittaker.
Sur ce 45 tours le titre "Apres la guerre" est signé pour les paroles Serge Lama sur une musique de Whittaker.
ils m'ont balancé un fusil
j'ai quitté ma mère la tête haute
et le cœur lourd
La guerre m'a fait voir les pays
dont je rêvais petit
il paraît qu'on sera vainqueur
les filles nous couvriront de fleurs
quand on reviendra au pays
du moins c'est ce qu'on nous a dit
lorsque l'on est parti
Mais qui donc partagera nos remords
après la guerre, après la guerre
nos bouquets ne fleuriront que des morts
qu'on va gagner
Comme les lièvres qui ont peur
je connais le pas du chasseur
le bruit de la mort qui vient vers nous
sur la pointe des pieds
Au village pendant ce temps
les veuves nous font des enfants
à qui on donnera le nom
de nos chers compagnons
Mais qui donc partagera nos remords
après la guerre, après la guerre
nos bouquets ne fleuriront que des morts
après la guerre, après la guerre
qu'on va gagner
09:37 Publié dans 1970, Serge Lama auteur | Lien permanent | Commentaires (0)
Septembre 1973:Nathalie
09:25 Publié dans 1973, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)
1973: Dalida "Oh seigneur Dieu"
En 1973 Serge Lama et Alice dona écrivaient cette chanson pour Dalida
On la retrouve sur l'album de Dalida live Olympia 74 , ainsi que 'Je suis malade"
Ô Seigneur Dieu pourquoi m'as-tu abandonné
Je suis comme un village envahi par les ronces
Il suffirait d'un rien pour qu'à tout je renonce
Ô Seigneur Dieu pour ça il faut me pardonner
Ô Seigneur Dieu pourquoi m'as-tu abandonné
Mon cœur saigne je suis l'agneau parmi les fauves
Et pour mieux te trouver j'ai peint ma chambre en mauve
Seigneur Dieu pourquoi m'as-tu abandonné
Ô Seigneur Dieu pourquoi m'as-tu abandonné
Mon âme s'est traînée plusieurs fois dans la fange
Sans un signe du ciel sans le secours d'un ange
Ô Seigneur Dieu, pour ça il faut me pardonner
Ô Seigneur Dieu pourquoi m'as-tu abandonné
J'ai faim, j'ai soif, j'ai froid, je n'ai plus de boussole
Et c'est à peine si les hommes me consolent
Ô Seigneur Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné
Ô Seigneur Dieu pourquoi m'as-tu abandonné
Un jour j'étais enfant j'étais dans ton église
J'ai cherché dans mon cœur une terre promise
Ô Seigneur Dieu pour ça il faut me pardonner
Ô Seigneur Dieu pourquoi m'as-tu abandonné
J'ai cru pendant longtemps à la bonté des hommes
Pendant longtemps, j'ai eu La méfiance des pommes
Ô Seigneur Dieu pour ça il faut me pardonner
Ô Seigneur Dieu pourquoi m'as-tu abandonné
Pourquoi m'as-tu offert des guirlandes d'orties
Pourquoi m'as-tu fermé les portes de sortie
Ô Seigneur Dieu nous as-tu tous abandonné
Ô Seigneur Dieu pourquoi m'as-tu abandonné
Je ne suis pas curé et j'ai besoin des autres
Je ne suis pas ta fille mais j'ai besoin d'apôtre
Ô Seigneur Dieu pour ça il faut me pardonner
Ô Seigneur Dieu pourquoi m'as-tu abandonné
Nous sommes une armée dont tous les chefs sont lâches
Et tes évêques ne sont plus très bons à la tâche
Ô Seigneur Dieu doit-on toujours leur pardonner
Ô Seigneur Dieu
Pourquoi m'as-tu abandonné.
Ici en duo avec Serge Lama
Je suis malade
09:25 Publié dans 1973, Serge Lama auteur | Lien permanent | Commentaires (0)
Septembre 1973: Lisette et Caroline
08:47 Publié dans 1973, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)