Barbara et Liliane à L'écluse en 1962
Serge Lama dans son studio d’enregistrement à Boulogne, en janvier 1966. Photo Rue des Archives. AGIP
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Article que le journal de Haute Marne consacre à Sandrine Roy , parolière, auteure de nombreuses chansons et admiratrice de Serge Lama
Merci à Sandrine Roy, parolière de talent, de m'avoir cité dans ce bel article que lui consacre aujourd'hui le Journal de la Haute-Marne
Serge Lama
04:50 Publié dans 2019, Ils parlent de Serge Lama, SMS- Mots de Serge | Lien permanent | Commentaires (0)
11:12 Publié dans 2019, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
Vendredi 1er novembre à 21 h 05 sur TF1.
Serge Lama faisait partie des invités de l'émission "La chanson secrète", présentée par Nikos Aliagas,
Après un extrait de "Je suis malade"interprété par Maurane puis Dalida, Serge Lama a eu la surprise de voir Francis Cabrel continuer cette chanson.
TV magazine du 27/10 au 2/11 2019
Télé 7 jours du 1er novembre 2019
Extrait d'une interview de Nikos Aliagas dans le même TV magazine.
photos purepeople
Voici la bande annonce.
EXTRAIT AUDIO
04:20 Publié dans 2019, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
Serge Lama était en direct, l'invité de Sonia Belolo dans l'émission "Les Coups de Coeur de Sonia Belolo" sur la radio Air Show en partenariat avec Diamant Records, le lundi 7 octobre 2019 de 20 h à 22 h.
De gauche à droite: Jean Claude Petit, Serge Alhaîk, Serge Lama, Arno Koby
Photo droits réservés
EXTRAIT
04:10 Publié dans 2019, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)
03:35 Publié dans 2019, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
Très beau texte de Serge Lama de retour d'un séjour à Venise
SERGE À VENISE]
Comment vous raconter Venise sans tomber dans le pathos dans lequel nous, auteurs, nous nous complaisons. Bien sûr, l’improbable passion de George Sand et d’Alfred de Musset hante sans doute les plinthes de la chambre 10 de l'Hôtel Danieli. Mais moi j'en ai ouvert les fenêtres qui donnent sur la lagune, et la joie de Venise a jailli. Oublieux des touristes et des pigeons assagis de la place Saint-Marc, j'ai entendu les cris des bateliers des siècles d’hier accumulés dans une harmonie toujours neuve. Quel merveilleux équilibre sur tant de déséquilibre. Millions de pieux plantés pour ériger ce vaste lion, frère sans doute du phénix, tant il renaît tous les jours de ses cendres. Venise soeur de l'Orient où le génie est partout, des plafonds aux sculptures, aux peintures ; Véronèse, Titien, le Tintoret. Venise n'est triste que pour les aveugles. Venise, à l'instar de Jérusalem, est une idée. Elle tient, serrées sur son cœur, les trois religions monothéistes et le Bucentaure jette son anneau d'espérance de la proue à la poupe. Venise est debout, c'est la planète entière qui se lézarde. J'y ai vécu cinq jours d'un bonheur implacable, à écouter, entre deux gondoles, les chants infimes de mon âme dans le clapotis heureux des eaux désinvoltes et enfantines. Venise femme ? Sans doute, mais pas que. Venise frivole ? Non, pas pour un sou, mais pour trois elle peut le devenir, c'est ce que l’Arétin m’a soufflé à l’oreille. Un homme à la langue bien pendue que cet Arétin, mais il parle d’or avec politesse et grâce, des vertus égarées aujourd’hui. Au XVIe siècle on ne bavardait pas, on conversait. Une république aristocratique ? Cela eut lieu à Venise. C'est une idée d'avenir… si la planète en a un…
03:15 Publié dans 2019, SMS- Mots de Serge | Lien permanent | Commentaires (0)
Tonino Benacquista et Serge Lama étaient les invités d'André Bercoff et Céline Alonzon dans le cadre "Des déjeuners des Deux Magots".
L'émission a été diffusée ce vendredi 24 mai de 12 h 00 à 13 h 00 sur Sud Radio.
Serge Lama qui célèbre ses 55 ans de carrière et prépare actuellement un nouvel album, est l'invité de Céline Alonzo et André Bercoff, le 24 mai 2019. Ses chansons sont-elles toutes autobiographiques ? "Beaucoup. Je pense que les œuvres de création sont toutes plus ou moins autobiographiques. On met toujours quelque chose de soi dans une chanson comme dans un livre." Concernant La Glycine, qui évoque un amour d'enfance, il raconte : "Ma cousine m'a été enlevée très tôt, si je puis dire. Elle avait 3 ans et moi, cinq, et je me souviens de ce rapport ambigu que l'on avait à cette époque-là et qui a été arraché par les grands, par les parents. Je me suis servi de cet appui-là pour écrire cette chanson. Chanson qui n'était pas pour moi au départ, mais pour Gilles Dreu".
"Je n'ai pas de style, je m'adapte, explique le chanteur. Alain Souchon a un style. Moi, c'est la chanson qui me dicte mon style. Au fur et à mesure que j'écris, elle me dit où elle veut aller. Et à chaque chanson, c'est différent : le style, ça vous enferme !". André Bercoff l'interroge ensuite sur les Brassens, Brel, Ferré et autres Gainsbourg. Lui semble avoir été ailleurs. Avait-il de l'amertume ? "Non, pas de l'amertume. On était à la sortie d'une génération gagnante, une génération de génies. Vous arrivez derrière, Lama et Sardou, vous faites quoi ? Julien Clerc est parvenu à se mettre en marge de tout ça et moi, j'ai suivi le chemin que je vous ai indiqué, c'est-à-dire ce chemin chanson par chanson, sujet par sujet. Et au bout du compte, Dieu reconnaîtra les siens. Le public reconnaît les siens et pour nous, le public, c'est Dieu. Et il reconnaît les siens car, au bout de ces innombrables chansons, tout se rencontre."
Est-ce la durée aussi qui fait sa force ? Serge Lama estime qu'il y a une part de chance. Il explique : "Il y a une bataille continuelle et on aime notre métier. Tant qu'on aime son métier on va se battre et on trouvera de nouveau une occasion de triompher quelque part. Je suis passé par tellement de choses. Je suis passé par Napoléon qui a été un triomphe mais qui sort complètement de mon domaine. En plus, je ne suis pas fan du tout de Napoléon : ça m'est tombé dessus parce que je voulais faire Le Châtelet. Et c'est devant le théâtre que je me suis dit que je ferais bien Napoléon. J'ai demandé à un ami historien un livre facile à lire sur Napoléon Bonaparte sur lequel je ne connaissais strictement rien". Cette pièce, au final, s'est jouée à Marigny puis plus tard, au Châtelet. Par la suite, Serge Lama passe à la symphonie, "une évidence pour le public", dit-il. Et André Bercoff salue le fait que l'interprète ne reste pas dans une boîte. "Je suis un voyageur", conclut Serge Lama.
Tonino Benacquista, auteur et scénariste à succès, lui non plus ne rentre pas dans une case. Après la série noire, s'est-il dit qu'il n'y avait plus rien ? "Je crois que c'était Topor qui disait : 'Il n'y a que le roman noir, tout le reste est littérature'. Raconter des histoires avec des intrigues, au bout d'un moment, ça m'a un peu limité. J'avais envie de raconter des histoires sans meurtre, sans détective privé." L'écrivain qui publie le 13 juin 2019, quatre romans noirs en Folio Policier, parle de son voisin de table, Serge Lama : "J'envie cette économie de mots qu'il y a dans le travail du parolier. J'ai toujours envié ça. Le seul truc qui me manquera, c'est d'écrire des paroles de chansons. Il y a quelque chose qui est d'un pouvoir inouï. On peut écrire des romans avec des milliers et des milliards de mots, il y a toujours quelque chose de fascinant à se promener dans la rue et, à propos de rien, vous avez envie de dire : 'Et d'aventure en aventure'. Il y a un air qui vous prend avec des paroles...". Et il conclut en saluant le pouvoir de la chanson : "Il n'y a pas plus direct pour aller vers l'inconscient collectif".
EXTRAIT
Petit mot de Serge à propos de cet enregistrement :
[LE MESSAGE DE SERGE]
Une soirée au restaurant « Les Deux Magots », bien arrosée, suite à l’enregistrement d’une émission pour Sud Radio où j’ai retrouvé quelques amis, dont André Bercoff et Tonino Benacquista qui est un ami depuis longtemps. Et hier soir je m’en suis fait d’autres. Pour clôturer la soirée, on m’a demandé de chanter une chanson de mon choix. J’ai choisi « Une île » et encore une fois, je me retrouve entouré de femmes qui chantent avec moi en choristes.
Ça a été un moment délicieux que je vous partage.
03:05 Publié dans 2019, Serge Lama à la radio, SMS- Mots de Serge | Lien permanent | Commentaires (0)
Pour cette dernière des années bonheur, Patrick Sébastien est entouré de ses amis. Serge Lama est venu interpréter " Le 15 juillet à 5 heures", une chanson chère à l'animateur.
Télé poche
Télé 7 jours
Quelques photos du site Purepeople.
L'émission a été enregistrée le 12 Février programmée initialement le 20 Avril sa diffusion a été reportée au 11 Mai suite à l'incendie de Notre Dame.
EXTRAIT AUDIO
Le figaro.fr du 11 Mai 2019
«On fait semblant de croire que ce n’est pas triste. Il y a une grosse part du public, très populaire, qui se situe entre 40 et 80 ans, qui n’aura plus d’émissions du tout - sauf l’émission de Michel Drucker le dimanche mais c’est un talk-show. C’est triste car dans Les Années bonheur on pouvait faire de la chanson, on pouvait rigoler, c’était un spectacle vivant que Patrick arrivait à donner à la télévision. C’est incompréhensible, navrant, accablant.»
02:55 Publié dans 2019, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
05:00 Publié dans 2019, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
Dans cette interview Yves Gilbert nous parle de ses débuts et de sa rencontre avec Serge Lama
09:37 Publié dans 2019, Ils parlent de Serge Lama, Les compositeurs et musiciens | Lien permanent | Commentaires (0)